Les Ecussons marnais

Les ECUSSONS MARNAIS

 

Vos trophées méritent d’être mis en valeur…

 Support en chêne pour : massacre, cœur, pied d’honneur, écusson cape, socle rond et ovale…

 

 

 

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Trophées : la sélection du mois de juillet 2022

Seconde tête au bois aplati

Ce cerf, dont l’âge a été estimé à deux ans, provient du massif de Lancôme, dans le département de l’Indre. Les bois sont courts, alors que les andouillers sont très peu marqués, exception faite pour la chevillure gauche. On remarquera surtout que le merrain droit présente une structure aplatie, ce qui en fait un trophée assez peu commun.

 

Un daguet vraiment atypique

Il est fort rare de rencontrer ce type de trophée, dont le profil est réellement exceptionnel, en raison de l’orientation de deux bois vers l’avant. Le phénomène est plus courant lorsqu’ un seul pivot est fracturé, et que la dague croît dans une orientation anormale, pouvant donner un bois pendulaire. Il est dommage que l’animal soit naturalisé en cape, ce qui nous laisse dans le questionnement, au sujet de l’origine de ce trophée si curieux. S’agit-il d’une fracture des deux pivots, occasionnée par un traumatisme, ou d’une anomalie de la croissance des pivots ? La question est posée, mais restera sans doute sans réponse…

 

Grand cerf de Belgique

Ce grand cerf, récolté l’an dernier sur l’unité de gestion du Conseil cynégétique de l’Our, est estimé à 11 ans, et sa cotation s’élève à 204,27 points CIC. Présenté avec ses mues datant, pour la première, de 2017, il est intéressant de voir comment le trophée a progressé. On remarquera notamment comment l’épois postérieur, long, fourchu et bilatéral, s’est peu à peu transformé, tout en conservant sa structure fourchue.

 

Brocard lorrain

Ce beau brocard à la conformation de 6 pointes a été tiré sur le territoire de Bouxières sous Froidmont, en Meurthe et Moselle, par Monsieur Delize. Bien perlé et de couleur presque noire, le trophée présente, sur la base du merrain droit, un andouiller surnuméraire qui émerge de la meule, ce qui en fait un trophée assez remarquable.

 

Grand vieux sanglier

Ce beau sanglier, dont la cotation est arrêtée à 116,95 points, a été tiré par Yvan Leclercq, en forêt domaniale des Potées, dans le département des Ardennes, le 9 octobre 2021. En voici les principales mensurations : longueur des défenses : 18,8 et 19,5 cm ; largeur des défenses : 26,2 et 26,6 mm ; circonférence des grès : 77 et 79 mm.

Trophées : la sélection du mois de juin

Bois creux

Ce cerf, obtenu lors de la saison passée, provient du massif de Signy l’Abbaye, dans le département des Ardennes. De par sa conformation, il trahit certainement une déficience de l’animal : seuls les andouillers d’œil présentent un aspect normal, tandis que les merrains sont réduits à une vingtaine de centimètres. On remarquera encore que ceux-ci sont parsemés de petites excroissances verruqueuses, qui sont caractéristiques du phénomène de bois creux. Selon le Dr Alain François, ce phénomène est rare, mais pas vraiment exceptionnel. Les exemples connus ont montré que ces animaux étaient tous en bonne santé, et que cet aspect si particulier était vraisemblablement pérenne, car retrouvé sur les mues des années précédentes…

 

Belle fracture de pivot

Ce grand daguet, obtenu durant la saison 2021/2022, provient du massif de Luzeraise, dans le département de l’Indre. Victime d’une fracture du pivot droit, le bois a poussé vers le bas, produisant une belle tête atypique…

 

Huit cors, mais daguet seulement ! 

Comme l’atteste sa mâchoire, ce cerf aux bois fins et à la conformation de 8 cors, a tout simplement l’âge… d’un daguet, ce qui en fait un animal tout à fait exceptionnel. Il provient de Bourneville, une région marécageuse au sud de la forêt de Villers-Cotterêts, dans le Valois, en limite des départements de l’Oise et de l’Aisne. Il a été tiré le 25 octobre 2020 au lieu-dit « La Butte à Sable ».

 

 

Brocard monobois

Ce brocard qui a été tiré à Bayonville sur Madon, en Meurthe et Moselle, par M. Villemin, porte un seul bois, assez massif, et de type 6 cors… Il s’agit en fait du bois gauche. A la place de celui de droite, inexistant, se présente une cicatrice osseuse sur la boîte crânienne, suite à un arrachement du pivot occasionné sans doute par un choc assez brutal.

