Le Petit Journal de deux indissociables : la chasse et l'environnement - Game Fair 2025

13, 14 et 15 juin : Game Fair à Lamotte-Beuvron

Rendez-vous incontournable de la chasse et de la nature, les passionnés auront de quoi occuper ces trois journées à Lamotte Beuvron, qui sera la capitale de la chasse, de la pêche et autres loisirs associés. Entre les espaces thématiques (Village Premium, Village Chiens, Village Chasse à l’Arc, Village Pêche, Village Artisans couteliers, Organisateurs de chasse… ) les 600 exposants présenteront toutes les nouveautés en armes, optiques, munitions, vêtements, accessoires, trompes de chasse, véhicules, chiens, aux côtés des institutionnels (FNC, OFB, FDC, SCC, FEPAM, SIA…) et les grandes associations cynégétiques (FACCC, ANCGG, ANFA, ASCA…). Les nouveautés de 2025 :

-Village Chiens Courants : FACCC (Fédérations des Associations de Chasseurs aux Chiens Courants) : vous aurez l’occasion de découvrir un rassemblement exceptionnel. Plus d’une centaine de meute seront présentes dans un nouveau village 100% dédié aux chiens courants. Concours, animations, démonstrations, rencontres avec les équipages, un programme riche à l’image de cette collaboration unique !

- Village Barbecue et viande de gibier : vous partirez à la découverte de ce nouvel espace qui rassemblera des professionnels passionnés, des marques de référence et des artisans innovants autour d’animations inédites et des démonstration culinaires.

- Exposition trophées « Têtes Bizarres » de ANCGG/AFMT (Association Nationale des Chasseurs de Grand Gibier / Association Française des Mensurations de Trophées) : vous offriront une nouvelle exposition exceptionnelle de trophées et de photos ayant pour thème les têtes bizarres du cerf. Une exposition qui, à n’en pas douter sort de l’ordinaire.

- Village chiens : tout au long du week-end, vous aurez la possibilité de découvrir des chiens d’excellences venus des quatre coins de France pour ce grand rendez-vous de passionnés. Chaque jour : défilés des chiens des lieutenants de louveterie, présentation des clubs de races présents sur le village et démonstration de chien d’arrêt et de chiots épagneuls bretons par Patrick Morin...

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Identification des animaux de compagnie...

Les statistiques de l'I-Cad révèlent des données significatives pour l'année 2024, avec 1 639 374 nouvelles identifications de carnivores domestiques en France. Ce chiffre englobe 923 329 chats, 713 812 chiens, et 2 233 furets, marquant une légère baisse de 2 % par rapport à l'année précédente. Ces informations proviennent du baromètre de l'identification des carnivores domestiques, basé sur les données du fichier national d'identification I-Cad, publié par « Ingenium animalis », société gestionnaire, sous délégation du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. La diminution des enregistrements peut être attribuée à une baisse des acquisitions chez les éleveurs professionnels ainsi qu'à une réduction des adoptions en refuge, selon les analyses de l'I-Cad. Néanmoins, la tendance globale reste positive avec une augmentation de 6 % des identifications depuis 2019, principalement due à la croissance de la population féline, alors que le nombre d'enregistrements de chiens montre une légère diminution. Environ 94 % des nouveaux enregistrements sur l'I-Cad utilisent une puce électronique, tandis que 6 % recourent encore au tatouage, conforme à la réglementation actuelle. L'âge médian d'enregistrement est de 2 mois pour les chiens, 6 mois pour les chats, et 2,5 mois pour les furets, respectant ainsi les limites légales imposées pour l'identification des animaux domestiques. Quant à la répartition géographique des nouvelles identifications, elle place en tête les régions Auvergne-Rhône-Alpes (187 167 nouvelles identifications), Nouvelle-Aquitaine (184 005), et Occitanie (178 595).


