" Je sonne de la trompe" par Sylvain Oudot et Guyaume Vollet

Destiné à l`apprentissage progressif de la technique pour la trompe en ré, cet ouvrage s’adresse aux apprenants, débutants ou moyens, ainsi qu’aux enseignants. Forts de leurs expériences respectives, les deux auteurs proposent un condensé de leur approche de l'enseignement de la trompe, complété par trois recueils d’études, d`exercices et de fanfares traditionnelles déjà disponibles dans la même édition « Tempo Music Club ». La méthode est d'autant plus profitable qu`elle s’enrichira des conseils avisés et personnalisés d’un professeur. Les phases successives d`apprentissage sont présentées en quatre chapitres qui correspondent à la chronologie d`enseignement : 1) la gestion de l’air ; 2) la diction et l’ornementation ; 3) l’expression ; 4) les pupitres. Comme le précisent les auteurs : « La rédaction de cet ouvrage se veut simple et efficace. Nous avons choisi de ne pas illustrer nos propos par des planches techniques ou anatomiques savantes, préférant orienter le lecteur vers des vidéos intéressantes dont les liens sont fournis en fin de recueil. Ce vecteur moderne de connaissances, utilisant l’animation 3D, présente l`avantage d’être à la fois explicite et ludique. Des exercices annexes ont été sélectionnés dans le but de susciter un « ressenti » chez l'apprenant. Ils peuvent être complétés par d`autres exercices, selon les recommandations des professeurs. Évidemment, la méthode devra être adaptée par le lecteur ou le pédagogue de façon appropriée pour l'élève, selon sa morphologie, ses capacités physiques et son niveau d’avancement dans l`apprentissage de l'instrument ».

 

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Colloque Ramsar à Saint-Dizier, en Haute-Marne

L’Etablissement Public Territorial de Bassin Seine Grands Lacs (EPTB) organisera les 27, 28 et 29 septembre, le colloque national de France Ramsar, rendez-vous annuel sur la préservation des zones humides. Ramsar est le nom de la ville iranienne, où a été signé en 1971, le traité international relatif aux zones humides d’importance internationale et à leur protection. Le zonage Ramsar, par extension, englobe ces zones humides réputées, reconnues aussi comme habitats des oiseaux. L’EPTB assure l’animation de la zone Ramsar des étangs de la Champagne humide, dont le zonage « Champagne humide » s’étend de Troyes à Sainte-Menehould. L’EPTB Seine Grands Lacs est donc chargé d’organiser ce rendez-vous annuel sur la thématique de la préservation de ces zones. Le colloque se déroulera à partir de mercredi prochain, 27 septembre, avec une journée d’ouverture consacrée à des sujets d’actualités internationales et nationales. Mais il y aura aussi des journées de terrain avec des visites de sites remarquables, dont la réserve naturelle de la forêt d’Orient. Le 29 septembre sera consacré à des ateliers thématiques et techniques. Plusieurs centaines de participants sont attendus pour cet évènement.

Haute-Savoie : bouquetin blessé par des crampons

L'animal a été filmé le weekend dernier, en Haute-Savoie, par un randonneur. Sur les images, on peut voir l’animal en question, blessé par des crampons d’alpinisme accrochés à sa bouche en sang. C’est une habitante du bassin annécien qui a décidé de publier la vidéo faite par son conjoint, et de prendre contact avec des associations pour signaler la détresse du bouquetin et tenter de lui venir en aide. Le groupe Tétras Libre basé en Savoie, ainsi que l’Equipe de Secours Animalier en Montagne (ESAM 38) et le parc de Merlet aux Houches, se sont mobilisés jusqu’à ce que l’information parvienne également jusqu’à l’OFB et le SDIS qui se préparent à intervenir. Stéphane Anselme Martin, responsable de l’OFB Haute-Savoie, précise que le bouquetin en question est une étagne d’un certain âge, qui, malgré les circonstances, n’est pas à l’agonie et semble même plutôt en bonne forme. Le responsable confirme que l’OFB est en train de constituer une équipe d’intervention, en collaboration avec l’équipe spécialisée dans le secours animalier du SDIS pour envoyer une caravane terrestre dans les prochains jours, afin de tenter de capturer l’animal, puis de le débarrasser de cet encombrant objet avant de le relâcher.

