Chablis Premier Cru Fourchaume de Yvon et Laurent Vocoret

 

 

 

 

A Chablis, depuis 1713, les successeurs de Jean Vocoret ont tous hérité de la passion des vignes et de ses métiers. La renommée du domaine s’est affirmée au fil des générations, et aujourd’hui, Huguette, Christine, Yvon et Laurent ont toujours la même motivation, afin que la noblesse de leurs vins continue. Avec ce Chablis Premier Cru Fourchaume, subtilement travaillé du débourbage statique très léger jusqu’à sa mise en bouteille après un élevage de neuf mois, ce vin est à consommer à une température de 10 à 12°, qui lui permettra d’exprimer tous ses arômes et sa subtilité. Avec un potentiel de garde de 3 à 10 ans, il accompagnera, avec bonheur tous les fruits de mer et autres poissons.

 

Visitez le domaine de Yvon et Laurent Vocoret, à Chablis

 

 

 

Les activités du week-end

« Un dimanche à la chasse »

Ce week-end sera celui des invitations « découverte de la chasse », dans le cadre de l’opération « Un dimanche à la chasse ». Initiée par les chasseurs du Doubs en 2012, ce rendez-vous est devenu d’envergure nationale en 2013, à l’initiative de la FNC. Traditionnellement fixée au 3e dimanche d’octobre, l’opération consiste à proposer aux non-chasseurs qui le souhaitent de se plonger, pour une matinée, au cœur d’une partie de chasse, sur le terrain en toute sécurité. Ils découvriront les diverses facettes de la chasse, empreintes de respect et de cordialité, en accompagnant des chasseurs sur un secteur qu’ils auront choisi parmi les territoires et les modes de chasse proposés par les sociétés de chasse participantes. Cette manifestation confirme l’engagement des chasseurs dans la voie d’une relation équilibrée et durable avec les autres usagers des milieux naturels. Elle veut également témoigner de l’exercice sécurisé d’une chasse responsable, porteuse de valeurs et d’éthique. Les FDC sont sur le pont pour promouvoir ces journées « découverte de la chasse ». L'événement est gratuit et pour en savoir plus, les amateurs peuvent contacter la FDC de leur département.

 

Course Ultra-trail Reims Champagne Run

Dans un autre registre, la ville de Reims organise la première édition de la course « Ultra-trail Reims Champagne Run », demain samedi 14 octobre 2023. Plus de 500 compétiteurs sont attendus, qui vont relever le défi de parcourir 88 km de course à pieds chronométrée en effectuant une boucle depuis la ville de Reims. De nombreuses communes au sein du Parc Naturel Régional de la Montagne de Reims seront traversées par le parcours. La FDC, le GIC de la Montagne de Reims, les territoires de chasse concernés par le tracé aux cotés des organisateurs de cette manifestation, ont œuvré de concert afin de favoriser la cohabitation de leurs pratiques et passions communes pour la nature. Informations utiles : départ du CREPS de Reims à 11h00. Arrivée estimée des derniers participants sur l'Esplanade Porte Mars (Reims) vers minuit. Nombre de concurrents : environ 500.

Le parcours est téléchargeable ICI

Faut-il simplifier le plan de chasse « cerf » ?