 

 

Beau sanglier d’Argonne

Ce beau solitaire a été tué par Jean-Pierre Warnesson, sur le territoire de Grandpré, dans le Sud du département des Ardennes, le jour de la Saint Nicolas 2021. Les défenses mesurent respectivement 18,8 et 18,6 cm et leur largeur est de 24,7 mm. La circonférence des grès atteint 7,6 cm à gauche et à droite. Enrichie de 3 points de beauté, dont 2 pour les grès, la cotation est arrêtée à 111 points CIC.

 

Brocard à perruque

La tête à perruque est l’échantillon même de l’une des bizarreries de la nature. Au-delà de son côté spectaculaire, la perruque révèle souvent un problème hormonal. Chez les cervidés, les anomalies testiculaires entraînent des malformations de la ramure. A titre d’exemple, la castration accidentelle, ou la perte des deux testicules par infection, entraîne une chute avancée du trophée et une repousse d’embryons de bois qui restent en permanence sous velours. Quand la castration intervient pendant le refait, la calcification s’arrête et le tissu sous-jacent se développe de façon totalement anarchique. Cette prolifération entraîne alors la formation d’une perruque. Ce phénomène reste très rare chez le cerf, mais plus fréquent chez le chevreuil. Mais l’absence ou une anomalie des bois n’est pas forcément provoquée par une altération des testicules. Les conditions climatiques sont parfois à l’origine de têtes bizarres. C’est notamment le cas pour le brocard qui refait ses bois pendant l’hiver. Des carences alimentaires continues ou répétées ne favorisent pas la croissance des bois, qui peuvent alors pousser de façon complètement anarchique. D’autre part, une longue période de froid très intense pendant le refait peut aller jusqu’à geler le velours qui irrigue les bois naissants. Ce genre d’aléa climatique exceptionnel entraîne alors une perturbation dans le développement de la ramure. Au niveau hormonal, le cycle est intimement lié à la concentration sanguine en testostérone. Ce taux est au plus bas pendant le refait et doit remonter à son maximum pour favoriser la chute des velours. La moindre perturbation de ce cycle peut donc entraîner les mêmes troubles.

Brocard à perruque

La tête à perruque est l’échantillon même de l’une des bizarreries de la nature. Au-delà de son côté spectaculaire, la perruque révèle souvent un problème hormonal. Chez les cervidés, les anomalies testiculaires entraînent des malformations de la ramure. A titre d’exemple, la castration accidentelle, ou la perte des deux testicules par infection, entraîne une chute avancée du trophée et une repousse d’embryons de bois qui restent en permanence sous velours. Quand la castration intervient pendant le refait, la calcification s’arrête et le tissu sous-jacent se développe de façon totalement anarchique. Cette prolifération entraîne alors la formation d’une perruque. Ce phénomène reste très rare chez le cerf, mais plus fréquent chez le chevreuil. Cependant, l’absence ou une anomalie des bois n’est pas forcément provoquée par une altération des testicules. Les conditions climatiques sont parfois à l’origine de têtes bizarres. C’est notamment le cas pour le brocard qui refait ses bois pendant l’hiver. Des carences alimentaires continues ou répétées ne favorisent pas la croissance des bois, qui peuvent alors pousser de façon complètement anarchique. D’autre part, une longue période de froid très intense pendant le refait peut aller jusqu’à geler le velours qui irrigue les bois naissants. Ce genre d’aléa climatique exceptionnel entraîne alors une perturbation dans le développement de la ramure. Au niveau hormonal, le cycle est intimement lié à la concentration sanguine en testostérone. Ce taux est au plus bas pendant le refait et doit remonter à son maximum pour favoriser la chute des velours. La moindre perturbation de ce cycle peut donc entraîner les mêmes troubles. Découvert dans l’Allier, ce curieux mais exceptionnel massacre d’un brocard retrouvé mort, montre, après un séjour à l’extérieur qui l’a entièrement débarrassé de ses derniers lambeaux de peau et poils, la calcification de la perruque. 

​​​​​​​Châteauroux : une belle fête populaire autour du cerf

Suspendu durant deux saisons en raison de la pandémie, le traditionnel « Rendez-vous des cerfs » a retrouvé toute sa superbe, pour sa 20ème édition qui s’est déroulée comme par le passé, hall des Expositions de la ville. Dès le samedi, de nombreux visiteurs, chasseurs et autres, étaient déjà sur les lieux pour découvrir le tableau de chasse départemental de l’Indre, de l’espèce cerf. Tous les coiffés étaient systématiquement présentés, par unité de gestion et par classes d’âge, un étiquetage rassemblant les principales composantes du prélèvement...