Fête des mares

Du 7 au 15 juin 2025, la France célèbrera la Fête des Mares sous le thème : « Les mares, un bien commun à protéger ». Cet événement annuel, débuté il y a une décennie, rassemble des citoyens, associations, élus et passionnés autour de la découverte, la restauration et la défense de ces écosystèmes aquatiques fragiles, trop souvent négligés mais essentiels. Les mares, malgré leur taille modeste, jouent un rôle vital en tant que berceaux de biodiversité, pièges à carbone et maillons essentiels de la trame verte et bleue. En France, on estime qu'entre 600 000 et 1 million de mares existent, chacune représentant un précieux outil pédagogique et un refuge pour une multitude d'espèces. Cependant, ces écosystèmes sont en danger croissant. Depuis 1950, entre 30 et 70 % des mares françaises ont disparu, plus de la moitié étant aujourd'hui en état dégradé selon les dernières évaluations. Chaque année, la Fête des Mares conclut la campagne de protection des zones humides en organisant des animations à travers tout le pays, visant à sensibiliser le grand public à leur importance capitale, à mettre en avant leur diversité faunistique et floristique, et à promouvoir les bonnes pratiques de gestion ainsi que les initiatives de préservation. Pour cette dixième édition, la Fête des Mares célèbrera l'eau en tant que bien commun indispensable. À travers des animations variées à travers la France, cet événement invite le public à découvrir leur richesse écologique et leur impact sur le cycle de l'eau. Du 7 au 15 juin 2025, rejoignez cet événement pour apprécier la diversité, la beauté et l’utilité des mares afin de les protéger pour les générations futures.

 

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Chasses d'été : les piqûres guettent...

Nul n'est à l'abri d'une réaction allergique après une piqûre d'hyménoptère (abeille, guêpe, frelon). Si la personne a déjà eu ce type de réaction et n'a pas bénéficié d'une désensibilisation, une nouvelle piqûre aura une forte probabilité de provoquer une allergie encore plus intense que la précédente. Et si, dans le passé, une personne a déjà été piquée à plusieurs reprises sans aucune complication, elle peut, pour une raison inconnue, développer un jour une telle réaction. Les premiers signes de l'allergie surviennent toujours très rapidement après la piqûre. Fatigue brutale, plaques d'urticaire sur tout le corps (éruption ressemblant aux piqûres d'orties), démangeaisons généralisées doivent donner l'alerte. Il est alors temps de gagner très rapidement un lieu fréquenté et d'appeler au plus vite un médecin, ou de se rendre en urgence dans un hôpital. En revanche, si les symptômes continuent à progresser, et surtout si des signes plus alarmants apparaissent (malaise, incapacité de tenir debout, voix rauque, difficultés pour respirer), plus question de transporter la victime. Le déclenchement immédiat des secours s'impose et en attendant leur arrivée, la victime devra être allongée et laissée au repos. Pour prévenir ces piqûres multiples, il faut savoir se débarrasser des insectes qui vous prennent subitement en chasse. Le premier réflexe doit être de s'enfoncer immédiatement dans les broussailles les plus proches. Des insectes resteront certainement à votre contact et continueront à vous piquer, mais le gros de l'essaim s'arrêtera net dès que vous entrerez à l'abri des buissons. Plonger dans l'eau est une autre solution si l’environnement vous offre cette occasion….

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Le vieux roi et le dictateur

