Gite : Chez Papé et Mita

Une mystérieuse maladie canine inquiète

Une mystérieuse maladie respiratoire infectieuse, et parfois mortelle, s’est propagée chez les chiens aux États-Unis. Elle inquiète les experts qui tentent d’en découvrir la cause. Cette maladie est décrite par les autorités américaines comme la « maladie respiratoire infectieuse canine atypique », selon le ministère de l’Agriculture de l’Oregon, dans un communiqué de presse du 9 novembre dernier. Les symptômes comprennent la toux, les éternuements, les écoulements oculaires ou nasaux et la léthargie de l’animal. En un mois, plus de deux cents cas ont été signalés au Colorado, en Illinois et au New Hampshire. « Sur la base de l'épidémiologie des cas signalés à ce stade, ils semblent partager une étiologie virale, mais les tests de diagnostic respiratoire connus ont été négatifs » a déclaré le vétérinaire de l'État de l'Oregon, le Dr Ryan Scholz, de l'American Veterinary Medical Association. « Cette mystérieuse maladie est généralement résistante aux traitements standards » confirmait le Dr David B. Needle, pathologiste au laboratoire de diagnostic vétérinaire du New Hampshire et professeur agrégé de clinique à l'Université du New Hampshire qui ajoutait : « Bien que cette maladie particulière soit inhabituelle, des épidémies périodiques de maladies respiratoires infectieuses canines (CIRDC) peuvent survenir dans une population canine. Au moins neuf bactéries et virus différents ont été associés comme causes du CIRDC, qui se transmet par des gouttelettes respiratoires. Si votre chien présente ces symptômes, contactez d’urgence votre vétérinaire… ».

Au Brésil, des feux hors de contrôle au Pantanal

Dans l'Etat de Mato Grosso, et selon les données recueillies par l'Institut Centre de Vie (ICV), un quart de la surface du Pantanal a été touché par les flammes depuis plus d'un mois. « La situation est totalement hors de contrôle, et avec les vents violents, la situation va encore s'aggraver » préviennent les autorités. Sur les images satellites de l'Institut brésilien de recherches spatiales (Inpe), 2 256 foyers d'incendies ont été détectés dans la région, au cours de la première quinzaine de novembre. On y voit les gigantesques nuages de fumée qui surplombent une végétation calcinée, où, dessous, on imagine aisément la faune sauvage en pleine détresse. Dans le Pantanal brésilien, plus grande zone humide de la planète et sanctuaire de biodiversité, « L'impact du feu est si fort qu'il est difficile à mesurer. On n’a jamais vu un enchaînement d'incendies avec une telle fréquence… » constatait le ministère de l’Environnement brésilien. En cause, selon les observateurs, l'action humaine et notamment l'usage de la technique du brûlis pour l'expansion agricole, aggravée par une exceptionnelle sécheresse. Pour combattre les incendies, les défis logistiques sont énormes, la plupart des sites touchés étant difficilement accessibles. Le Pantanal s'étend sur une surface de plus de 170 000 km², au sud de l'Amazonie, sur les territoires du Brésil, mais aussi de la Bolivie et du Paraguay, ce pays venant de demander une aide internationale pour lutter contre ce désastre.

