Gite : Chez Papé et Mita

Festival de la photo à Montier en Der

Sous le générique de « biodiversité », le festival 2023 fera la part belle aux forêts et peuples du Nouveau Monde. Cette 26ème édition sera parrainée par Olivier Larrey, photographe animalier, qui sera accompagné d’Yves Fagniart, peintre animalier, pour leur projet « Terre de Loups ». Au cœur de la grande forêt boréale, ils sont restés cachés 80 jours au total dans le même affût, à différentes saisons. Ainsi, au fil du temps, ils sont rentrés dans la vie d’une meute de loups établie à la frontière russo-finlandaise pour fixer, en photographies pour l’un, en aquarelles pour l’autre, des observations insolites qui ont émaillé cette aventure singulière sous ces hautes latitudes. Autres temps forts : la projection en avant-première, du film réalisé par Tanguy Dumortier et Olivier Larrey, l’exposition photographique de Pascal Maître, grand reporter et photojournaliste, qui proposera des clichés spectaculaires sur la gestion des problématiques environnementales et climatiques, ainsi qu’un projet photographique sur les monarques, une espèce de papillon d’Amérique du Nord. Le festival mettra à l’honneur des territoires riches en biodiversité, et un premier focus sera fait sur les « Forêts et peuples du Nouveau Monde » avec notamment la forêt amazonienne, avec la présence de trois photographes brésiliens (Renato Soarès, Joao Marcos Rosa et Luciano Candisani), 1 photographe indigène (Priscilla Tapajoara) et 2 artistes amazonien (Tiago Ishiyama et Maria Fernanda Paes de Barros), en partenariat avec Amazonie Immersive. Proposer des projets innovants est dans l’ADN du festival de Montier en Der, qui ouvrira ses portes du jeudi 16 au dimanche 19 novembre 2023.

 

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Etats-Unis : une femme piétinée à mort par un wapiti

Cela s’est passé le 26 octobre dernier dans les montagnes Hualapai, à environ 24 km au sud-est de Kingman, en Arizona. Selon le communiqué du Département de la chasse et de la pêche de l’Arizona, la victime a été attaquée et piétinée par l’animal, alors qu’elle tentait de le nourrir. C’est le mari de la femme qui l’a trouvée au sol, avec des blessures évoquant le piétinement d’un élan, un seau de maïs renversé à proximité. Un agent s’est rendu dans la communauté, a placé des panneaux d’avertissement sur les portes des résidences le long de la route conseillant aux gens de ne pas s’approcher ou de ne pas nourrir les wapitis. C’est le 5ème accident du genre en 5 ans, ont précisé les autorités. « L’alimentation est l’une des principales sources de conflits entre les humains et la faune sauvage. La faune nourrie s’habitue aux humains, avec les risques d’une réaction brutale, imprévisible et incontrôlable. Le public est invité à contribuer à maintenir la faune sauvage à l’état sauvage. La faune sauvage, qui est nourrie par les humains, ou qui tire sa source de nourriture d’articles tels que des déchets non sécurisés ou de la nourriture pour animaux de compagnie, perd sa peur naturelle et devient dépendante de sources de nourriture non naturelles. Nourrir met en danger la personne qui le nourrit, ses voisins et la faune elle-même. S’il vous plaît, ne nourrissez pas la faune » a déclaré l’AZGFD.

Chasse : des contrôles qui se passent pour le mieux…

N’en déplaisent à ceux qui peignent les chasseurs avec un gros nez rouge, une bouteille de blanc dans la poche et qui vont rire jaune en apprenant que, dimanche dernier, dans chaque région administrative, des contrôles d’armes et d’alcoolémie ont été organisés par l’OFB, avec l’appui des gendarmeries locales. Que ce soit en Lorraine, dans le Jura, en Aquitaine, en Bretagne, tous ces contrôles se sont bien passés, aucun d’entre eux n’ayant donné matière à moudre aux anti-chasse. En Meurthe et Moselle, dans le lunévillois, sur les communes de Laronxe et de Fraimbois, Stéphane Bisbocci, inspecteur de l'environnement à l'OFB confirmait : « On est là pour vérifier que tout est bien respecté, mais c'est rare que ça arrive… ». Selon la procédure, lors de chaque contrôle, les agents vérifient que les armes sont bien déchargées et neutralisées, constatent l’absence d’alcoolémie et de stupéfiants. « Bien que les chasseurs ne soient pas vraiment la cible sur les stups, c'est surtout pour l'alcoolémie » confirmait Mélina Claire, la chef d’escadron. Dans le Jura, même procédure pour l’opération « sécurité chasse » dont l’objectif, déclaraient les agents de l’OFB : « est de contrôler les chasseurs, mais c’est aussi faire de la prévention et dialoguer avec eux ». Menée sur le territoire des communes du deuxième plateau du Jura et du Haut-Jura, elle s’est déroulée dans le cadre de la Mission interservices de l’eau et de la nature dimanche dernier, pour laquelle 26 agents des différents services concernés (Gendarmerie, OFB, ONF, DDT), répartis en 7 équipes, ont vérifié le respect de la réglementation en vigueur, et fait œuvre de pédagogie… Là aussi, tout s’est correctement passé.

