Chablis Premier Cru Fourchaume de Yvon et Laurent Vocoret

 

 

 

 

A Chablis, depuis 1713, les successeurs de Jean Vocoret ont tous hérité de la passion des vignes et de ses métiers. La renommée du domaine s’est affirmée au fil des générations, et aujourd’hui, Huguette, Christine, Yvon et Laurent ont toujours la même motivation, afin que la noblesse de leurs vins continue. Avec ce Chablis Premier Cru Fourchaume, subtilement travaillé du débourbage statique très léger jusqu’à sa mise en bouteille après un élevage de neuf mois, ce vin est à consommer à une température de 10 à 12°, qui lui permettra d’exprimer tous ses arômes et sa subtilité. Avec un potentiel de garde de 3 à 10 ans, il accompagnera, avec bonheur tous les fruits de mer et autres poissons.

 

Visitez le domaine de Yvon et Laurent Vocoret, à Chablis

 

 

 

Une nouvelle directrice « Marketing et Communications » au Safari Club International

Le Safari Club International vient d’annoncer l’arrivée de Tia Senenfelder, en tant que directrice du marketing et des communications. Riche d’une vaste expérience dans le développement et le déploiement de stratégies de marketing, elle supervisera toutes les communications internes et externes dans les médias, imprimés et numériques. Passionnée de plein air et de chasse, elle a déclaré lors de sa prise de fonction : « Je suis ravie de rejoindre le Safari Club International et de faire partie de l'équipe qui dirige les efforts visant à défendre la liberté de chasser et à promouvoir la conservation de la faune dans le monde entier. La communication avec nos membres est un élément essentiel de notre relation avec les chasseurs et les défenseurs, et les efforts de marketing jouent un rôle essentiel dans la présence et la croissance de SCI… La chasse est une partie de notre culture que nous devons préserver… ». Quant à Ben Cassidy, vice-président directeur des affaires gouvernementales et publiques internationales au SCI, il a accueilli sa nouvelle collaboratrice avec ces mots : « SCI est ravi d'accueillir Tia à bord. En tant que First for Hunters, la promotion de l'avenir de la chasse est au cœur de la mission de SCI. C’est exactement ce que fera le poste de directeur du marketing et des communications pour tous les chasseurs. La vaste expérience de Tia, associée à sa passion pour le plein air, la distingue dans la direction de ces efforts. Au nom de nos membres du monde entier, bienvenue ! »

Belgique : haro sur le ragot !

Dans son communiqué, le Royal Saint-Hubert Club de Belgique informe ses adhérents que : « Le Gouvernement wallon s’est mis d’accord sur deux arrêtés qui concernent la destruction et le nourrissage du sanglier. Ceux-ci ont été approuvés en deuxième lecture et sont envoyés pour avis au Conseil d’État avant leur publication. D’autre part, le Gouvernement rédigera sous peu un arrêté qui devrait prolonger la chasse au sanglier, et celle des petits cerfs (coiffés et non-coiffés) jusqu’au 20 février 2024. Au niveau de la destruction du sanglier, les principales modifications sont : possibilité du tir de nuit en plaine, moyennant les dispositions suivantes : uniquement en plaine et à plus de 100 mètres de la limite du territoire voisin. L’usage d’une source lumineuse indépendante ou couplée à l’arme à feu, ainsi que celui d’un appareil de vision thermique, indépendant de l’arme sont autorisés. Une lunette thermique sur l’arme n’est donc pas autorisée…

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Au nord de la Loire, mortalité anormale des lièvres

Quasiment tous les départements situés au nord de la Loire sont touchés, et plus on monte vers les Hauts de France, plus l’hécatombe semble grave. Bien que la tularémie (bactérie Francisella tularensis) soit endémique, la surmortalité de cette année laisse présager de la présence d’un virus de type hémorragique (EBHS), touchant particulièrement les levrauts. « Là où on voyait cent lièvres les années précédentes, on en voit entre 5 et 10 aujourd’hui » déclarait un chasseur du Nord. EBHS est le sigle de « European brown hare syndrome » (syndrome du lièvre brun européen). Il s’agit d’une hépatite virale qui touche particulièrement le lièvre, réduisant, là où elle passe, les efforts de gestion à néant. En Europe, le nombre de cas est plus élevé à l'automne, de fin septembre aux premières chutes du thermomètre sous les -5° C. Cyclique, selon les conditions climatiques, des mortalités importantes sont constatées depuis 2010 en France, causées par la même souche virale qui a émergé en 2004 dans le sud-est du pays. Actuellement, des cadavres sont récupérés à des fins d’analyses, pour déterminer le taux de mortalité chez les juvéniles. L’EBHS n’est pas transmissible à l’homme, mais il est fortement conseillé de respecter les précautions sanitaires d’usage : désinfection des mains et port de gants.