L’Outre-Mer, c’est 80% de la biodiversité française

Au Sénat, l'OFB s’est adressé aux élus d'Outre-mer lors d’un colloque sur la biodiversité organisé vendredi dernier. Profitant de la présence de nombreux édiles ultramarins à Paris pour le congrès de l'Association des maires de France, l'OFB, dont la présidente du Conseil d'administration est aussi vice-présidente de la région Guadeloupe, souhaite inciter les Outre-Mer à l'action. « Disposer de 80% de la biodiversité française nous oblige. La Guadeloupe est le premier territoire à avoir mis en place son Agence régionale de la biodiversité. La Réunion nous a rejoints, la Martinique entre en préfiguration, la Guyane est en pourparlers. Comment peut-on structurer tout cela ? Comment mener des actions politiques, des actions d'envergure pour pouvoir faire la protection de la biodiversité ? Comment peut-on se partager l'expérience, ce qui fonctionne, ce qui ne va pas, où il faut aller ? » déclarait-elle en ouverture des débats. Quant à Jean-Michel Zammite, directeur délégué aux Outre-Mer à l’OFB, il confirmait : « … Nous pouvons servir de modèle à la France hexagonale sur le traitement des problèmes qui nous touchent depuis un certain temps… L'enjeu de cette rencontre est également de mettre à disposition des territoires des perspectives opérationnelles concrètes… ». C’est un fait acquis, l’Outre-Mer est riche d'un potentiel extraordinaire, qui sert à la fois l'économie et le tourisme. Comme tout patrimoine, il faut le protéger, le maintenir et l’entretenir. L'enjeu est de mettre en avant les politiques de la biodiversité, les outils, les moyens dont peuvent disposer les collectivités et les associations, pour défendre leur biodiversité et la mettre en valeur. Le besoin qui émerge de tous les territoires ultramarins, c'est un besoin d'ingénierie, technique et financière… Un second volet, rassemblant les techniciens, sera organisé mi-décembre à la Grande-Motte, dans le sud de l'Hexagone.

Chasse à courre : le Rallye Trois Forêts disculpé par la Cour d’Appel d’Amiens

Comme le Ministère public disposait de cinq jours pour se pourvoir en cassation, et ce délai étant échu, l’affaire est donc définitivement classée au bénéfice intégral des veneurs. La Cour d’Appel d’Amiens, par un arrêt du 17 novembre 2023, a donné droit au Rallye Trois Forêts, dans l’affaire préalablement jugée en date du 11 janvier 2023 par le Tribunal de police de Senlis. Les faits remontaient à février 2018. Il était reproché à l’équipage « d'avoir violé une interdiction édictée par décret ou arrêté de police », sans plus de précision, sachant qu'il était soutenu à l'audience que ce manquement concernait un arrêté du Maire de Pont-Sainte-Maxence qui interdit la pratique de la chasse à courre à moins de 200 mètres des habitations. Le tribunal de Senlis avait relaxé l’équipage de l’infraction de divagation de chiens. Etonnamment, il l’avait cependant condamné à une amende de 300 € pour avoir violé le périmètre de chasse autorisé au sein de la commune de Pont-Sainte-Maxence. La Cour d’Appel d’Amiens annule la citation et le réquisitoire et aucune condamnation n’est maintenue ni prononcée à l’encontre du Rallye Trois Forêts.

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COP 28 : les Émirats autoriseront les rassemblements « pacifiques » de militants pour le climat

Les Émirats, classés quatrième plus grand pollueur au monde par habitant en 2019 par la Banque mondiale, accueilleront la COP28 du 30 novembre au 12 décembre 2023, dans le centre d’affaires de Dubaï. Mais les éventuels protestataires sont déjà prévenus : « les défenseurs de l’environnement seront autorisés à se rassembler pacifiquement… » à la condition d’avoir une autorisation officielle. Dans ce cas, ont précisé les autorités : « Il y aura un espace disponible pour que les militants pour le climat puissent se rassembler pacifiquement et faire entendre leur voix ». Cette précision a été publiée après que le président de la COP28, Sultan Al Jaber, et le secrétaire exécutif de la CCNUCC, Simon Stiell, aient signé à Abou Dhabi un accord bilatéral qui constitue la base juridique de l’organisation et de l’accueil des négociations sur le climat. Bien que le groupe « Climate Action Network International » ait prévenu qu’il « s’opposerait à toute tentative visant à restreindre la participation des militants pour le climat », la fermeté des autorités suscite l’inquiétude des écolos. Sûr que tout débordement sera étouffé dans l’œuf, et que certains réfractaires risquent de rester à Dubaï, bien plus longtemps que prévu…