Belgique : sur le traditionnel marché au gibier à Bouillon

A Bouillon, ville d’où est parti, en 1097 la croisade emmenée par l’intrépide seigneur Godefroy, l’anniversaire de l’armistice de 1918 est très dignement fêté autour du monument aux morts où se rassemblent élus, enfants des écoles et autres habitants. Mais à deux pas de là, un autre évènement attire la foule des grands jours, le marché au gibier qui, dès 10 heures, ouvre ses portes. On y vient de Belgique bien évidemment, mais aussi de France, des Pays-Bas, du Luxembourg et même d’Allemagne pour y faire des achats de venaison, qui figurera, et c’est la tradition, en bonne place sur les menus des fêtes de fin d’année. A côté du gibier, on y trouve tous les produits d’accompagnements issus des productions locales, et des spécialités venues de France, comme les fromages, les vins et le Champagne. Le marché est aussi enrichi de tout ce que l’on peut imaginer, touchant de près ou de loin à la chasse : vêtements, accessoires, coutellerie, arts animaliers et des délices d’après-chasse, dont les cigares de Joseph Martin, dernier planteur et producteur de tabac de Semois, établi à Bohan (maisonmartin.be)

J-M.T.

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Les écolos s’attaquent au « droit de propriété »

Dans le droit français, « La propriété est le droit d'user (usus), de jouir (fructus) et de disposer (abusus) d’une chose de la manière la plus absolue, pourvu qu’on n’en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements » (article 544 du Code civil). Que cette « chose » soit immobilière ou mobilière, elle est considérée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, comme l'un des quatre « droits naturels et imprescriptibles de l'Homme », « inviolable et sacrée, et nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité ». Mais qu’à cela ne tienne, puisque deux écolos, députés et dépités de surcroit, devraient déposer une proposition de loi pour garantir aux Français le droit de se promener dans les forêts privées. En cause, la loi de février dernier, qui oblige les propriétaires à ouvrir leurs clôtures pour permettre la libre circulation de la faune sauvage. Mais leurs propriétés n’étant plus hermétiquement closes, ils peuvent cependant en interdire l'accès en installant des petits panneaux qui l'indiquent à l'entrée, et y mettre les pieds expose à une amende pouvant aller jusqu'à 750 euros. Alors pour garantir le « droit » de se promener partout, les deux parlementaires Jérémie Iordanoff (NUPES, 5ème circonscription de l’Isère) et Lisa Belluco (ECO, 1ère circonscription de la Vienne) voudraient une loi pour garantir l'accès à toutes ces forêts privées. « Si tous les propriétaires installent ces panneaux, bientôt on ne pourra plus se promener en forêt, pour ramasser des champignons » craignent ces deux élus de la République. C'est dire...

Les drones interdits de vol en zones « cœur » des parcs nationaux

Considérés comme trop dérangeant pour la faune sauvage, les drones sont interdits dans les zones cœurs des parcs nationaux. Pour tous les animaux chassés par des prédateurs ailés (marmottes, faons de chevreuil, cabris de chamois et d’isard, perdrix, lièvres, lagopèdes, tétras-lyre), le drone est identifié comme un prédateur en survol, prêt à attaquer, et provoque affolement et fuite pour les animaux terrestres, ou, pour les oiseaux, un simulacre de riposte pour chasser l’intrus, au risque pour eux de heurter le drone et de se blesser. En outre, précise le communiqué, en période de reproduction le drone représente un danger pour la survie des espèces sensibles, les nids pouvant être abandonnés par les couveuses. Très occasionnellement, une autorisation de survol par drone en cœur de parc peut être accordée par le directeur, uniquement dans le cadre d’une mission scientifique ou d’un suivi des risques naturels. En tant qu’inspecteurs de l’environnement, les gardes-moniteurs des parcs nationaux sont chargés de faire respecter la réglementation et peuvent à ce titre sanctionner toute infraction, survol de drones et autres.