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​​​​​​​Trophées : la sélection de Jean-Marc Thiernesse

Ardennes : un beau solitaire

Ce beau sanglier a été tiré par Raphaël Urano, en forêt domaniale de Caillaumont, dans les Ardennes, le 5 janvier dernier. Pas excessivement lourd, puisque l’animal accusait, non vidé, 105 kg sur la bascule, il est néanmoins bien armé et offre un trophée de grande qualité. Les défenses mesurent respectivement 19,2 et 19,5 cm, pour une largeur de 25,5 et 25,9 mm. La circonférence du grès gauche est de 7 cm, et celle du grès droit de 7,1 cm. La cotation, enrichie de 3 points de beauté, est arrêtée à 113,55 points…

 

Ile de France : daguet pendulaire 

Exposé à l’occasion du salon de la chasse de Mantes la Jolie, en mars dernier, ce daguet pendulaire provient d’un massif forestier de l’Ile de France. C’est à la suite d’une fracture du pivot que le bois de gauche a poursuivi sa croissance vers le bas… et ainsi produire un trophée vraiment atypique, d’autant plus qu’une partie du velours du bois de gauche n’est pas entièrement frayée.

 

Lot : un brocard tout en masse

Le caractère remarquable de ce brocard est qu’il est tout en masse. En effet, les merrains mesurent seulement 19,8 et 20,5 cm, alors que le poids net du trophée atteint 420 g, pour un volume de 185 ml ! Sa cotation, qui s’élève à 119,08 points, dont 3 pour le grain et 2,5 pour la couleur. Il a été tiré à l’approche, le 7 août 2021, sur le territoire de Laramière dans le département du Lot, par Philippe Hourriez.

 

Moselle : un cerf peu commun 

Ce cerf de 2 ans, présenté en mars dernier lors de l’exposition des trophées de cerf de la Moselle, à Dabo, est d’une structure peu commune. En effet, on pourra remarquer que les merrains, réduits à un bois de même pas 10 cm, se terminent sans pointe, comme si on leur avait donné un coup de scie, ce qui qui trahit un arrêt brutal de la croissance lors du refait. On peut encore voir que les andouillers d’œil, atrophiés, retombent en crochet. L’animal, obtenu dans le massif des Vosges du Nord, ne devait sans doute pas être en très bonne santé…

Meurthe et Moselle : une tête atypique

 

Deux pivots et deux meules, mais un seul merrain pour ce brocard vraiment atypique ! Il a été obtenu sur la commune de Roselieures, en plein cœur du pays de la mirabelle, lors de la saison 2018/2019 par M. Cottel. L’anomalie de ce trophée peut s’expliquer par une déficience de l’état général de l’animal, qui a totalement contrarié la croissance de la perche du côté droit. Mais rien n’est moins certain, car l’intérieur de l’anneau de meule est une sorte de calice qui laisse supposer un actynophytose, laquelle est visible d’ailleurs sur la face externe, inférieure du pivot.

Moselle : petit 8 cors adulte

Ce cerf, qui provient du massif d’Abreschviller, est estimé à 8/9 ans. Il n’est pas à proprement parler un grand cerf, malgré son âge, mais sa conformation de 8 cors à surandouiller, en fait un trophée assez original, et qui apporte la preuve que, dans des conditions de vie parfois difficiles, certains individus ne parviennent pas à produire de grandes ramures en dépit de leur âge… Comme chez les hommes, les cerfs ne sont pas tous égaux face à la vieillesse ! Le trophée, de couleur brun foncé, est malgré tout assez bien perlé et d’une belle régularité. Il a été tiré le 2 octobre 2017.

Ardennes : un beau solitaire

Malgré la cassure du grès droit, ce beau sanglier a été tiré sur le territoire de Thilay, le 6 octobre 2019, par Mathieu Mouze. Avec des défenses larges de 25 mm, et qui mesurent, à gauche, 17,1 cm, et 18,9 à droite et une circonférence des grès identique de chaque côté de 6,9 cm, ce trophée est coté à 107,80 points. Un beau solitaire comme on aimerait en rencontrer plus souvent !

Et de trois !

Treize cors, merrains de 99 et 100 cm, 8,100 kg de poids brut, âge estimé à 5/6 ans, pour 197,54 points CIC, c’est la cotation d’un 3e cerf qui a fini tristement, toujours dans la région du plateau de Langres. Côté par Christian Bolmont et Michel Valette, cet animal a été découvert à Noidant-Chatenoy, le 30 septembre dernier, gravement blessé à la suite d’un sévère combat pendant le brâme. C’est le président de la FDC lui-même, Thomas Corvasce, qui l’a aperçu agonisant, au cours d’une sortie randonnée à vélo. Alerté, Sébastien Pécher, le technicien de la FDC responsable du secteur, s’est rapidement rendu sur les lieux et a mis fin aux souffrances de ce jeune cerf prometteur, confirmant pour la troisième fois, le très fort potentiel des grands cervidés qui colonisent la région. Ce cerf, qui comme beaucoup d’autres malheureusement est mort trop jeune, pourrait provenir comme les précédents (voir en rubrique trophées) de Haute-Saône ou du GIC du sud haut-marnais.

