" Je sonne de la trompe" par Sylvain Oudot et Guyaume Vollet

Destiné à l`apprentissage progressif de la technique pour la trompe en ré, cet ouvrage s’adresse aux apprenants, débutants ou moyens, ainsi qu’aux enseignants. Forts de leurs expériences respectives, les deux auteurs proposent un condensé de leur approche de l'enseignement de la trompe, complété par trois recueils d’études, d`exercices et de fanfares traditionnelles déjà disponibles dans la même édition « Tempo Music Club ». La méthode est d'autant plus profitable qu`elle s’enrichira des conseils avisés et personnalisés d’un professeur. Les phases successives d`apprentissage sont présentées en quatre chapitres qui correspondent à la chronologie d`enseignement : 1) la gestion de l’air ; 2) la diction et l’ornementation ; 3) l’expression ; 4) les pupitres. Comme le précisent les auteurs : « La rédaction de cet ouvrage se veut simple et efficace. Nous avons choisi de ne pas illustrer nos propos par des planches techniques ou anatomiques savantes, préférant orienter le lecteur vers des vidéos intéressantes dont les liens sont fournis en fin de recueil. Ce vecteur moderne de connaissances, utilisant l’animation 3D, présente l`avantage d’être à la fois explicite et ludique. Des exercices annexes ont été sélectionnés dans le but de susciter un « ressenti » chez l'apprenant. Ils peuvent être complétés par d`autres exercices, selon les recommandations des professeurs. Évidemment, la méthode devra être adaptée par le lecteur ou le pédagogue de façon appropriée pour l'élève, selon sa morphologie, ses capacités physiques et son niveau d’avancement dans l`apprentissage de l'instrument ».

 

Pour se procurer ce Traité de technique usuelle et Exercices pratiques : c'est ICI 

Le collectif « Un jour, un chasseur » attaque l’Etat

C’est la suite de l’affaire Morgan Keane, ce jeune habitant de Calvignac, dans le Lot, tué par un chasseur en décembre 2020. Le 10 octobre dernier, ses amis du collectif « Un jour, un chasseur » aidés par l’ASPAS, ont adressé une demande préalable à plusieurs ministres, pour inaction et carence fautive, et une demande préalable indemnitaire, aux ministres concernés par la chasse, dont Elisabeth Borne et Gérald Darmanin, c'est-à-dire l'équivalent d'une mise en demeure. L’Etat avait donc deux mois pour répondre à ces injonctions, ce qu’il n’a pas voulu faire. Le collectif a donc déclaré : « Nous n'avons pas reçu de réponse. C'est décevant, encore une fois, de voir que le gouvernement ne prend pas la mesure de ce qui se passe dans les campagnes. Mais on s'y attendait un peu… Nous déposerons un recours au mois de janvier car le calendrier de fin d'année se précipite un peu. C'est juste un peu plus tard que prévu, mais cette action en justice est plus que jamais d'actualité ». Julien Roelens, l'avocat qui défend le collectif et l'Aspas, veut faire reconnaitre par le Tribunal administratif de Paris, qui sera saisi, deux types de carences de l’Etat : une absence de mesures de sécurité globales à l'échelle du pays, et une validation des schémas départementaux jugés parfois « disparates et incomplets » par les préfets. C'est sur ces différents points qu'il entend prouver la responsabilité de l'Etat, non seulement dans cette affaire, mais plus largement dans tous les accidents de chasse, en France. Affaire à suivre….

Et encore une polémique à propos d’un cerf tué légalement

Depuis que les écolos-zozos donnent des noms aux cerfs, il ne se passe plus une saison sans qu’ils ne crient au scandale dès que l'un d'eux disparait. Le dernier en date vient de la forêt de Mormal, dans le Nord, où un vieux cerf ravalant, proche de ses seize années d’existence, a été tué mercredi dernier dans le cadre du plan de chasse. Donc rien d’illégal dans ce tir, qui mérite plus de compliments que de reproches, au titre d’une sensiblerie béotienne de ces écolos de salon, qui oublient que cette disparition va permettre à un cerf plus jeune de s’exprimer. C’est la loi de la nature et c’est le rôle de la gestion des populations animales sauvages, qui doit quand même être bien faite, puisqu’elle a permis de faire passer, en France, le cheptel grands cervidés de moins de 20 000 animaux en 1980, à plus de 200 000 aujourd’hui… Mais il est vrai qu’un cerf plus jeune se laisse moins facilement « saisir le portait » par ces chasseurs d’images…