 

Le journal parlé, c'est ici : https://youtu.be/K-0NTLM8qiE

Une espèce en voie de disparition : le loup indien

Après avoir séquencé leur génome pour la première fois dans l’histoire, des scientifiques de l’UC Davis ont découvert que le loup indien était l’une des espèces de loups gris les plus distinctes sur le plan évolutif et l’une des plus anciennes lignées de loups survivantes. Selon l’étude publiée dans la revue Biologie moléculaire, cette espèce est proche de la totale disparition des prairies des basses terres de l’Inde et du Pakistan, zones de plus en plus occupées par l’expansion humaine. Avant cette recherche, les loups indiens et d’Asie occidentale étaient considérés comme une seule population. Cependant, en séquençant les génomes de deux loups tibétains et de quatre loups indiens, les scientifiques ont découvert que ces deux espèces étaient distinctes sur le plan évolutif, et l’analyse génétique a également révélé que ces deux espèces de loups sont issues d’une ancienne lignée antérieure à l’essor des loups holarctiques, que l’on trouve largement en Amérique du Nord et en Eurasie. Il s’agit de la première étude portant sur l’intégralité du génome de ces populations. Selon Hennelly, qui a dirigé l’étude : « ces découvertes pourraient constituer une première étape vers la mise en œuvre de meilleures politiques de conservation des loups indiens… ».

Biodiversité : l’UE parvient à un accord sur un texte clé

Le Parlement européen et les États membres de l’Union européenne (UE) sont parvenus, jeudi, à un accord sur un projet législatif clé sur la restauration de la nature et la biodiversité. En lien avec l’accord international Kunming-Montréal (COP15 Biodiversité), la législation adoptée impose désormais aux vingt-sept états de restaurer, d’ici 2030, au moins 20% des terres et des espaces marins de l’Union, selon le communiqué du Conseil européen. Avant les négociations entre les États membres et le Parlement, des craintes avaient été émises concernant la sécurité alimentaire en Europe, mais les législateurs européens ont trouvé, au terme de plusieurs heures de discussions, « ce résultat historique qui définit des règles ambitieuses et praticables par tous», a déclaré Pascal Canfin, à la tête de la commission sur l’environnement au Parlement. Quant à la ministre espagnole pour la Transition écologique, Teresa Ribera Rodriguez, elle s’est dit « fière de la loi, qui nous aidera à reconstruire des niveaux sains de biodiversité et préserver la nature pour les générations futures, tout en combattant le changement climatique ». Selon Bruxelles, la situation actuelle n’est pas mirobolante puisque 80% des habitats naturels dans l’UE sont dans un état de conservation « mauvais ou médiocre ». 

Enorme bémol cependant, avec la suppression des obstacles sur des cours d'eau. Si la pluviométrie est identique à ce qu’elle apportait dans les années 1950, avant la motorisation de l’agriculture, il n’est pas pris en compte les modifications des biotopes. Avec la traction animale, les coteaux et les plateaux restaient en friches, et ce couvert végétal était une véritable éponge qui retenait une quantité phénoménale d’eau, et la restituait tout au long de l’année, maintenant ainsi un étiage élevé. Aujourd’hui, tout est cultivé et le restera pour des raisons de nécessité. Détruire les barrages et autres retenues va accélérer l’écoulement du précieux liquide, qui file déjà vers la mer deux fois plus vite qu’auparavant. La garantie d’une pluviométrie régulière n’étant pas assurée, les périodes de manque d’eau vont donc encore se multiplier. Mais ce n'est pas grave, dans cinq ans, on reconstruira les retenues !