Lorsqu’on évoque Nicolae Ceaușescu, dictateur déchu de Roumanie en 1989, on pense au béton gris des HLM des anciens pays de l'Est, aux queues devant les boucheries vides, au culte grotesque d’un couple dictatorial qui croyait pouvoir faire plier la réalité. Ce que l’on sait moins, c’est que Ceaușescu, à ses heures de loisir, était un chasseur acharné. Un vrai collectionneur de trophées : ours, cerfs, sangliers, il en avait des centaines, soigneusement étiquetés, parfois retouchés pour paraître plus grands. Il chassait comme il gouvernait : avec excès, vanité et mise en scène. En 1986, lors d’une tournée diplomatique en Afrique australe, Ceaușescu et sa délégation firent une halte officielle au Zimbabwe. Robert Mugabe, Premier ministre en poste, voyait dans ce voyage une occasion d’asseoir son image à l’international. Les deux hommes partageaient le goût du pouvoir absolu et des discours fleuves. Mais Ceaușescu avait posé une exigence supplémentaire : il voulait chasser un éléphant. Or, le Zimbabwe venait tout juste de renforcer la protection de ses grands pachydermes dans certaines zones clés, notamment dans la réserve de Hwange, où les derniers mâles âgés étaient devenus de véritables symboles nationaux. Parmi eux, un colosse solitaire, surnommé Gonorenda, portait une paire de défenses impressionnantes, visible de loin. Les guides le connaissaient, les rangers l'admiraient. Cet animal était l’un des derniers « seigneurs » des plaines, âgé de plus de cinquante ans. Respecté par ses congénères, il était devenu intouchable, du moins jusqu'à l'arrivée du dictateur roumain...

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Acquisition de Verney-Carron par Rivolier : une nouvelle étape pour l'industrie des armes

Le mercredi 4 juin, le Tribunal de commerce de Saint-Étienne a officiellement validé l’offre de reprise de la société Verney-Carron par le groupe ligérien Rivolier. Ce choix met un terme à une période de redressement judiciaire entamée depuis quatre mois, et marque un tournant décisif pour cette entreprise emblématique fondée en 1820. Face à l’offre du géant belge de l’armement, FN Browning, Rivolier a su convaincre par un projet jugé plus solide et pérenne, porté en partenariat avec les entreprises Steyr Arms et Arex Defense. Le plan de reprise de Rivolier prévoit la conservation de 55 des 67 emplois actuels de Verney-Carron, ainsi qu’un investissement global compris entre 4 et 6 millions d’€ dans les prochaines années. Deux millions d’€ de trésorerie seront injectés dès le départ, afin de relancer rapidement la production, notamment pour honorer des commandes en attente, comme celles d’armes non létales (flash-balles) destinées aux polices municipales. Basé à Saint-Just-Saint-Rambert, à proximité de Saint-Étienne, Rivolier renforce ainsi son ancrage territorial. Ce groupe familial, historiquement spécialisé dans les armes de chasse, s’est progressivement diversifié dans les domaines de la sécurité et de la défense. Il emploie actuellement 340 personnes et a réalisé un chiffre d’affaires de 150 millions d’€ en 2024, dont 40 % dans ces secteurs stratégiques...

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La cigogne noire : emblème du Parc national des Forêts

Le récent numéro des « Échos des forêts » vient d'être publié, mettant en lumière le Parc national des forêts et sa riche biodiversité, symbolisée par la majestueuse cigogne noire. Ce numéro explore divers aspects du Parc, offrant un dossier complet sur ses initiatives. L'édition s'ouvre sur un « Instant nature » captivant et dédié aux prairies, suivie de « Rencontres » qui met en vedette les acteurs clés contribuant à la dynamique locale. Les lecteurs sont ensuite invités à découvrir les « Portes de Cœur » et le « Centre d'interprétation de la truffe de Bourgogne », avant d'explorer les sentiers de randonnée à travers des « Explorations » passionnantes. Une page ludique est également proposée pour les jeunes « Curieux de nature ». À l'approche de l’été, le paysage du parc se métamorphose. Ce renouveau est accompagné par le chant mélodieux des oiseaux, moment privilégié pour admirer ces forêts verdoyantes. Les parcs nationaux jouent un rôle très important dans la préservation de cette biodiversité, offrant un refuge vital à toutes les formes de vie, des insectes aux grands mammifères. Ce numéro des « Échos des forêts » invite ainsi à un voyage intime à travers la vie de la cigogne noire, espèce emblématique et vulnérable du Parc. En détaillant ses habitats préférés, comme les milieux humides et les vastes forêts matures, l'édition souligne l'importance de ces environnements préservés pour sa survie. Autrefois en déclin, la cigogne noire bénéficie aujourd'hui de mesures de protection qui ont permis son retour progressif depuis les années 1970. Le Parc national de forêts abrite près de 10 % de la population française nicheuse de cigognes noires, offrant un havre paisible où ces oiseaux peuvent se reproduire en toute quiétude, loin des zones urbaines. Cette édition célèbre donc non seulement la beauté naturelle du Parc, mais aussi son rôle dans la préservation de la faune et de la flore locales.