Progression du virus « Rosalia » en Espagne

Depuis le premier cas décrit en 2020, le virus SDRP-1 de pathogénicité élevée, ou « Rosalia » s’est étendu au centre et au sud de l’Espagne en 2022. Ce virus est actuellement retrouvé essentiellement en élevage de porcs domestiques avec, dans la zone infectée une prévalence proche de 70%. Lors de la première vague en 2020, l’expression comprenait des avortements, des porcelets en mauvais état à la naissance et de la mortalité de truies gestantes. Pour les vagues suivantes (2020-2021) le tableau épidémiologique était similaire, avec en plus de la mortalité en nurserie, et une morbidité variable chez les adultes. D’après le professeur Enric Mateu, de l’Université de Barcelone, la transmission aérienne du virus semble importante, et chez les individus survivants, un retour à un état normal ne survient qu’après plusieurs mois. La sensibilité du sanglier à ce virus est peu décrite, mais la vigilance semble de mise en cas d’observation d’avortements ou de mortalité juvénile. Si vous constatez, sur votre territoire de chasse, des effets identiques à ceux décrits plus haut, n'hésitez pas à faire remonter l'information au réseau SAGIR, via votre FDC.

Japon : de la viande sous vide…

Polémique au Japon autour d’un distributeur automatique de viande. Mais là, il ne s’agit pas de bœuf de Kobé ou autre viande fine… Dans la province montagneuse d'Akita, réputée pour les nombreux ours qu’elle abrite, la chasse du plantigrade est certes légale, mais depuis que les attaques se multiplient, encouragée par les autorités. Alors pour amortir sans doute le temps passé et le prix des cartouches, un club de chasse nippon, a fait installer à proximité de la gare locale, un distributeur automatique et réfrigéré, de viande. Seulement voilà, cet appareil en service depuis le début de l'année, est dans le collimateur des protecteurs, car ses tiroirs contiennent de la viande… d’ours. A 15 € la demi-livre, disponible 24 heures sur 24 heures, le succès est au rendez-vous. Comme l’a précisé le journal de la région, « les ours sont capturés dans les montagnes par les membres d’un club de chasse et la viande est préparée dans un abattoir. La viande d'ours est un mets délicat, riche en fibres, en vitamines et en collagène. En termes de goût, on la compare souvent au chevreuil… ». Bref, c'est devenu une attraction touristique et culinaire, limitée certes car il y a des quotas à ne pas dépasser, mais déjà servie en restauration. Précisons qu’environ mille ours sont tués chaque année dans la région d'Akita, ce qui n’empêche pas les défenseurs des plantigrades de rappeler que : « les ours sont des animaux sauvages qui n’ont pas à finir dans des assiettes », mais omettant de dire qu’au Japon, il a eu pour cette année 2023 plus de deux cents attaques dont neuf mortelles…

La France et le Kazakhstan ont lancé le Comité international de pilotage du « One Water Summit »

Ce sommet sur l’eau se tiendra en septembre 2024, à New York, ont annoncé le président de la République Emmanuel Macron et le président de la République Kazakhe, Kassym-Jomart Tokaïev. Son comité de pilotage international a donc été lancé à la COP28 par Barbara Pompili, qui, depuis le 23 octobre dernier, a retrouvé les faveurs du gouvernement, puisque nommée au Secrétariat général à la planification écologique (SGPE), rattaché à Elisabeth Borne. En jeu, tenter de résoudre la crise mondiale de l’eau qui s’aggrave sous l’effet du changement climatique, de la perte de la biodiversité et de la pollution. Cette situation est empirée par l’absence d’une gouvernance appropriée de l’eau à tous les niveaux. C’est donc face à cette situation, que la Conférence des Nations unies sur l’eau de mars 2023 a reconnu la crise mondiale de l’eau, et un nouvel agenda a été lancé avec une Conférence des Nations unies sur l’eau programmée en 2026. La COP28 a constitué également une première étape importante pour l’intégration de l’eau dans les discussions, les actions et les finances relatives au climat. Pour initier la préparation de « One Water Summit », notre ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, a représenté la France lors du lancement du comité de pilotage, rappelant que : « cette initiative est la plus importante jamais lancée pour restaurer les rivières, les lacs et les zones humides dégradés et invite tous les gouvernements à s'engager à atteindre des objectifs clairs, en vue de restaurer 300 000 kilomètres de rivières et 350 millions d'hectares de zones humides d'ici à 2030… ».