A Saint-Etienne, remise d’outils au lycée Benoît Fourneyron

Labellisé en 2013, le lycée Benoît Fourneyron est le seul établissement, en France, à proposer une formation aux métiers de l'armurerie. Tous les ans, cette section très spécialisée prépare une vingtaine d’élèves, les menant au CAP et au brevet des Métiers d'Art (BMA), formant ainsi la prochaine génération d'armuriers talentueux. Le mercredi 11 octobre dernier, les étudiants, les professeurs et les personnalités invitées ont assisté à une remise d'outils offerts par la Fondation Verney-Carron (en cours de constitution). Chaque élève a reçu un tablier et un lot d’outils d’une valeur de 500 €, composé de limes, gouges, forêts et outils spéciaux. A Saint-Etienne, les liens entre la ville et les armes remontent au 15e siècle. La région offrait effectivement tout ce qui était nécessaire à la production et transformation des métaux : bois, charbon de bois, fer, acier, houille et… le Furan, un affluent de la Loire qui traverse la cité et dont la qualité exceptionnelle de l’eau fut un atout décisif dans la production des armes blanches. François 1er ne s’y trompa pas, et dépêcha un de ses ingénieurs pour y organiser la fabrication d'armes à feu, ce qui fit de Saint-Etienne la grande ville manufacturière du royaume. A la fin du 18e, l’armurerie constituait sa principale activité et en 1793, la ville fut baptisée « Armeville » au moment où elle devenait l’arsenal des conquêtes napoléoniennes, puis coloniales...

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Sécurité : encore et toujours !

Faut-il passer sous silence les accidents du week-end. Cela vaudrait mieux disent certains, car ça éviterait d’apporter de l’eau au moulin de nos opposants. Non, il faut en parler disent les autres, car il faut rappeler en permanence que la manipulation d’une arme à feu n’est pas anodine…

- Rhône : deux personnes, un père et son fils, ont été blessées le dimanche 15 octobre, à Lacenas, dans le Rhône, par le tir d'un chasseur. Lors d’une bourse aux jouets et vêtements qui se tenait sur la place de l’école, des tirs ont été entendus par les participants, surpris par leur proximité, et c’est à ce moment-là que les deux blessés ont reçu des plombs. Identifié, le tireur a été entendu par la brigade de gendarmerie de Villefranche-sur-Saône. Une enquête a été ouverte pour le chef de « blessures involontaires en action de chasse » par l’OFB.

- Isère : ce même dimanche 15 octobre, dans la matinée, les secouristes en montagne de la CRS-Alpes sont intervenus sur la commune de Proveysieux pour porter assistance à un chasseur. L’homme venait de chuter dans un secteur escarpé et présentait une suspicion de fracture à une cheville. Ramené à la route par les CRS, il a ensuite été pris en charge par les sapeurs-pompiers et transporté au CHU Grenoble Alpes.

- Ardennes : dimanche dernier, un homme de 70 ans a été retrouvé mort dans la commune de Gespunsart (Ardennes). Le corps a été retrouvé dans un ruisseau situé près de la ruelle des prés. Ce sont les sapeurs-pompiers qui, avec l’aval de la gendarmerie, l’ont sorti du cours d’eau. Une enquête a été ouverte « en recherche des causes de la mort », a indiqué la procureure de Charleville-Mézières. Ce sont les gendarmes de la brigade de recherche de Sedan qui sont en charge des investigations. La victime avait disparu la veille au soir, après avoir participé à une partie de chasse.

- Savoie : samedi, en fin de matinée, un chasseur de 58 ans, victime d’un arrêt cardio-respiratoire, est décédé à Saint-François-Longchamp. Les pompiers, arrivés promptement sur place, ont pratiqué un massage cardiaque pour tenter de faire repartir le cœur de la victime, puis le peloton de gendarmerie de haute montagne accompagné d’un médecin, arrivé par la voie des airs, a pris le relais. Malheureusement, l’homme n’a pas pu être réanimé.

Toujours en Savoie, les pompiers ont été alertés samedi matin également, pour secourir un jeune chasseur de 19 ans, victime d’une chute sérieuse dans un pierrier. L’accident s’est produit sur la commune de Chindrieux, dans le hameau de Chevigneux.  Gravement blessé, il a été évacué par l’équipage de l'hélicoptère Dragon 74, venu à son secours et l’a transporté au centre hospitalier d’Annecy.