Fichier national du permis de chasser : l’Etat rappelé à l’ordre

L’article L. 423-4 du code de l’environnement, dans sa rédaction résultant de l’article 13 de la loi n° 2019-773 du 24 juillet 2019, portant création de l’Office français de la biodiversité, prévoit « un fichier national du permis de chasser, constitué du fichier central des titres permanents du permis de chasser géré par l’OFB, et du fichier central des validations et autorisations de chasser géré par la Fédération nationale des chasseurs » avec un régime à aménager par décret. Or, plus de quatre ans après l’adoption de la loi, le décret n’est pas encore sorti. Le Conseil d’Etat l’a souligné dans sa déclaration : « (ce décret), après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés, est nécessaire pour, d’une part, préciser les modalités de constitution et de mise à jour du fichier national du permis de chasser et, d’autre part, définir les conditions de consultation du fichier par les agents de l’Office français de la biodiversité et de la Fédération nationale des chasseurs ». Or, en l’espèce, 4 ans c’est trop long, selon le Conseil d’Etat, pour ce décret nonobstant les difficultés d’ordre juridique et technique qui semblent avoir été rencontrées, notamment des interconnexions devant être réalisées entre le fichier national mentionné à l’article L. 423-4 du code de l’environnement et les fichiers existants consacrés au contrôle des armes, tels que le fichier national des personnes interdites d’acquisition et de détention d’armes (Finiada) et le système d’information sur les armes (SIA). L’ASPAS, une nouvelle fois, a saisi le Conseil d’Etat. En est sorti ces deux articles :

- 1) La décision implicite par laquelle la Première ministre a refusé de prendre le décret prévu par le II de l’article L. 423-4 du code de l’environnement dans sa rédaction résultant de l’article 13 de la loi du 24 juillet 2019 est annulée.

- 2) Il est enjoint à la Première ministre de prendre ce décret dans un délai de six mois à compter de la notification de la présente décision, sous astreinte de 200 euros par jour de retard ». 

L’Etat a donc six mois pour sortir le décret sur le ficiher national du permis de chasser...

Conservation de la perdrix grise

Avec l'entrée en vigueur imminente des plans stratégiques de la PAC, il n'a jamais été aussi important, pour les agriculteurs, de contribuer à la biodiversité. Le projet « Partridge » a démontré comment la perte de biodiversité sur les terres agricoles peut être inversée grâce à des améliorations de l'habitat de haute qualité, adapté à la perdrix grise. Parmi les principales mesures figure la création de parcelles florales fauniques qui fournissent une couverture et des zones d'alimentation cruciales, à la fois pour la nidification et l'alimentation des poussins insectivores. Il est important de noter que de nombreuses autres espèces bénéficient également de ces mesures agroenvironnementales, tel le marteau jaune, l'alouette des champs, le moineau bicolore, la gorge blanche, le chardonneret et le lièvre brun, pour n'en nommer que quelques-unes…

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Chacal doré : une deuxième identification en Alsace

Quatre mois après une première observation faite à Oberbronn en avril dernier, c’est à Obersteinbach, toujours dans les Vosges du Nord, que la présence d’un chacal doré a été confirmée dans le Parc naturel régional des Vosges du Nord. Cet animal, de la famille des Canidae, reste cependant une espèce qui a été peu étudiée, notamment dans les pays où il y a de fortes populations (Bulgarie, Croatie, Hongrie, Roumanie). Mais l’expansion de l’espèce se confirme, après des observations faites en Suisse, dans les Grisons, puis en France en Haute-Savoie, dans les Alpes Maritimes, dans les Bouches du Rhône, le Finistère et les Deux-Sèvres. Si les effectifs venaient à progresser, la définition d’un statut juridique va rapidement s’avérer indispensable, ce qui, en droit français, n’est pas simple. Du point de vue cynégétique, aucune étude récente menée en Bulgarie ne permet de démontrer un impact négatif de l’espèce sur les animaux chassables. Le chacal doré semble se nourrir essentiellement de souris, de campagnols ou de mulots, et comme le renard, il s’intéresse beaucoup à nos déchets laissés ici où là, dans la nature ou dans les aires à poubelles. Par ailleurs, le chacal doré s’avère être un bon nettoyeur dans le sens où, charognard également, il élimine bon nombre de carcasses d’origine naturelle ou résultantes d’activités humaines.