L’ONF dans le collimateur des militants écologistes radicaux

L’Ecologie punitive à tous les niveaux commence sérieusement à indisposer les agents de l’Office National des Forêts, que les activistes verdâtres accusent d'aggraver les effets du réchauffement climatique en déboisant. Le problème est que ces violences ne sont plus que verbales, elles deviennent physiques dans toutes les régions de France. Menaces, injures et sabotages sont dorénavant le quotidien des forestiers, qui sont les cibles privilégiées de ces militants écologistes. « Plus rien ne les freine, ils arrachent nos panneaux et taguent nos véhicules. Avant nous avions trois ou quatre attaques dans l'année, maintenant il ne se passe plus une semaine sans qu’il y ait des actions » déplore l’un des professionnels du bois. Mais ces attaques en règle débordent l’ONF, et atteignent les exploitations et entreprises forestières qui travaillent pour l’Office. Sabotages des engins de débardages, vols de carburants dans les réservoirs des camions grumiers, pneus crevés, flexibles hydrauliques coupés, voir même incendies volontaires de ces équipements, engendrent des dégâts pouvant parfois s'estimer à plusieurs centaines de milliers d'euros. « Nous sommes démunis devant ces écolos radicaux. Nous multiplions les moyens de surveillance, mais ce ne sont que des arguments de dissuasion, et quand un saboteur est identifié, ce qui arrive, avouons-le, rarement, les condamnations ne sont pas en adéquation avec les dégâts subis. Quant au stress du personnel, il n’est jamais pris en compte… » regrette le patron d’une scierie du Morvan qui précise : « Décembre et ses sapins de Noël coupés rend fous ceux qui ignorent que ces arbres sont cultivés uniquement dans ce but, et ne participent en aucun cas à une quelconque déforestation, puisque toutes les parcelles sont replantées pour un cycle qui dure en moyenne, entre 5 et 8 ans… ».

A la Centrale Canine : l’édition 2024 du Trophée Christian Eymar-Dauphin

Pour sa quatrième édition, le Trophée Christian Eymar-Dauphin reviendra le 28 janvier 2024, au Palais du Lac à Vichy, avec une mise à jour de son règlement. Cet évènement vient conclure toute une année d’expositions canines pour valoriser les meilleurs chiens de l’année 2023, mais aussi pour partager un moment convivial avec leurs éleveurs et propriétaires. Ce déjeuner festif, imaginé par le regretté Christian Eymar-Dauphin, remporte chaque année un très bon accueil auprès des participants. Unique en son genre, ce Trophée Christian Eymar-Dauphin est un concours à récompense honorifique, qui n’ajoute rien au pedigree du « chien de l’année » élu au terme de la compétition, mais dont l’objectif est de mettre sur le devant de la scène les chiens les plus méritants de l’année passée.  

Les 128 chiens sélectionnés devront remplir obligatoirement les critères suivants :

- être inscrits au LOF et confirmé,

- appartenir à un propriétaire résidant en France,

- avoir obtenu un titre de Champion de France homologué entre le 20 décembre 2022 et le 20 décembre 2023 (inclus),

- avoir obtenu un titre au choix parmi les suivants : Champion des Expositions Nationales, homologué entre le 20 décembre 2022 et le 20 décembre 2023 (inclus), ou Champion Jeune des Expositions Nationales, ou encore Champion de France Jeune. Le jour « J », tout le monde pourra profiter du show, retransmis en live sur la chaîne YouTube de la Centrale canine.