La FACE lance son Manifeste pour les élections européennes de 2024

La Fédération européenne pour la chasse et la conservation (FACE), qui représente 7 millions de chasseurs dans toute l'Europe et comprend 37 associations nationales de chasse, a officiellement lancé son manifeste pour les élections européennes de 2024. Elles se dérouleront du 6 au 9 juin 2024, et auront, avancent les observateurs, un impact significatif sur le paysage politique européen au cours des 5 prochaines années. La chasse et la conservation de la nature sont bien évidemment concernées, et ce manifeste constitue une étape importante pour assurer aux chasseurs que leurs voix seront entendues et bien comprises. Les députés européens, candidats aux élections, sont invités à signer le manifeste pour exprimer leur soutien à une approche viable et fondée en matière de chasse et de conservation. S'exprimant lors du lancement, le président de la FACE, Torbjörn Larsson, a déclaré : « Notre manifeste électoral expose les principes fondamentaux de la FACE pour garantir que les lois sont applicables et équitables pour les 7 millions de chasseurs européens… ». Les membres de la FACE s'activent désormais à rassembler le soutien des candidats députés européens dans les cinq demandes clés, dont celle de recréer après ces élections, et au-delà des clivages, un intergroupe « Biodiversité, Chasse, Campagne » au Parlement européen pour la prochaine législature.

 

Pour plus d’informations sur la campagne du Manifeste FACE, c’est ICI

Les incidents et faits divers de la semaine

- Oise : à Carlepont, un chasseur à l’affût s’est tiré accidentellement dans la jambe. Il était en poste sur un mirador quand le coup est parti. A-t-il glissé sur le plancher humide ou l’arme est-elle tombée ? L’enquête de gendarmerie qui est en cours devrait éclaircir les circonstances de cet accident.

- Pas de Calais : le 26 octobre, un cochon vietnamien, en vadrouille dans la localité de Calonne-Ricouart a été abattu par un garde-chasse qui l’aurait confondu avec un sanglier (sic). Derrière cet épisode, sans doute quelques querelles de voisinage, mais toujours est-il que, pour cet animal adopté quelques jours plus tôt par une famille, il y a eu des prises de position, dont celle du président de la FNC, Willy Schraen, qui envisageait de demander que l’on retire le permis de chasse au tireur, alors que du côté de la mairie, la ville devait porter plainte.

- Haute-Garonne : la semaine dernière, un TGV Paris-Toulouse, qui met habituellement 4h26 pour relier les deux villes, a été immobilisé à Bordeaux, à la suite d’une collision entre un train de fret qui le précédait, et un sanglier. La SNCF a dû faire venir une autre locomotive sur place, pour remplacer la machine accidentée. Le TGV a pu finalement repartir de la gare de Bordeaux à 0h20 à vitesse normale pour arriver à destination vers 2h30 du matin.

- Savoie : Comme chaque année, une bataille administrative se déroule autour de l’autorisation de chasser certaines espèces en Savoie. La première manche avait été gagnée par les chasseurs, quand le tribunal administratif de Grenoble a rejeté la requête des associations environnementalistes concernant l’interdiction de la chasse de la marmotte et des lièvres, variables et communs. Mais la seconde manche revient aux défenseurs des animaux puisque la même instance a suspendu l’autorisation de chasser les tétras-lyres et les perdrix bartavelles. « Nous ne laisserons pas la chasse de montagne, véritable patrimoine culturel et cynégétique, être sacrifiée pour satisfaire quelques écolos… » a déclaré la FDC de Savoie, qui annonce se pourvoir en cassation devant le Conseil d’État.

- Vendée : depuis plusieurs jours, les sangliers sont partout dans la ville des Sables d'Olonne et principalement dans le quartier de la Chaume où ils viennent se nourrir. Les humains ne les inquiètent plus et c’est bien là le problème. Les animaux sont suivis, filmés et font le bonheur des internautes qui relaient ces images. Les chasseurs ont été sollicités pour repousser les animaux vers la forêt d’Olonne où ils pourraient être tués plus facilement.

- Drôme : la préfecture de la Drôme a annoncé, mardi dernier, l’élimination d’un douzième loup alors qu’il s'approchait d'un troupeau de bovin à Saint-Agnan-en-Vercors. La menace de l’attaque étant avérée, l’éleveur est intervenu et a tué le prédateur. C'est le 170e animal abattu en France depuis le début de l’année, le 12e en Drôme, dans le cadre de l’arrêté du 23 octobre 2020 qui fixe un plafond national à 209 spécimens ».