Lutte contre la criminalité à l'égard de la faune sauvage

En rappelant la « Charte européenne sur la Chasse et la Biodiversité » adoptée par le Conseil de la Convention européenne relative à la conservation de la faune sauvage et des habitats naturels (Convention de Berne), la FACE a réaffirmé ses engagements dans la lutte contre la criminalité à l'égard de la faune sauvage. Faisant référence à l'abattage illégal, la capture et le commerce des oiseaux migrateurs dans la Méditerranée (MIKT), la FACE lance un appel aux scientifiques, aux universités et autres instances ayant l'intention d'effectuer des recherches sur la criminalité à l'égard de la faune sauvage, afin qu'ils travaillent en étroite collaboration avec la communauté cynégétique pour explorer les solutions efficaces permettant de combattre ce fléau. Reconnaissant le travail des associations de chasse dans toute l'Europe, qui conseillent et aident les autorités chargées de l'application des lois de manière pratique, la FACE, lors de sa dernière assemblée générale du 25 octobre dernier :

- exprime son soutien constant et résolu à une « tolérance zéro » de la criminalité à l'égard de la faune sauvage,

- lance un appel à une meilleure compréhension des causes fondamentales afin que les décideurs conçoivent les réponses politiques et la législation appropriées,

- fait appel aux décideurs pour qu'ensemble ils œuvrent avec la communauté cynégétique,

- soutient le besoin d'assurer une mise en œuvre efficace et effective de la législation portant sur la criminalité à l'égard de la faune sauvage.

Mortalité des éléphants en Afrique : le doute subsiste…

Au Zimbabwe, la mort massive et non élucidée d’éléphants inquiète toujours les autorités. Pour les scientifiques mandatés pour en trouver ou expliquer les causes, la chaleur, la sécheresse et la surdensité des populations sont en premières lignes, mais les échantillons prélevés sur des cadavres, et analysés par les chercheurs, ne semblent pas avoir livré tous leurs secrets. Bien qu’une infection due à la bactérie taxon 45 de Bisgaard ait été constatée sur certains cadavres, d’autres en étaient totalement exempts. Pour certains sujets, la mort est intervenue rapidement, en moins de 24 heures, alors que pour d’autres, l’agonie a été de plusieurs jours, montrant un dépérissement chronique attribué au manque d’eau et à ses effets secondaires. « C’est l’une des parties les plus énigmatiques de tout le puzzle. Autant d’animaux qui meurent assez près les uns des autres, mais pas les uns à côté des autres, sur un laps de temps aussi restreint, c’est du jamais vu dans cette partie du monde » a déclaré le docteur vétérinaire Chris Foggin, coauteur de l’étude, rappelant par la même occasion, qu’au Botswana voisin, plus de 350 éléphants étaient tombés dans les mêmes conditions, mais qu’il n’y avait aucun lien prouvé entre la mort des éléphants de Zimbabwe et du Botswana. Alors l’énigme reste entière pour les 227 900 éléphants qui vivent dans la zone de conservation transfrontalière Kavango-Zambezi, soit 50 millions d’hectares de de terres protégées.