Pour en savoir plus, c’est ICI

Covid-19 : l’infection par le Sars-CoV-2 responsable d’une neurodégénérescence chez le chien

Une étude coréenne montre que le variant delta du Sars-CoV-2 peut infecter le chien, et provoquer des lésions cellulaires dans le cerveau et les poumons, même en l’absence de signes cliniques neurologiques ou respiratoires. En outre, le coronavirus se transmet entre chiens par contact direct, et peut alors induire des modifications pathologiques au niveau du cerveau et des voies respiratoires supérieures, contrairement aux conclusions d’études antérieures. Cette étude a permis de démontrer que le virus de la Covid-19 endommage la barrière hémato-encéphalique, ce qui lui permet de la franchir, expliquant ainsi les lésions du système vasculaire cérébral, plus visibles dans la substance blanche, observées chez des chiens infectés soit expérimentalement par voie intranasale, soit par transmission virale directe. L’analyse des prélèvements nasopharyngés et oropharyngés a permis de déceler une réponse inflammatoire plus ou moins sévère, selon les phases de l’infection et les tests d’immunofluorescence réalisés ont confirmé l’existence de particules virales dans le cerveau canin. Le Sars-CoV-2 a ainsi été détecté dans les poumons et le cerveau des chiens inoculés et en contact. Pourtant, aucun n’a présenté de troubles neurologiques apparents ou de signes respiratoires de la Covid-19. Les altérations mises en évidence révèlent que même les animaux asymptomatiques infectés par le coronavirus peuvent développer à la fois une affection neurodégénérative dans le cerveau (maladie des petits vaisseaux) et des lésions pulmonaires (pneumonie interstitielle). En outre, ces atteintes sont durables, ce qui suggère chez les chiens infectés, le développement d’un syndrome de longue durée, de type Covid long chez l’humain.

Les bouquetins ariégeois ont leur application mobile

Depuis les premiers lâchers de bouquetins en 2014, le PNR des Pyrénées ariégeoises anime un site internet dédié au programme de réintroduction et à l’espèce. Ce site rassemble toutes les informations sur cette thématique et vous permet de signaler vos observations. Que vous soyez randonneur ou simple observateur, ces informations sont directement transmises aux agents en charge du suivi de l’espèce. Ce suivi participatif contribue notamment à améliorer les connaissances sur les mouvements des populations. En cette fin d’année, le site internet « www.bouquetin-pyrenees.fr » fait peau neuve, et parallèlement, la grande nouveauté est la création d’une application mobile qui permet au grand public de renseigner leurs observations de bouquetins directement sur le terrain grâce à la géolocalisation. Une fois les informations renseignées, les agents du Parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises reprennent contact avec les observateurs pour d’éventuels compléments ou pour leur en dire plus sur les animaux observés. L’année 2024 verra le PNR fêter les 10 ans du retour du bouquetin dans les Pyrénées ariégeoises, et pour cette année 2023, pas moins de 45 naissances ont été observées, ce qui porte la population de bouquetins en Ariège à 230 individus.

 

Pour télécharger l’application : c’est ICI

 

Le Marais poitevin classé « Site Ramsar »

C’est officiel : le parc naturel régional du Marais poitevin, entre la Vendée, les Deux-Sèvres et la Charente-Maritime, est devenu le 54e site Ramsar de France, et le 2 531ème mondial. La démarche, engagée par le Parc naturel régional du Marais poitevin en 2018 a donc abouti à cette labellisation, une reconnaissance internationale pour la deuxième plus grande zone humide de France. L’annonce a été faite le premier décembre dernier, par le ministère de la Transition énergétique. La convention Ramsar est un traité international qui reconnaît, depuis sa signature en 1971, l’importance des zones humides, vitales pour le maintien de la biodiversité. Les Etats signataires s'engagent à une utilisation rationnelle de ces zones, et depuis 2014, les États-parties sont encouragés à mieux prendre en considération les besoins des populations dépendantes des zones humides dans leur vie quotidienne. Le Parc et ses partenaires s’attacheront à poursuivre cette dynamique enclenchée en faveur de la préservation et de la valorisation des 69 034 ha du Marais poitevin, qui accueille une diversité d’habitats et d’espèces remarquables. Y sont recensées 337 espèces d’oiseaux, plus de 1000 espèces de plantes, des boisements humides, un réseau hydraulique d’environ 8 200 kilomètres.