On constate encore que, dans certains départements, le plan de chasse cerf peut parfois supporter jusqu’à six types de bracelets différents. Si elle est souvent pétrie de bonnes intentions, cette multiplicité pose tout de même la question de sa réelle utilité. Si « abondance ne nuit pas », il faut aussi reconnaitre que « le mieux est l’ennemi du bien ». Force est donc de constater que le plan de chasse cerf illustre cette contradiction d’objectifs. L’intention est certes louable, dans le sens où elle vise généralement à répartir les prélèvements entre les classes d’âge et de sexes, mais dans bien des cas, elle freine la réalisation. Il faut garder à l’esprit que le prélèvement national est de l’ordre de 70%, et que pour la saison 2020/2021, il a été attribué, toutes classes confondues, 102 636 bracelets pour 69 876 réalisés. Cela représente un déficit de 32 760 animaux. La question se pose alors tout naturellement : ce déficit important est-il dû à des attributions quantitatives trop importantes, ou à un qualitatif trop ambitieux ? Le tableau de chasse ne parvient donc pas à coller au plan de chasse. Dans ces conditions, pourquoi attribuer autant de bracelets sachant qu’un tiers ne sera pas réalisé ? Ne vaudrait-il pas mieux en octroyer moins, et mettre en place un plan de chasse qualitatif moins strict ? Compte tenu de la difficulté engendrée par un nombre de catégories de bracelets trop important, il apparaît clairement que la peur de la sanction fait son œuvre auprès des chasseurs. Pour éviter les ennuis, ils s’abstiennent tout simplement de tirer. Pourtant les spécialistes du cerf l’affirment, les grands cervidés pourraient être gérés à partir de 3 types de bracelets :

- un JCB : pour les faons des deux sexes, les daguets, les bichettes et les biches, (2/3 des attributions),

- un CEM : pour les cerfs de moins de x cors (10, voir 12), (20% des attributions),

- un CR : pour les cerfs de plus de x cors (10 voir 12), (10% des attributions, utilisable également pour baguer un CEM),

Ainsi, l’appréhension de l’éventuelle erreur de tir s’en trouverait très fortement amoindrie, et les plans de chasse se réaliseraient plus facilement.

Afrique australe : 22 000 éléphants victimes de la sécheresse

Au Zimbabwe, qui compte plus de 100 000 éléphants, les autorités ont signalé une surpopulation dans des régions telles que Hwange qui en abrite environ la moitié. Mais, constatant une diminution régulière du cheptel, les autorités ont diligenté une enquête pour en déterminer les causes. Les recherches se sont focalisées sur la zone de conservation transfrontalière de Kavango-Zambezi, l’une des plus grandes au monde, couvrant 520 000 km² (52 millions d’hectares) à l’intérieur des frontières des cinq États. Trois raisons étaient avancées : le braconnage, le déplacement massif des populations d’éléphants ou une mortalité anormale. Les deux premières ont vite été abandonnées devant : « … le nombre élevé de carcasses retrouvées, laissant supposer une menace potentielle majeure pour la santé et la stabilité de la population d'éléphants », indique le rapport. C’est donc la surpopulation, le manque d’eau et de nourriture, qui ont eu raison de quelques 22 000 éléphants, morts de faim et de soif, a expliqué Tinashe Farawo, porte-parole de l'Autorité de gestion des parcs et de la faune du Zimbabwe (Zimparks). « Nous avons déjà mis en place des mesures d’atténuation, mais certaines choses nous dépassent, comme l’absence de pluie. Nous dépendons désormais davantage de l’eau artificielle provenant de forages, mais c’est un processus coûteux » a-t-il ajouté. Et une fois de plus, on en revient à l’absence de gestion cynégétique et la responsabilité des écolos, étrangement silencieux devant cette hécatombe… Si la moitié des éléphants décimés par la sécheresse avaient été attribués à la chasse, à raison de quelques trente mille euros de recettes par tête pour le pays, ce sont 300 millions d’€ qui seraient arrivés dans les caisses de l’Etat du Zimbabwe. De quoi œuvrer pour étancher la soif des autres…