Classement des ESOD : l’ASPAS déboutée

Le Conseil d’Etat, saisi par l’ASPAS pour suspendre l’arrêté portant le classement des ESOD, a rendu son jugement, à la suite de l’audience de référé du 14 novembre dernier. Cette association, comme One Voice et la LPO l’avaient fait en août dernier, ciblait le renard et le corbeau freux, ainsi que de nombreux classements départementaux. Dans sa décision, le juge du Conseil d’Etat a rejeté le recours de l’ASPAS pour défaut d’urgence, mais aussi, et c’est à souligner, « en raison de l’absence de doute sérieux de l’arrêté attaqué ». En attendant le jugement sur le fond, qui sera prononcé dans quelques mois, cette décision met en exergue :

- que, contrairement à ce que soutient l’ASPAS : « la seule circonstance que la destruction d’un spécimen d’une espèce mentionnée par l’arrêté litigieux ne présente pas un caractère irréversible puisqu'elle est insusceptible, par elle-même, de justifier l'urgence »,

- que l'état de conservation du corbeau freux, pourtant classé vulnérable à l'échelle de l'Europe, « devait être apprécié au niveau français, parce qu'il s'agit d'une espèce principalement sédentaire ».

 

Pour lire l’ordonnance du 20 novembre 2023, c’est ICI

Quand on régule, on ne chasse pas !

Telle est la philosophie du Parc National des Forêts, pris entre la nécessité de limiter la prolifération de la grande faune sauvage, et son rejet viscéral de la chasse. Nous avons reçu ce courrier de l’un de nos lecteurs, témoin de l'une de ces opérations de destruction. « En se référant aux cinq sens du mot trophée, déclinés par le Larousse, leur lien commun est bien que le trophée reste le souvenir concret d’une confrontation engagée par l’homme, et qui l’implique dans diverses épreuves. En ce sens, le trophée de chasse est une partie de l’animal que l’on conserve, et qui marque le souvenir d’une certaine épreuve, laquelle n’est autre que la Chasse (avec un grand C), avec son cortège de stratégies, individuelles et collectives, de techniques d’appropriation du sauvage, et d’exploitation des produits de cette chasse. Le trophée est ainsi un témoin fort, chargé aussi des émotions que la chasse a procurées, tandis qu’il peut encore s’imposer tel un document d’histoire naturelle, pour être étudié et servir à des fins scientifiques, pédagogiques, et conduire à une meilleure connaissance des espèces. Les livres du Docteur Alain François en constituent des exemples remarquables ! Dans la réserve intégrale de 3086 ha du Parc National des Forêts, au cœur de ce qui a été l’un des fleurons des massifs français les plus riches en grande faune sauvage, et le théâtre de recherches scientifiques menées depuis plus de quarante ans par l’ONC, puis l’ONCFS et encore maintenant par l’OFB, sur la base d’un cahier des charges en béton, toute pénétration, toute intervention humaine y sont proscrites, et des amendes « salées » pour celui ou celle qui voudrait s’y aventurer, ont été prévues. Mais… les ongulés s’y reproduisent, et la gestion des populations animales est indispensable. Pas par la chasse, car ce gros mot est interdit dans ce « sanctuaire », mais par des opérations de régulation où des tireurs placés sur des miradors exécutent les animaux qui passent à leur portée. Daguets, biches, faons, sangliers, sont ainsi « canardés ». On imagine aisément qu’en de tels lieux des animaux y vieillissent, mais sans doute pour ne pas laisser de traces, des trophées sont détruits ou démontés, tels ceux de ces daguets qui illustrent ce propos, dont seules les dagues ont été présentées, sciées à la base des meules, et ainsi désolidarisées de la boîte crânienne, ce qui, d’évidence, ne ressemble plus à grand-chose. Personnellement, j’y vois là une négation pure et simple des valeurs liées à la chasse du grand gibier, et qui n’est pas à mettre à l’honneur du Parc National des Forêts. Est-ce la volonté délibérée de gommer à jamais ce qui constitue l’essence même de la conservation des grands animaux sauvages, témoin de l'Histoire et de leur évolution. Alors derrière tout cela, on ne s’empêchera pas de penser que se cache, une fois encore, le lobby diabolique de l’anti-chasse… Dans un Parc qui revendique être la vitrine de la préservation du patrimoine rural et de son environnement humain, c'est vraiment regrettable ! ». (J.M.)