Belgique : des mouflons corses au cœur d’un procès

Transférés illégalement en Belgique par un chasseur de Chimay, 21 mouflons ont rejoint en mars 2019, un domaine grillagé. Mais quelques jours après cette introduction, ils se sont échappés et ont gagné la forêt proche, sans doute plus accueillante. Alertée par des associations belges de défense des animaux, l’ONG Global Earth Keeper s’est emparée de l’affaire et l'a porté en justice. Dans l’attente du procès, le juge d’instruction a ordonné que les mouflons ne soient pas chassés ou vendus, mais qu’ils soient au contraire nourris et soignés. Les animaux se sont donc reproduits, au point que quatre ans après leur introduction en Belgique, ils sont entre 60 et 80 à parcourir la forêt de Chimay. Jugé par le tribunal correctionnel de Charleroi début septembre, l’auteur de cette importation illégale risque une peine pouvant aller jusqu'à 15 mois de prison, en plus d'une amende salée. Quant aux animaux, bien que « corses », pas question de les rapatrier sur l’île de Beauté, une terre qu’ils n’ont jamais connue. D’après les spécialistes, ramener les mouflons sur l’île reviendrait à les condamner à mort, car le changement radical d’écosystème leur créerait un niveau de stress élevé, en plus de les couper du régime alimentaire qu’ils ont l’habitude d’avoir dans la forêt. Pour l’heure, la solution envisagée serait celle de les conserver en Belgique, comme le réclame à la justice la présidente de Global Earth Keeper : « Nous souhaitons qu’ils soient stérilisés avant d’être relâchés. Même si nous n’arriverons pas à tous les avoir, il faudrait limiter leur capacité de reproduction » a-t-elle précisé. Le Tribunal Correctionnel de Charleroi rendra son jugement le 6 novembre prochain…

Plan loup : que des mécontents !

Le gouvernement a dévoilé, lundi dernier, les contours du plan loup 2024-2029, et le moins que l’on puisse dire est qu’il ne satisfait ni les uns ni les autres. Les pro-loups ont claqué la porte des discussions et les éleveurs aussi ont fait part de leur mécontentement. Ce nouveau « plan loup » 2024-2029, qui ambitionne d’assurer une meilleure protection des troupeaux, comprend des nouvelles dispositions d’élimination jugées alarmantes par les défenseurs du prédateur. Sa présentation, par la préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes aux membres du Groupe national loup (GNL), rassemblant les représentants du monde agricole, des élus, des bergers, des chasseurs, les représentants des espaces protégés, l’administration et des associations de protection de la nature, s’est déroulée à huis clos à Lyon, dans un climat tendu. Qualifié de très technique, ce document prévoit :

- un volet prévention et gestion des attaques censé faciliter les protocoles de tirs, 

- de proposer un meilleur accompagnement des éleveurs,

- un nouveau système de comptage.

Mais cela ne réglera rien du côté des éleveurs qui désormais menacent, soit de cesser leurs élevages, soit de ne plus emmener leurs animaux en estives et en alpages, où ils se font étriller par les loups. Les pro-loups, en aucune façon concernés par les dégâts causés par cet inutile prédateur dans nos paysages, rêvent encore d’une possible cohabitation. Le loup est incontrôlable, et ses 20 à 25% de taux de reproduction vont créer dans toutes les régions des zones sinistrées. Le plan, qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2024, « entérine le statu quo et la détresse des éleveurs et éleveuses pour les cinq prochaines années », s’est insurgée la Confédération paysanne, pour qui le « décalage est béant entre ces annonces et les attentes et besoins des éleveurs et éleveuses face à la prédation ». Quant à Claude Font, secrétaire général de la FNO (Fédération Nationale Ovine), il a déclaré : « L’Etat, en voulant ménager la chèvre et le chou ne fait que des mécontents. On s’attendait à quelque chose de plus ambitieux en faveur de l’élevage », estimant que la seule avancée porte sur les protocoles de tirs.