Engrillagement : accélération de la construction de clôtures

Les acteurs locaux, associations et Région notamment, ont rencontré le ministre de la Transition écologique sur « l'impérieuse nécessité de faire respecter la loi ». Six mois après le vote de la loi qui devait contribuer à stopper les engrillagements, le constat est alarmant reconnaissent les élus. Au contraire d'avoir mis fin au phénomène, la nouvelle législation a eu pour effet de déclencher une accélération de la construction de nouvelles clôtures. C'est cette situation de terrain que le président de la région Centre-Val de Loire, François Bonneau, le réalisateur Nicolas Vanier et les associations du territoire sont allés exposer à Christophe Béchu, le mercredi 4 octobre. La loi adoptée le 2 février 2023 impose la mise en conformité de l'ensemble des clôtures existantes depuis moins de trente ans, avant le 1er janvier 2027. Sur le terrain, les propriétaires semblent vouloir prendre de vitesse le calendrier, constatent des associations telles que les Amis des chemins de Sologne et l'Acasce. Espérant sans doute que l'ampleur de la tâche de contrôle sur le terrain ne permette pas de les sanctionner, à partir de 2027. « Non seulement, ils ne démontent pas leurs clôtures, mais au contraire ils accélèrent les constructions illégales » constatent la Région et les associations dans un communiqué commun. Selon eux « le ministre s'est engagé à mobiliser avec une intensité décuplée et dans les plus brefs délais l'OFB pour intervenir directement face aux pratiques contraires à la loi, et a annoncé la publication d'un décret permettant de renforcer les conditions et les moyens d'application de la loi ».

Biodiversité en danger : « il faut monter le son » plaide le nouveau président du Muséum National d'Histoire Naturelle

Pour alerter le public sur l'érosion de la biodiversité et la « perte de chance » que cela représente pour l'humanité, Gilles Bloch, nouvellement nommé pour quatre ans à la tête du Muséum National d'Histoire Naturelle, a lancé cette phrase choc, lors de la présentation de la saison 2023/2024 : « Il faut qu'on monte le son ! ». Ce polytechnicien, médecin et chercheur venu de l'Inserm, a pris les rênes d'une institution vieille de presque quatre siècles, aujourd'hui plébiscitée par le public. « En 2022, les 12 sites du MNHN en France, dont la Grande galerie de l'évolution, le Musée de l'Homme, le parc zoologique de Paris et l'arboretum de Versailles-Chèvreloup, ont drainé 3,5 millions de visiteurs payants. Un sommet historique ! » se félicite Gilles Bloch qui entend porter certains thèmes tels que l'alimentation et les zoonoses. « Le grand enjeu, c'est de comprendre les dynamiques de circulation des pathogènes depuis les réservoirs animaux vers les populations humaines, et d'expliquer que, si on ne prend pas garde à préserver les habitats naturels de la faune sauvage, ce qu'on a vécu en 2020 va inéluctablement se reproduire. L'exposition phare de la nouvelle saison, - Mondes disparus -, traverse en réalité virtuelle l'évolution de la planète sur des milliards d'années, façon d’expliquer, avec de la pédagogie mais aussi de l'émerveillement, comment arriver à faire accepter à nos concitoyens des mesures contraignantes contre l'anthropisation des espaces naturels » a-t-il ajouté.

Une alternative éthique à l'huile de palme ?

Si elle fait le bonheur des industries agro-alimentaire et cosmétique, le revers de la médaille est dévastateur pour l'environnement et la faune sauvage, avec des déforestations incontrôlées en milieu tropical. De 2004 à 2017, selon les estimations de « National Géographic », plus de 43 millions d’hectares ont été perdus. Pour cultiver ces palmiers à huile, des millions de m3 de bois sont brulés sur place, ce qui génère l'augmentation des gaz à effet de serre, une pollution atmosphérique, une perte de la ressource alimentaire pour les animaux, une perte de 90% de la biodiversité et la pollution des sols. Alors, pour tenter de remédier à cette catastrophe écologique, des scientifiques écossais planchent pour lui trouver une alternative éthiquement plus acceptable. Des chercheurs de l'Université Queen Margaret d'Edimbourg sont parvenus, sans utiliser d’arôme ni de conservateur chimique, à fabriquer une sorte de « mayonnaise » à partir des déchets générés par l'industrie du lin, de l'huile de colza, et des fibres naturelles. Appelé « palm-alt », ce produit est dans la même lignée que la découverte de la start-up américaine « C16 Biosciences », qui a mis au point une huile de synthèse capable de remplacer l'huile de palme, le « palmless », dans laquelle Bill Gates a investi 20 millions de dollars… Pizzas, plats cuisinés, crèmes de beauté… même parfum !