Loire : lors du cambriolage de l’armurerie Vitti, sise au 174 rue de Charlieu, à Roanne, 25 fusils de chasse et 400 munitions ont été dérobés par un, ou des malfaiteurs, qui se sont introduits dans l’établissement dans la nuit du dimanche 5 au lundi 6 novembre. A l’arrière, une palissade donnant sur un parking a été couchée, puis le grillage d’une fenêtre permettant d’accéder au commerce a été découpé. Une enquête est en cours, menée par la brigade de recherches (BR) de la gendarmerie de Roanne. Puis, deux jours plus tard, à Saint-Etienne, c’est le logisticien Ziegler qui a été la cible de cambrioleurs à la recherche de fusils d'assaut et de fusils à pompe. C'’est sur les lieux d’un accident mortel, sur l’autoroute A 43 à la hauteur de Saint-Priest (Rhône), que les forces de l’ordre ont retrouvé deux armes de guerre parmi un stock d’une cinquantaine d’autres armes volées quelques heures plus tôt. C’est en empruntant l’autoroute à contresens, pour s’extraire d’un embouteillage provoqué par un accident de la circulation, qu’une BMW, apparemment utilisée par le ou les individus, a mortellement blessé un automobiliste. Abandonnant la berline allemande et sa cargaison, le conducteur qui a pris la fuite, est activement recherché. Dans le cadre de cette « chasse » à l’homme, l’enquête est menée par la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lyon.

« Esprit parc national » : une marque engagée pour le patrimoine

Portée collectivement par les Parcs nationaux de France et l’Office français de la biodiversité (OFB), la marque « Esprit Parc National » veut garantir l’engagement des professionnels du territoire dans une production et des services respectueux des valeurs des parcs nationaux. La marque collective, lancée en 2015, a pour ambition de fédérer les acteurs économiques de chaque parc national, en valorisant leurs produits et services et, par le biais d'un acte de consommation, de sensibiliser le consommateur aux principes du développement durable. « Esprit Parc National » est exclusivement attribuée à des produits ou des services issus d'activités exercées dans les parcs nationaux français. Elle met en avant les hommes et les femmes qui, au sein des parcs nationaux, partagent leur passion pour la qualité, la nature et l'authenticité. L'attribution de la marque atteste que ces produits et services s'inscrivent dans un processus écologique qui préserve la biodiversité, et s'inscrivent dans le développement durable, en lien avec des activités comme le pastoralisme, l'agroforesterie, l'apiculture, l'association de cultures et d'élevage, l'agriculture biologique… Ces pratiques limitent le recours aux engrais de synthèse, aux produits phytosanitaires, évitent le gaspillage de ressources naturelles (eau, sols) et les pollutions. Ainsi, elles contribuent à la qualité des paysages, des milieux naturels et semi-naturels qu'elles utilisent, dans le respect du caractère du parc national. Elles donnent des produits qui ont une typicité et une qualité liée à cet ancrage naturel et local. Cette philosophie et ces méthodes de travail se retrouvent également dans les prestations touristiques, que ce soit dans l’hébergement, la restauration, les visites de sites ou les activités de découverte. 

Le nouveau catalogue 2024 Dima Hunting est disponible...

« La fin d'année approche à grands pas. La saison 2024, ainsi que vos futures aventures de chasse à l'étranger n'ont jamais été aussi proches. En cette occasion, nous vous dévoilons notre nouveau catalogue numérique… » écrit Hubert Maës de Dimabushcamp. Il précise également que : « Nos destinations et formules phares y sont agrémentées de nombreuses photos de la magnifique saison que nous venons de vivre avec vous, et nous vous en remercions. Le sur-mesure restant un de nos domaines de prédilection, toute la palette de nos services et prestations n'est pas représentée dans ce catalogue, ainsi que quelques nouveautés 2024 : nouvelles possibilités d'hébergement en Afrique du Sud et en Roumanie, de nouveaux territoires exclusifs, la possibilité de grandes chasses au Botswana ou d'espèces supplémentaires à chasser dans la région du Karoo en Afrique du Sud. Alors, si une nouvelle aventure cynégétique vous tente, entre amis ou en famille, n'hésitez pas. Un souhait et Dima Hunting fera le reste ! ».

 

Pour voir le catalogue 2024 de Dima Hunting, c’est ICI