Expérimentation sur la sélectivité des chasses traditionnelles

Dans son communiqué du 17 octobre, la FNC (Fédération nationale des chasseurs) revenait sur : l’expérimentation de la sélectivité des chasses traditionnelles et titrait ainsi : « de quoi la LPO a-t-elle peur ? ». Puis elle expliquait : « que cette expérimentation scientifique vise trois de nos chasses traditionnelles (tenderies aux vanneaux, chasse aux pantes, chasse aux matoles), qu’elle est conduite par le ministère de la Transition écologique et la FNC sur chacun des 3 sites retenus sur les 5 départements concernés (Ardennes, Pyrénées-Atlantiques, Lot-et-Garonne, Gironde et les Landes). L’objectif est de disposer de données scientifiques sur la sélectivité des chasses traditionnelles et l’effet de la capture sur la santé des oiseaux relâchés. Elle fait l’objet d’un protocole strict (arrêtés préfectoraux) et contrôlé par l’OFB. Bien évidemment, la LPO fait la grimace, et a menacé d’attaquer les arrêtés, se doutant par avance des conclusions de cette étude : les chasses traditionnelles sont sélectives et non destructrices. Nous en saurons plus dans un mois, puisque la date limite de cette « expérimentation » (on pourrait même dire démonstration) a été fixée au 20 novembre prochain…

 

Pour lire l’intégralité du communiqué de la FNC, c’est ICI

Webinaire sur la thématique de la traque-affût

Organisé par le Comité des Forêts et le Syndicat de Propriétaires Forestiers, ce webinaire se déroulera le lundi 23 octobre, de 19 heures à 20h30. Le sujet traité : « Comment mettre en place la traque & affût sur nos territoires » sera animé par différents acteurs du monde cynégétique dont Evrard de Turckheim, expert forestier et membre du Comité des Forêts ; Alexandre Mercier, président des Jeunes et Nouveaux chasseurs de France ; Matthieu Cousty, responsable de chasse et engagé à titre personnel au sein de l'ANCGG ; Ludovic Fabre, président de territoire où la traque-affût a été mise en place. La traque-affût est une technique de chasse innovante. Elle offre des possibilités très intéressantes pour la gestion des territoires, l’efficience dans la réalisation des plans de chasse, et la sécurité. Sa base fondamentale est l’emplacement des chasseurs, qui ne sont plus répartis sur le périmètre de l’enceinte chassée, comme en battue classique, mais à l’intérieur et à l’extérieur de la zone traquée, sur les grands passages empruntés par les animaux. Ce principe constitue l’élément fondamental de la méthode, à partir duquel vont se décliner toutes les composantes qui ont trait à la chasse collective… que les intervenants traiteront dans le détail. La conférence se déroulera en ligne et un lien de connexion sera adressé à tous les inscrits.

 

Pour s’inscrire : c’est ICI

Loup : des cadavres et des larmes…

Une bonne centaine d’éleveurs a manifesté mercredi, à l'appel de la FDSEA 05, des Jeunes agriculteurs 05 et de la Coordination rurale 05, devant le service départemental de l’OFB à Gap-Micropollis, en charge des constats, pour protester contre les attaques de loups. Depuis le début de l’année, 737 ont été comptabilisées, et la situation devient ingérable. Pour les éleveurs, il s’agissait aussi de tenter de crever l’abcès avec les agents de l’OFB qui ne prendraient pas assez en compte leur désarroi. Après le mouvement de colère, matérialisé par un dépôt de cadavres de brebis et de vaches devant l'entrée de l’établissement, une discussion de deux heures s'est engagée à huis-clos, avec semble-t-il beaucoup de larmes. C’était prévisible et annoncé depuis des années, après trois décennies de tâtonnement pour apprendre à cohabiter avec les loups, et un demi-milliard d’euros plus tard, le bilan des écolos pro-loups est catastrophique. Dans leur malheur, les éleveurs ont la satisfaction de voir que toute l’Europe est touchée et que Bruxelles cherche maintenant une porte de sortie, confirmant de fait que les 50 générations qui nous ont précédés ne s’étaient pas trompées sur les capacités de nuisances de ces chiens sauvages, qui ne servent à rien, sinon qu’à faire croire que les verts œuvrent pour la biodiversité. Celle-là est la plus facile à faire, ne demande aucun effort et a plongé une profession dans la détresse, laissant aujourd’hui des pans entiers de nature se refermer et des espèces disparaitre…

Drôme : les chasseurs vont continuer à aider le tétras-lyre

Le plan de chasse de « un » tétras-lyre, demandé par la FDC de la Drôme, a été attaqué par la LPO, décidemment bien en manque de lucidité. Ces défenseurs des oiseaux n’avaient, et peut-être n’ont-ils pas encore compris, que ce plan de chasse allait tout simplement permettre à l’espèce tétras-lyre de rester classée dans la catégorie « gibier », et bénéficier ainsi de ce que ces soi-disant défenseurs ne font pas : mettre la main à la poche et se retrousser les manches pour tenter de les sauver d’une disparition quasi inéluctable si rien n’est fait. Rémy Gandy, le président de la FDC, avait pourtant tenter d’expliquer la raison de cette demande d’attribution, en vain. Heureusement, le tribunal n’a pas suivi la demande d’annulation de la LPO, et a validé le plan de chasse, qui ne sera probablement jamais réalisé… L’emblématique oiseau des Alpes est devenu un véritable enjeu de biodiversité, qui demande d’autres efforts que celui de réclamer de l’argent...