Catastrophes naturelles : faut-il créer un plan de gestion des animaux ?

Elles ont toujours existé, mais, qu’elles soient naturelles ou accidentelles, les animaux leur paient un lourd tribut. Les périodes de chaleur et les conséquentes chutes de pluie en certains endroits, ont montré l’importance de se préparer en amont, pour sauver son ou ses animaux de compagnie, des flammes, de l’eau, ou d’autres événements destructeurs. C’est au Japon, en 2011, à la suite du tsunami, que les instances vétérinaires et animalières internationales ont constaté l’absence totale de préparation des équipes de secours et des propriétaires, à la prise en charge des animaux, à la suite d’une catastrophe, soulignant : « qu’en plus de la détresse ressentie par les personnes sinistrées, la disparition de leur animal de compagnie vient renforcer le sentiment d’avoir tout perdu. Quant à l’animal, s’il peut parfois prendre des initiatives pour assurer sa survie, il n’est pas capable de faire face à de grandes catastrophes, naturelles ou d’origine humaine, et reste malheureusement vulnérable et dépendant de l’homme ». En 2015, la Fédération vétérinaire européenne organisait un colloque sur le thème : « les catastrophes naturelles et One health : sommes-nous prêts à réagir ? », et cet été 2023, l’université vétérinaire du Texas proposait une démarche complète pour être prêt, si un jour le pire arrivait. Leur approche prend en compte non seulement les animaux de compagnie, mais également les animaux de rente, mettant en exergue l’absence de réaction salvatrice de leur propriétaire. Une « check-list » est en préparation, détaillant ce qu’il faut faire en amont et au moment de l’évacuation des animaux.

L’un des plus gros alligators jamais observé aux USA, capturé par des chasseurs du Mississippi

Le 25 août dernier, quatre chasseurs américains ont mis à leur tableau de chasse le plus gros alligator jamais capturé dans le Mississippi. Après sept heures de lutte, ils sont venus à bout du reptile de plus de quatre mètres de longueur, pesant 364 kilos. « C’était une nuit calme. Nous avons vu beaucoup d’alligators, mais ce n’était pas celui que nous recherchions » a confié l’un d’eux au « Clarion Ledger ». Repéré vers 21 heures, l’alligator s’est rendu aux alentours de 3h30. « Durant six heures, il était impossible à déplacer et on ne pouvait rien faire que de l’empêcher de replonger. C’est lui dictait sa loi… » détaille Donald Woods qui ajoute : « Vers 2h30 du matin, il a commencé à faiblir et nous avons pu le capturer in extremis, alors que n’avions quasiment plus de matériel… ». Lorsque l’animal a été officiellement mesuré par le Département de la faune, des pêches et des parcs du Mississippi, la taille a été confirmée : 4,35 m pour 364 kg, effaçant des tablettes le record d’un alligator de 4,28 m et 347 kg, capturé en 2017.

Le littoral français prochainement submergé ?

La technologie prédictive annonce que, en fonction de certains scénarios, de nombreuses zones côtières seront submergées lors des inondations d’ici 2050. Selon « Climate Central », qui possède un outil de dépistage des risques côtiers, le littoral sera fortement menacé par la montée des eaux. Leur outil, basé sur des cartes, compile des recherches pour fournir des projections consultables concernant les niveaux d’eau, l’élévation du terrain et d’autres facteurs dans des zones localisées afin d’évaluer leur risque potentiel. Sur le plan économique, cette élévation du niveau de la mer pourrait coûter près de 15 milliards d’€, auxquels il faut ajouter la perte des terres immergées. Toutes les régions littorales, fortement peuplées, peuvent être touchées et certains de leurs habitants subissent déjà des dommages personnels et économiques. Les collectivités territoriales et le gouvernement ont commencé à identifier les zones les plus vulnérables, afin d’envisager des solutions de protection telles que les zones de végétation côtière ou les dunes de sable, qui peuvent contribuer à atténuer les effets des inondations, des ondes de tempête et de l’érosion, mais jusqu’à un certain niveau…