Chère, très chère biodiversité : arrêtez-les, ils deviennent fous !

Alors que l’on recensait dans les Pyrénées, en 2022, la présence de 76 ours responsables de 331 attaques pour 590 animaux tués ou blessés, et un coût de 12,6 millions d’euros (soit la bagatelle de 165 789 € par ours), la projection que vient d’établir l’Inspection Générale de l’Environnement et du Développement Durable (IGEDD) et le Conseil Général de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Espaces Ruraux (CGAAER), interpelle. Se basant sur la dynamique de la population ursine dans la cordillère cantabrique en Espagne, ces deux institutions recommandent : « de préparer les Pyrénées à la possibilité d'accueillir 350 ours à l'horizon 2050, notamment sur les territoires où ils ne sont pas actuellement présents », et ils précisent  également : « il conviendra de réviser le protocole de gestion des ours « en difficulté ou dangereux » dans la perspective de rencontres entre humains et ours potentiellement plus nombreuses… ». Et ils tirent de leurs travaux ces éléments que les éleveurs pyrénéens apprécieront :

- la cohabitation ou coexistence de l’ours avec les activités humaines en général et agricoles en particulier est sensible partout, mais ne constitue pas systématiquement un sujet politique.

- les mesures de protection mises en œuvre dans les différents pays sont toujours issues du triptyque : clôtures, chiens et bergers. Elles sont adaptées aux situations nationales ou locales et la mission n’a pas identifié d’autre mesure efficace qui pourrait être mise en œuvre en France.

- l’effarouchement des ours ne constitue pas un sujet de crispation comme en France, l’effarouchement de femelles gravides n’est notamment pas un sujet.

- le parangonnage ne permet pas de comprendre pourquoi le nombre d’animaux tués ou blessés par les ours est beaucoup plus important dans les Pyrénées qu’ailleurs, même si le mode d’élevage pastoral spécifique à la France, la taille et le nombre des troupeaux semblent être des facteurs déterminants.

- il met par contre en évidence l’importance des dégâts sur les ruches, les cultures fruitières et vivrières ainsi que les déchets (ordures).

- les autres pays ou régions étudiés ne conditionnent pas le paiement des indemnisations à la vérification de l’efficacité des mesures de protection, à l’exception de la Slovénie et du Trentin, sans que la mission ait pu vérifier la mise en œuvre de cette disposition.

- aucun des pays ou régions étudiés ne finance, comme la France, les salaires de bergers supplémentaires (30% du coût des mesures de protection en France).

- la mise à disposition des informations liées à l’ours est souvent mieux réalisée dans d’autres pays, ce qui renforce la confiance vis-à-vis des institutions publiques.

Une nouvelle catégorie d'« ESOD » vient de naitre... 

« Rencontres Biodiversité et Territoires 2023 » (RBT)

La première édition des « Rencontres Biodiversité et Territoires » se tiendra aujourd’hui 12 et demain 13 décembre, à l'Arena Sud de France de Montpellier. Ce nouveau rendez-vous invite les élus locaux, les agents des collectivités et les acteurs du territoire à redonner à la biodiversité sa juste place et imaginer ensemble une nouvelle manière de vivre. Initiée par l’OFB, pendant ces deux journées, des tables rondes, théâtres forum, super quiz, ateliers prospectifs, fresques participatives, kiosques à outils ou encore conférences en mode conversation permettront de découvrir des regards croisés, des témoignages et des solutions concrètes. Au total, 37 ateliers seront proposés sous forme de parcours clefs en main pour mieux intégrer la biodiversité et monter en compétence.

Ces parcours s'articulent autour de 8 thématiques : la gestion des milieux naturels ; l’éducation et la sensibilisation ; la nature en ville ; l’aménagement du territoire ; l’agriculture, l’alimentation et la biodiversité ; le tourisme et les loisirs ; le changement climatique et la biodiversité ; l’ingénierie et la formation. Des temps individuels, d'une quinzaine de minutes, seront également l'occasion d'échanger avec des experts de la biodiversité, pour bénéficier de conseils personnalisés. 

 

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