SOS Urgent : « Grand merci à vous tous : les trois drahthaars sont placés »

A la suite de l'annonce que nous avons diffusée la semaine dernière, concernant les trois chiens de race Drahthaar, que leur maître, pour des raisons de santé, ne pouvait plus garder, nous avons reçu hier ce message : 

« C'est avec une grande satisfaction que nous venons d'apprendre une excellente nouvelle. Les Drahthaars Jumbo, Jeepsy et Kali, ont été recueillis tous les trois par une famille, et vont même pouvoir rester ensemble. C’est vraiment la situation idéale et nous ne pouvions espérer mieux. Merci à cette personne dévouée et salvatrice. Je tenais aussi à vous remercier sincèrement pour votre mobilisation formidable, votre solidarité exemplaire et pour le soutien dont vous avez fait preuve, que ce soit de loin ou de près, via vos proches, votre entourage et vos réseaux. Sans aucun doute, le moindre partage de l'information a pu aider à trouver une personne pour recueillir ces trois chiens. Au nom de mon ami et de son papa, je vous transmets toute leur reconnaissance et leurs profonds remerciements, ils ont été très touchés par cet élan collectif et les voici rassurés de savoir que leurs chiens ont encore de belles années à vivre… ».

Signé : Xavier M.

Le Kazakhstan va réautoriser la chasse des antilopes saïgas

Le Kazakhstan a annoncé, lundi dernier, réautoriser la chasse de l’antilope saïga, afin de réguler la population grandissante de cette espèce qui menace désormais l’agriculture. Après avoir frôlé l’extinction dans les années 1990, la protection des populations résiduelles de saïga a manifestement porté ses fruits puisque l’espèce est aujourd’hui au bord de l’explosion démographique. « Compte tenu des dégâts que les saïgas causent à l’agriculture, la régulation de cette espèce est devenue indispensable » a déclaré le ministre kazakh de l’Écologie, Erlan Nyssanbaïev, évaluant les dommages causés à douze milliards de tenges (environ 24 millions d’€). L’abattage des saïgas fait régulièrement l’objet de débats au Kazakhstan, le président Kassym-Jomart Tokaïev ayant même l’an dernier réprimandé un ex-ministre de l’Écologie proposant cette option. Le dirigeant avait même déclaré que le saïga était un « animal sacré pour le peuple kazakh ». Mais les deux millions de saïgas, sans prédateur naturel, deviennent encombrantes et, a précisé Erlan Nyssanbaïev : « il y a deux méthodes d’intervention : la capture de jour dans des filets et l’abattage nocturne. Je ne vais pas éluder la question : nous devons aussi utiliser la deuxième option ». Un porte-parole du ministère a précisé que : « jusqu’à 337 500 saïgas devaient être prélevées via ces deux méthodes… ».

Lundi prochain lancement du premier loto de la biodiversité : « Mission Nature »

Dans le but de soutenir des projets de protection de la nature, le loto de la biodiversité « Mission Nature » sera lancé lundi prochain, 23 octobre. Il permettra d'aider une vingtaine de projets de préservation ou de restauration. Pour ce nouveau jeu de grattage, à gain maximum de 30 000 €, chaque ticket de participation sera vendu 3 €uros, sur lesquels 43 centimes par ticket seront versés à l’OFB. Une soixantaine de projets ont été présentés par des associations comme le WWF et la LPO, mais aussi des collectivités locales. Le comité de sélection a dévoilé hier la liste des bénéficiaires. Les gains espérés sont de six millions d'euros, à partager. Les tickets, qui seront mis en vente à partir de lundi prochain, sont à dominante verte avec des images d'animaux ou de plan d’eau. Un QR code permettra aux joueurs d'accéder aux projets. Pour la petite histoire, rappelons qu’en novembre 2022, lors de l'examen en première lecture du projet de budget pour 2023, le Sénat s’était opposé à la création de ce loto, fustigeant un « greenwashing du jeu », et bien que les députés ne l’aient pas adopté non plus, le gouvernement l’avait cependant retenu, après l'utilisation de l'article 49.3

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