Jeunesse mondiale unie pour une chasse durable

Le film « Global Youth United for Sustainable Hunting » est un court métrage explorant l’avenir de la chasse responsable à l’échelle mondiale, raconté à travers trois histoires différentes sur trois continents. Il est issu d’une initiative conjointe produite par les jeunes leaders d'opinion du Conseil international pour la conservation de la faune sauvage (CIC), le Dallas Safari Club (DSC) et la Wild Harvest Initiative (un programme de Conservation Visions). Cette réalisation rassemble des voix et des récits de jeunes du monde entier, pour remettre en question les stéréotypes conventionnels entourant la chasse, tout en approfondissant les réalités des activités de chasse gérées et durables.

 

Suède : les chasseurs de petit gibier du nord de la Suède partagent les montagnes avec les Sami, un groupe de peuples autochtones qui habitent la région. Les Sâmes gèrent les terres, utilisant de manière durable les ressources fauniques disponibles tout en entretenant l'écosystème dans son ensemble. Le tétras-lyre, une espèce emblématique qui joue un rôle important dans la culture alimentaire des habitants de ces zones reculées, bénéficie de cette gestion. Découvrez la beauté de cette espèce lors de ce voyage à travers les montagnes suédoises.

 

Tadjikistan : ce pays héberge le markhor, une espèce endémique qui est désormais devenue un symbole de ce pays magnifique et historique. Dans les années 1990, le markhor était sur le point de disparaître en raison du braconnage et du surpâturage du bétail. Grâce à l'introduction d'activités de chasse durables, gérées par des réserves communautaires qui génèrent des bénéfices pour la population locale, les populations de markhor ont retrouvé des niveaux sains. Une véritable histoire de conservation, créée pour et gérée par les acteurs locaux.

 

Zimbabwe : Les gens du monde entier n’apprécient pas toujours les dures réalités de l’Afrique rurale. La destruction des cultures, du bétail et les dommages corporels sont des menaces qui constituent une réalité pour de nombreuses personnes vivant en Afrique australe. De la même manière, ceux qui ne sont pas concernés ne comprennent pas toujours comment la chasse peut bénéficier à la conservation de la faune, et soutenir les moyens de subsistance. Distribution de viande, génération de richesses et développement des infrastructures… ne sont là que quelques-uns des avantages générés par les activités de chasse légales et durables. Cette histoire du Zimbabwe est typique de l’expérience vécue dans toute l’Afrique australe. (Commentaires en anglais)

 

Chasser en état d'ivresse : jusqu'à 1 500 € d'amende

Les chasseurs contrôlés en état d’ivresse avec un fusil à la main s’exposent désormais à une amende qui pourra atteindre 1 500 euros, et 3000 en cas de récidive, selon le décret publié samedi au Journal officiel. Cette mesure s’inscrit dans le plan chasse du gouvernement présenté en janvier dernier par la secrétaire d’État chargée de l’Écologie, dont l’objectif est de renforcer la sécurité pour tous, les chasseurs mais aussi les promeneurs. Ce plan a proposé 14 mesures, dont cette contravention pour alcoolémie, mais aussi la création d’une application numérique sur les lieux de chasse ou encore la standardisation des panneaux.