L’Etat attaqué pour défaut de lutte contre les accidents de chasse

Lundi dernier, 9 octobre, le collectif « Un jour un chasseur » et l’Aspas ont déposé une « demande préalable indemnitaire » auprès du gouvernement et des ministres concernés, pour exiger qu’ils prennent « des mesures nationales d’encadrement de la chasse propres à assurer la sécurité et la tranquillité de la population ». C’est donc reparti pour un tour de piste avec ces écolos bobos pour lesquels tout est bon pour récupérer des fonds… abondés par les contribuables. Elles (re)demandent notamment la limitation des jours autorisés pour pratiquer la chasse, une formation plus stricte des pratiquants et une réglementation commune à tous les départements. Comble de l’hypocrisie, un des avocats chargés de représenter les associations, assure que le but de cette offensive n'est pas « d'entrer dans un schéma antichasse ». Tu parles ! Va donc venir le temps de bannir de notre vocabulaire cynégétique le mot « cohabitation ». Il ne faut plus rêver, elle est déjà impossible avec les grands prédateurs, qu’ils soient loups ou ours, parlez-en aux éleveurs. De la même façon, elle n’est plus possible avec ces écolos-bobos, parlez-en aux propriétaires privés. Tout est donc à refaire… puisque l’espace ne peut plus être partagé, c’est sur le terrain du temps que les prochaines escarmouches se produiront. Pas sûr que les écolos gagnent au change…  

La « Fondation Airbus » et la « Connected Conservation Foundation » ont annoncé la deuxième édition de leur « Satellites for Biodiversity Award »

Un appel à candidatures a été ouvert au début du mois, visant à encourager l’utilisation de l’imagerie satellite à haute résolution à des fins de conservation de la biodiversité. Les chercheurs individuels ainsi que les organisations à but non lucratif ont jusqu'au 15 décembre pour envoyer leurs propositions. Trois projets seront retenus et donneront accès aux satellites Airbus Pléiades et Pléiades Neo, le premier fournissant des images avec une résolution de 50 centimètres (20 pouces) et le second offrant une résolution encore plus fine de 30 cm (12 pouces). Les équipes gagnantes recevront également un financement de 6 000 $ chacune et un accès gratuit aux logiciels de cartographie mondiale et d’analyse spatiale d’Esri. « La fourniture de données inestimables à nos gagnants, associée à l'échange ouvert d'idées et de connaissances, vise à cultiver une efficacité accrue et des progrès dans l'utilisation de ces techniques pour les initiatives de conservation » a déclaré Sophie Maxwell, directrice exécutive de Connected Conservation Foundation, dans un communiqué de presse conjoint des deux fondations. La Connected Conservation Foundation est une organisation à but non lucratif basée au Royaume-Uni, qui travaille avec les communautés locales pour encourager l'utilisation de la technologie dans la conservation de la faune. L’année dernière, l’organisation s’est associée à la Fondation Airbus, la branche philanthropique de l’entreprise aérospatiale européenne, pour lancer le « Prix Satellites pour la Biodiversité ».

Victoire historique pour les peuples autochtones du Brésil

La Cour suprême brésilienne a donné raison aux peuples autochtones, en rejetant définitivement la thèse dite du « cadre temporel », qui menaçait leurs terres et ouvrait la voie à la déforestation. Une victoire saluée par Kleber Karipuna, directeur exécutif de l’Association des peuples indigènes du Brésil : « Ce jugement est une réponse très importante aux menaces et à la criminalisation que nous avons vécues ces quatre dernières années », a-t-il déclaré. Le procès, entamé en août 2021, a été plusieurs fois suspendu avant que six des onze juges de la Cour décident de voter contre la thèse du cadre temporel. Pour rappel, cette thèse proposait de reconnaître comme terres indigènes uniquement celles occupées ou revendiquées officiellement en 1988, date de la promulgation de la Constitution brésilienne. La juge Carmen Lucia a souligné l’impossible dette à payer envers ces communautés qui subissent depuis longtemps les conséquences de la déforestation et la destruction de leur habitat. La décision de la Cour suprême représente une avancée majeure vers la préservation des terres et des droits des peuples autochtones.