Pour s'inscrire au Congrès 2025 de l’UICN

Le Congrès mondial de la nature de l’UICN, qui se tiendra à Abu Dhabi du 9 au 15 octobre 2025, représente une plateforme internationale où les leaders mondiaux, les scientifiques, les communautés locales et les citoyens engagés se réunissent pour façonner l'avenir de la biodiversité et du développement durable. Organisé par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), cet événement biennal mobilise plus de 1 400 organisations membres, dont des gouvernements, des ONG, des institutions scientifiques et des représentants des peuples autochtones. Ensemble, ils travaillent à définir des priorités mondiales et à promouvoir des actions concrètes pour préserver notre planète et ses ressources. Le Congrès, structuré en trois volets principaux, offre une plateforme holistique pour le partage de connaissances, l'innovation et la formulation de politiques environnementales. Tout d'abord, le Forum constitue un carrefour d'échanges où des milliers de participants se réunissent lors de sessions thématiques, de conférences et d'ateliers pour discuter de sujets variés tels que la conservation de la biodiversité, la résilience climatique, et la gouvernance des ressources naturelles. En parallèle, l'Exposition dynamique permet aux membres de l'UICN, aux universités, aux entreprises et aux partenaires internationaux de présenter leurs projets innovants et leurs initiatives de terrain. Cet espace interactif favorise la sensibilisation du grand public et encourage les échanges entre les acteurs clés engagés pour la protection de la nature. Enfin, l'Assemblée des Membres, qui constitue le cœur politique du Congrès, où les organisations membres votent sur des résolutions influentes qui orientent les politiques nationales et internationales. Pour l'édition 2025, le Congrès se concentrera sur cinq grandes thématiques essentielles pour l'avenir de notre planète : la lutte contre la perte de biodiversité, la transition vers des économies durables, la justice environnementale, l'adaptation au changement climatique, et la protection des écosystèmes vitaux.

 

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Comment réduire les dégâts de sangliers à l’époque du sevrage des marcassins

Pour comprendre pleinement l’impact des sangliers lorsque vient le moment du sevrage des marcassins, plusieurs facteurs doivent être pris en compte : les habitudes de l’espèce, leurs lieux de repos, les pressions de chasse, ainsi que les ressources alimentaires disponibles, tant en forêt qu’en dehors. À cette période, les jeunes sangliers apprennent à se nourrir seuls et à suivre leur mère dans ses déplacements. C’est aussi une phase délicate durant laquelle les dégâts agricoles peuvent fortement s’intensifier. Les études menées par le Centre de recherche sur la faune sauvage du Bade-Wurtemberg offrent des pistes éclairantes. Bien que les sangliers soient originellement des habitants des forêts denses, ils ont su s’adapter à des milieux variés : zones agricoles, périurbaines, voire urbaines. Cette plasticité écologique favorise une cohabitation conflictuelle avec l’activité humaine, particulièrement quand la nourriture est plus abondante et accessible hors des forêts. Les dégâts sont alors multiples : cultures maraîchères, céréalières ou oléagineuses peuvent être ravagées en peu de temps. Tout est potentiellement comestible pour ces omnivores opportunistes. Mais ce sont surtout leurs fouilles du sol, appelées vermillis et boutis, qui provoquent d'importants désordres, y compris en forêt, en perturbant la régénération des jeunes arbres, la structure du sol et la biodiversité des sous-bois. Pour limiter ces dommages, particulièrement à la saison du sevrage, il est essentiel d’agir sur plusieurs fronts :

- la gestion des ressources alimentaires, car si la forêt n’offre pas suffisamment de nourriture (glands, faînes, tubercules, petits invertébrés…), les laies entraînent naturellement leur progéniture vers les champs ou les zones habitées ;

- les mesures de dissuasion qui peuvent être mises en œuvre pour éloigner les laies et les marcassins des zones sensibles ;

- la protection des dépôts de déchets où les sangliers trouvent facilement des ressources alimentaires, par la sécurisation des contenants (bennes fermées, grillages, suppression des déchets verts en vrac) ;

- rendre inhospitalier les bosquets urbains : réduction des caches potentielles, suppression des zones refuges (ronces épaisses, tas de branchages), et pose de grillages bas peuvent limiter leur installation.