Encore un « géant » du sud haut-marnais

Décidément, le secteur de Saulles, en limite de la Haute-Marne et de la Haute-Saône, est propice aux grands cerfs. Nous avons vu, il y a quelques jours, celui qui a été trouvé mort dans un puits, porteur d’un trophée de 200,8 points (voir en rubrique Trophées « Triste fin pour ce grand cerf »). Le trophée qui est présenté aujourd’hui vient d’être également côté par Michel Valette, cotateur officiel de l’AFMT (Association Française de Mensurations des Trophées) et l'un des quatre « STJ » français agréé par le CIC. L’animal a été récolté en septembre dernier, en forêt de Champsevraine, par Jean–Michel Venck, de Corgirnon. Le trophée, qui porte 15 cors pour un poids sec de 9,740 kg, arrive, avec 209,03 points au seuil de la médaille d’or CIC (210 points). En plus de la puissance qui se dégage, il a la particularité d’avoir sur le crâne et à la base du pivot gauche, un andouiller de… 48 cm. Malheureusement, cet andouiller surnuméraire n’étant pas implanté sur le merrain, ne peut être compté, ce qui l’a privé du point qui lui aurait permis de franchir le cap de la médaille d’or. La présence de cet andouiller est certainement due à un choc ou une blessure à cet endroit du crâne, qui a entraîné un saignement et la formation de ce merrain annexe.  Concernant les « STJ » (Senior Trophy Judges) du CIC, rappelons qu'ils sont quatre en France : Alain François, Hubert Lefranc, Dominique Menjoz et Michel Valette. Ils forment la Commission nationale de l'AFMT chargée d'officialiser les très grands trophées.

Plus de 200 points dans les Ardennes

Le 16 janvier dernier, en forêt communale de Gespunsart, Vivian Moutarde tirait un très grand cerf… Avec une cotation finale qui atteint 201,49 points, ce 14 cors irrégulier, estimé à 9 ans, vient d’ailleurs s’inscrire à la 8e place du classement des meilleurs cerfs du département. Surmonté de deux empaumures totalisant quelques 14 épois de plus de 15 cm, le trophée est d’une élégance indiscutable confortée par une couleur presque noire, des pointes bien blanches, de longs surandouillers et un grain très bien marqué. Ainsi totalise-t-il 13 points de beauté. Pour les principales mensurations, on entre dans la cour des grands : - poids net : 7,4 kg ; - longueur des merrains : 105,5 et 105,7 cm ; - longueur des andouillers d’œil : 40,5 et 40,8 cm ; - longueur des chevillures : 39 et 37,2 cm ; - circonférences des meules : 26,4 et 25,4 cm ; circonférences des merrains : 16,1 et 15,8 cm pour le bas, et 14,3 et 15,1 cm pour le haut. A ce jour, les cerfs de plus de 200 points sont au nombre de 9 dans le département des Ardennes, et leur classement s’établit conformément au tableau.

 

J-M.T.

Un grand dix cors vosgien

Estimé à 8 ans, ce très beau dix cors régulier, à surandouillers, a été tiré par Michel Joly le 11 novembre 2018, en forêt domaniale du Ban d’Harol, à l’ouest d’Epinal. Bien perlé et de couleur brun foncé, le trophée pèse net 6,600 kg. Il présente de longs andouillers aux pointes bien blanches. Leur implantation est aussi d’une symétrie quasi géométrique, ce qui confère à l’ensemble des bois une esthétique indiscutable. Prélevé à l’âge adulte, on peut tout de même reconnaître que ce cerf à fourches, est d’une beauté qui n’a rien à envier aux cerfs à empaumures. La cotation, effectuée par Daniel Anders et Bertrand Pfeiffer, est arrêtée à 180,45 points.

 

J-M.T.

Belle récolte dans le Haut-Rhin

Tiré à l’âge de 12 ans, lors de la saison 2018/2019, ce cerf du massif vosgien s’inscrit dans une architecture de 14 cors, avec des empaumures à double fourches décalées. Cependant, l’amorce d’épois du côté gauche, insuffisamment développé, ne peut pas être pris en considération dans la cotation. Au premier coup d’œil, ce cerf peut être caractérisé par une courbure assez impressionnante des andouillers d’œil et des chevillures, dont les longueurs quasi équivalentes, se situent entre 35 et 36,6 cm. Ses merrains mesurent respectivement 93,40 et 95,60 cm, et leurs circonférences varient entre 12 et 14 cm. Celles des meules atteignent 27,6 et 27 cm. Net, le trophée pèse 5,300 kg, pour une envergure de 64 cm. La cotation, qui a été effectuée par Bruno Michel et Pascal Briswalter, s’élève à 182,24 points.

 

J-M.T.