Climat : faute d’accord en Europe de l’Est, la COP29 de 2024 pourrait se tenir en Allemagne

En 2024, la COP29 sur le climat doit, en théorie, se tenir dans un pays d'Europe de l'Est, mais la Russie s'oppose à ce qu'un pays de l'Union européenne accueille ce grand rendez-vous, sur fond de guerre en Ukraine, ce qui grippe le processus de désignation. Les Emirats, où se tiendra à la fin de l'année, la COP28, se sont proposés pour 2024, mais deux années de suite dans le même pays ne semble pas recueillir les faveurs des pays participants. Comme la présidence fidjienne ne peut recevoir des dizaines de milliers de délégués, et si un accord n'est pas trouvé, la ville de Bonn, en Allemagne, où se trouve le siège de la CCNUCC (Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques), serait donc retenue. « La question du pays-hôte de la COP29 se décidera sur la base des procédures de CCNUCC » a fait savoir l'ONU-Climat. IL faudra donc attendre la décision qui sera prise à Dubaï en décembre.

Une « CNI » dans l’étang de Berre ?

Les éléments recueillis interpellent… La mairie de Vitrolles faisait savoir, mercredi dernier, qu'un riverain assure avoir aperçu un phénomène étrange dans l'étang de Berre, au niveau de la base nautique de Vitrolles. Il pourrait s’agir d’une « CNI » (Créature Non Identifiée) de plusieurs mètres de long, qui n’aurait ni l’allure d’un poisson, ni celle d’un amphibien habituellement vu dans ce secteur, a précisé la mairie qui invite la population à rester vigilante en cas de rencontre fortuite. Est-ce la dernière expédition dans les eaux du loch Ness, en Ecosse, qui a réveillé quelques vieux fantasmes ? La municipalité attend donc d’autres éléments, pour « confirmer ou infirmer le témoignage du riverain, et rappelle que : « Avec une biodiversité importante autour de l'étang de Berre, il existe des possibilités de présence d’animaux insoupçonnés. L'étang fait partie du programme Natura 2000, qui vise à préserver la biodiversité des zones humides, et ce programme concerne entre autres, les poissons et les oiseaux...". Les férus de phénomènes inexpliqués ont donc le choix entre l'une ou l'autre de ces espèces, et même jusqu'à un sous marin russe sorti clandestinement de la mer Noire...

Belgique : la saison des battues est lancée

Dans son communiqué, le Royal Saint-Hubert Club de Belgique a souhaité à ses chasseurs « une saison riche en émotions et en bons moments partagés… » et a rappelé : « l’impératif de sécurité auquel nous devons tous nous astreindre. L’ensemble du monde de la chasse sera jugé sur le comportement de chacun de nous face aux autres utilisateurs de la nature qu’il pourra rencontrer. La courtoisie doit toujours être de mise, même vis-à-vis de ceux qui ne sont pas dans leur droit. Cette courtoisie n’empêche pas la fermeté, mais elle doit rester un principe dans les rapports que nous entretenons dans l’exercice de notre activité. Nous vous invitons à diffuser les excellents sites www.partageonslaforet.be et www.chasseonweb.be qui permettent de faire connaître au grand public les dates et les territoires où les chemins publics sont fermés. En Wallonie, comme partout ailleurs dans le monde, l’expansion du sanglier se poursuit. Depuis 2019, les plans de tir sur base volontaire nous ont permis de lutter contre l’expansion du sanglier et de tirer 91 915 animaux. Malgré cette pression de chasse importante, l’espèce pose déjà en certains endroits des problèmes de dégâts. Nous ne pouvons que relayer la demande du Ministre Willy Borsus, engageant les chasseurs à déployer les efforts nécessaires pour atteindre les objectifs de tir fixés avec l’administration… Joyeuse saison à tous ! Waidmannsheil ! ».