" Je sonne de la trompe" par Sylvain Oudot et Guyaume Vollet

Destiné à l`apprentissage progressif de la technique pour la trompe en ré, cet ouvrage s’adresse aux apprenants, débutants ou moyens, ainsi qu’aux enseignants. Forts de leurs expériences respectives, les deux auteurs proposent un condensé de leur approche de l'enseignement de la trompe, complété par trois recueils d’études, d`exercices et de fanfares traditionnelles déjà disponibles dans la même édition « Tempo Music Club ». La méthode est d'autant plus profitable qu`elle s’enrichira des conseils avisés et personnalisés d’un professeur. Les phases successives d`apprentissage sont présentées en quatre chapitres qui correspondent à la chronologie d`enseignement : 1) la gestion de l’air ; 2) la diction et l’ornementation ; 3) l’expression ; 4) les pupitres. Comme le précisent les auteurs : « La rédaction de cet ouvrage se veut simple et efficace. Nous avons choisi de ne pas illustrer nos propos par des planches techniques ou anatomiques savantes, préférant orienter le lecteur vers des vidéos intéressantes dont les liens sont fournis en fin de recueil. Ce vecteur moderne de connaissances, utilisant l’animation 3D, présente l`avantage d’être à la fois explicite et ludique. Des exercices annexes ont été sélectionnés dans le but de susciter un « ressenti » chez l'apprenant. Ils peuvent être complétés par d`autres exercices, selon les recommandations des professeurs. Évidemment, la méthode devra être adaptée par le lecteur ou le pédagogue de façon appropriée pour l'élève, selon sa morphologie, ses capacités physiques et son niveau d’avancement dans l`apprentissage de l'instrument ».

 

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Drôme : les chasseurs vont continuer à aider le tétras-lyre

Le plan de chasse de « un » tétras-lyre, demandé par la FDC de la Drôme, a été attaqué par la LPO, décidemment bien en manque de lucidité. Ces défenseurs des oiseaux n’avaient, et peut-être n’ont-ils pas encore compris, que ce plan de chasse allait tout simplement permettre à l’espèce tétras-lyre de rester classée dans la catégorie « gibier », et bénéficier ainsi de ce que ces soi-disant défenseurs ne font pas : mettre la main à la poche et se retrousser les manches pour tenter de les sauver d’une disparition quasi inéluctable si rien n’est fait. Rémy Gandy, le président de la FDC, avait pourtant tenter d’expliquer la raison de cette demande d’attribution, en vain. Heureusement, le tribunal n’a pas suivi la demande d’annulation de la LPO, et a validé le plan de chasse, qui ne sera probablement jamais réalisé… L’emblématique oiseau des Alpes est devenu un véritable enjeu de biodiversité, qui demande d’autres efforts que celui de réclamer de l’argent...

SOS Urgent : « Grand merci à vous tous : les trois drahthaars sont placés »

A la suite de l'annonce que nous avons diffusée la semaine dernière, concernant les trois chiens de race Drahthaar, que leur maître, pour des raisons de santé, ne pouvait plus garder, nous avons reçu hier ce message : 

« C'est avec une grande satisfaction que nous venons d'apprendre une excellente nouvelle. Les Drahthaars Jumbo, Jeepsy et Kali, ont été recueillis tous les trois par une famille, et vont même pouvoir rester ensemble. C’est vraiment la situation idéale et nous ne pouvions espérer mieux. Merci à cette personne dévouée et salvatrice. Je tenais aussi à vous remercier sincèrement pour votre mobilisation formidable, votre solidarité exemplaire et pour le soutien dont vous avez fait preuve, que ce soit de loin ou de près, via vos proches, votre entourage et vos réseaux. Sans aucun doute, le moindre partage de l'information a pu aider à trouver une personne pour recueillir ces trois chiens. Au nom de mon ami et de son papa, je vous transmets toute leur reconnaissance et leurs profonds remerciements, ils ont été très touchés par cet élan collectif et les voici rassurés de savoir que leurs chiens ont encore de belles années à vivre… ».

Signé : Xavier M.

Le Kazakhstan va réautoriser la chasse des antilopes saïgas

Le Kazakhstan a annoncé, lundi dernier, réautoriser la chasse de l’antilope saïga, afin de réguler la population grandissante de cette espèce qui menace désormais l’agriculture. Après avoir frôlé l’extinction dans les années 1990, la protection des populations résiduelles de saïga a manifestement porté ses fruits puisque l’espèce est aujourd’hui au bord de l’explosion démographique. « Compte tenu des dégâts que les saïgas causent à l’agriculture, la régulation de cette espèce est devenue indispensable » a déclaré le ministre kazakh de l’Écologie, Erlan Nyssanbaïev, évaluant les dommages causés à douze milliards de tenges (environ 24 millions d’€). L’abattage des saïgas fait régulièrement l’objet de débats au Kazakhstan, le président Kassym-Jomart Tokaïev ayant même l’an dernier réprimandé un ex-ministre de l’Écologie proposant cette option. Le dirigeant avait même déclaré que le saïga était un « animal sacré pour le peuple kazakh ». Mais les deux millions de saïgas, sans prédateur naturel, deviennent encombrantes et, a précisé Erlan Nyssanbaïev : « il y a deux méthodes d’intervention : la capture de jour dans des filets et l’abattage nocturne. Je ne vais pas éluder la question : nous devons aussi utiliser la deuxième option ». Un porte-parole du ministère a précisé que : « jusqu’à 337 500 saïgas devaient être prélevées via ces deux méthodes… ».