- enfin, la dissuasion par la chasse qui reste un outil essentiel, à condition d’être adaptée au contexte. Le Centre de recherche sur la faune sauvage du Bade-Wurtemberg montre que la chasse à l’affût est la plus efficace en période estivale, à la condition de ne jamais éliminer une laie meneuse, qui laisserait les marcassins livrés à eux-mêmes dans un périmètre réduit, mais de tuer, dans une compagnie, un marcassin. La laie, protectrice, aura compris le danger et emmènera les survivants loin de ces lieux jugés par elle, dangereux.


Chasse crépusculaire : mortelle improvisation...

Vendredi dernier, entre 22h et 23h30, un drame s’est noué à Langouët, au nord-est de Rennes. Un homme de 65 ans a été tué par un tir d’arme à feu, lors d’une opération de régulation des sangliers, menée à la demande d’agriculteurs. Un autre homme qui l'accompagnait dans cette sortie, âgé de 76 ans, pourrait être l’auteur du tir. Une enquête est en cours et une autopsie devrait être réalisée dans les prochains jours. Ce fait divers tragique relance un débat que l’on croyait clos depuis plus d’un demi-siècle, quand, dans le pays même du Général De Gaulle, alors Président de la République, un chasseur ayant droit d’affût de nuit en tuait un autre, qu’il avait confondu avec un sanglier. Ce drame précipitait l’interdiction de l’affût de nuit, droit accordé aux agriculteurs pour défendre leurs récoltes, en échange de l’engagement des chasseurs à payer les dégâts causés par le grand gibier. L’État avait compris qu’il fallait poser des limites strictes : la chasse de nuit, trop dangereuse, n’avait plus sa place dans un pays moderne. Mais 59 ans plus tard, on y revient. Lentement, insidieusement, au nom de l'urgence agricole et de la pression du sanglier, on a laissé des pratiques interdites revenir par la petite porte, sous des formes déguisées : tirs de nuit, opérations de prélèvement, interventions à la demande.... Et dans ce flou, c’est une vie qui vient d’être fauchée...

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Samedi et dimanche prochains : « Nature et Chasse en fête » à Joinville (52)

Dans le magnifique cadre du château du Grand Jardin, à Joinville, lieu chargé d'histoire et entouré de jardins « d’esprit Renaissance », se tiendra l'événement incontournable « Nature et Chasse en Fête », les 7 et 8 juin prochains. Organisée par la Fédération Départementale des Chasseurs de Haute-Marne, cette manifestation célèbre la richesse du patrimoine naturel haut-marnais, dans une ambiance à la fois pédagogique, cynégétique, et festive. Pendant deux jours, ces lieux vibreront au rythme de multiples activités : l’exposition départementale des trophées, témoins de la gestion raisonnée des populations de cervidés, l’animation permanente des 70 exposants qui présenteront leurs fabrications et produits du terroir, le rallye nature, le village des chiens, le cinématir, les ateliers créatifs pour les enfants, les démonstrations de pêche, le tir à l’arc, au son des animations musicales avec le collectif artistique « Les Comètes », le concert guinguette, les trompes de chasse des « Echos du Vallage » et un espace restauration animé par le chef Thierry Henriot. L'entrée est libre et gratuite pour tous, avec des horaires d'ouverture étendus : de 11h à 20h le samedi, et de 11h à 18h le dimanche. Les options de restauration sur place permettront aux visiteurs de profiter pleinement de cette immersion dans la culture cynégétique et naturelle, dans un cadre exceptionnel.