Période de brame : les agents de l’OFB veillent à la tranquillité des cerfs

Ils sont sur la brèche et tentent de canaliser la foule de curieux qui veulent observer les animaux dans leurs ébats intimes. Jusqu’à la mi-octobre, les forêts vont porter au plus loin les raires, guides acoustiques pour venir au plus près. L’OFB rappelle donc que l'utilisation des phares de voiture ou d'un projecteur pour éclairer les animaux est strictement interdite par la loi, et que des missions de surveillance sont organisées sur l’ensemble du territoire métropolitain. S’il n’y a pas de dérangement, la majorité de biches en âge de se reproduire sera fécondée. Pendant cette période de brame, il ne faut jamais oublier que les cerfs mâles perdent un peu de leur instinct de fuite vis-à-vis de l’homme, et ont tendance à prendre pour un concurrent tout ce qui bouge et fait beaucoup de bruit. Il est donc fortement déconseillé de tenter d’approcher un cerf, au risque de se faire charger s’il prend le curieux pour un rival. Et pour ceux qui n’auraient pas la possibilité d’aller écouter le brame du cerf, la 9e édition du Championnat de France d’Imitation de brame du cerf s’est déroulée, dimanche dernier, à Turquestein-Blancrupt en Moselle. Sept concurrents, venus de toute la France, ont présenté au jury leur savoir-bramer, et les trois premiers iront participer aux championnats d’Europe qui se déroulera en mai 2024 en Pologne.

 

Pour en avoir un aperçu, c’est ICI

Samedi 16 et dimanche 17 septembre 2023 : « Journées du Patrimoine »

Chaque troisième week-end de septembre, petits et grands peuvent franchir les portes de plusieurs dizaines de milliers de monuments, dont certains sont fermés au public le reste de l'année. Parcs et jardins, bâtiments religieux ou civils, et autres sont autant d'occasions de découvrir, ou redécouvrir, l'histoire française et européenne à travers la sculpture, l'architecture et l'art en général. Pour cette 40e édition des Journées européennes du patrimoine, un accent particulier est mis sur le  « Patrimoine du vivant » et le « Patrimoine du sport », à un an des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, en 2024. Un peu partout en France, des animations sportives seront organisées et illustreront le dispositif « 30 minutes d’activité physique quotidienne à l’école ». En collaboration avec le musée national de l’Éducation, l’Histoire du sport à l’école sera retracée. Partout ailleurs, concerts, représentations théâtrales, projections cinématographiques, ateliers d'écriture et de dessin, activités pour les jeunes et les adultes se dérouleront durant ces deux jours, dans le cadre du patrimoine du vivant, qui coïncide avec le 20e anniversaire de la convention UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI), adoptée le 17 octobre 2003, dont l’ambition est de « protéger un patrimoine vivant favorisant le dialogue entre les peuples, la diversité culturelle et la créativité humaine ». Sur le site des Journées européennes du patrimoine, une carte interactive vous permet de trouver le programme des événements organisés dans votre région et ailleurs, en France ainsi qu'en Europe. Pour les chasseurs, ce sera aussi l’occasion de voir les collections du Musée de la Chasse et de la Nature, ainsi que l'exposition « Uchronie » de Vincent Fournier, qui fermera ses portes dimanche. Réservation conseillée.

 

Pour consulter la carte interactive, c’est ICI

Vosges : SOS Massif des Vosges chasse les touristes…

L’annonce du conseiller régional Thibaud Philipps d’atteindre l’objectif « zéro voiture sur les crêtes » a fait des remous. SOS Massif des Vosges en a profité pour demander : « la dissolution du Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges et la redistribution des chargés de mission sur des structures et associations locales où ils seront sans doute plus utiles et efficaces… ». Position étayée par l’association Alsace Nature qui ajoutait : « Si rien ne bouge, Alsace Nature attaquera le parc pour inaction climatique ! ». A l’origine de cette passe d’armes, des divergences d’idées sur l’avenir. « Nous appelons solennellement toutes les associations de protection de la nature, les vraies, à arrêter de participer aux conférences et autres réunions qui n’ont jusqu’ici mené à rien, à l’image de cette conférence de la Grande Crête qui n’est que le prolongement de la conférence des Hautes Vosges de 2008 que nous avions d’ailleurs quitté. Elle était composée de personnes qui n’avaient pour objectif que le développement et les aménagements touristiques… ». Suit une liste d’interdits qui fait peur…

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