Lundi prochain lancement du premier loto de la biodiversité : « Mission Nature »

Dans le but de soutenir des projets de protection de la nature, le loto de la biodiversité « Mission Nature » sera lancé lundi prochain, 23 octobre. Il permettra d'aider une vingtaine de projets de préservation ou de restauration. Pour ce nouveau jeu de grattage, à gain maximum de 30 000 €, chaque ticket de participation sera vendu 3 €uros, sur lesquels 43 centimes par ticket seront versés à l’OFB. Une soixantaine de projets ont été présentés par des associations comme le WWF et la LPO, mais aussi des collectivités locales. Le comité de sélection a dévoilé hier la liste des bénéficiaires. Les gains espérés sont de six millions d'euros, à partager. Les tickets, qui seront mis en vente à partir de lundi prochain, sont à dominante verte avec des images d'animaux ou de plan d’eau. Un QR code permettra aux joueurs d'accéder aux projets. Pour la petite histoire, rappelons qu’en novembre 2022, lors de l'examen en première lecture du projet de budget pour 2023, le Sénat s’était opposé à la création de ce loto, fustigeant un « greenwashing du jeu », et bien que les députés ne l’aient pas adopté non plus, le gouvernement l’avait cependant retenu, après l'utilisation de l'article 49.3

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Une manifestation pour la protection du loup se transforme en face-à-face avec les anti-loups à Limoges

Le samedi 14 octobre, l'association One Voice organisait une action pour la protection du loup, sur la place des Bancs à Limoges. Mais la dizaine de pro-loups présents a vite été dépassée par le syndicat agricole « Coordination rurale » qui s’est installé à proximité, en montant un stand improvisé. Pour les pro-loups, jamais concernés par les nuisances occasionnées par l’inutile prédateur, « on peut concilier l'élevage et la préservation de l'espèce. C'est ce qu'essaie de mettre en place le gouvernement, en aidant financièrement les éleveurs afin qu'ils puissent installer des clôtures électriques ou acheter des chiens de protection et ainsi se protéger du loup », a tenté d’expliquer Hélène Dupond, co-référente de l'association One Voice en Haute-Vienne. Mais pour les éleveurs, qui sont en première ligne et subissent les dégâts : « C'est beaucoup de travail supplémentaire… Clôturer, puis reclôturer, puis recommencer pour éviter que le loup vienne, on n’en finit pas… » considère Thomas Hégarty, président de la Coordination rurale du département qui avait demandé l’interdiction de cet événement, maintenu par la préfecture au nom de la liberté de manifester. Pendant ce temps, à Bruxelles, on se demande maintenant comment faire pour se débarrasser de l’encombrant prédateur…

Des biologistes suédois tentent d'apprendre aux oiseaux à migrer plus au nord

Dans une étude publiée il y a quelques jours, des scientifiques suédois s’attaquent aux problématiques liées au dérèglement climatique, qui impactent les oiseaux migrateurs. Ces derniers sont les premières victimes d’un printemps trop précoce qui les prive d’un accès suffisant à la nourriture durant la période de reproduction. Les biologistes voudraient donc leur apprendre à migrer plus au nord, afin de retarder la période de reproduction, de façon à ce que les éclosions se fassent quand la source de nourriture est la plus abondante. Et quand les oiseaux venus d’Afrique ratent le début du printemps de Suède, car il est en avance, la réponse est tragique : ils n’ont pas suffisamment de nourriture pour subvenir aux besoins de leurs oisillons car les insectes ne sont plus aussi appétissants qu’aux premiers jours, et les oisillons, affamés, meurent avant même d’avoir pu sortir du nid. C’est une des raisons de la chute vertigineuse des populations des oiseaux dans le monde…

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Des arrêtés « dérogation COVID » de 2020, annulés en nombre par la justice

Toujours à la manœuvre, les écolos ont attaqué tous les arrêtés départementaux de 2020, qui autorisaient, en période de confinement, les chasseurs à exercer leur activité, pour empêcher l’explosion des populations de grands animaux. La LPO et l’ASPAS déclaraient alors : « Tandis que des millions de Français ne pouvaient pas sortir à plus d’un kilomètre de chez eux, des milliers d’autres ont été autorisés à se rendre dans la nature pour tuer des animaux sauvages parce qu’ils avaient le permis de chasser… ». Saisie par ces deux associations, la justice a donc déclaré illégales la quasi-totalité des dérogations accordées dans de nombreux départements, faisant fi de la régulation indispensable et de la protection des cultures, pour ne retenir que le loisir de chasser. Les juges se sont penchés sur 23 arrêtés pris dans les départements suivants : Aisne, Ardennes, Aube, Calvados, Charente, Corrèze, Creuse, Eure, Indre et Loire, Loire Atlantique, Lot et Garonne, Lozère, Maine et Loire, Marne, Mayenne, Meurthe et Moselle, Nord, Haut Rhin, Haute Saône, Sarthe, Seine Maritime, Haute Vienne et Territoire de Belfort. Quatorze ont été annulés (Aisne, Aube, Ardennes, Charente, Marne, Eure, Indre-et-Loire, Loire-Atlantique, Seine-Maritime, Lozère, Maine-et-Loire, Meurthe et Moselle, Nord, Sarthe) à postériori, les juges considérant que : « poursuivre ces opérations de régulation pendant la durée du deuxième confinement en novembre 2020 n'était pas justifié, au regard de l'objectif de santé publique de limiter les déplacements de personnes, et de l’absence de démonstration de dégâts significatifs ou de prolifération du grand gibier et des ESOD en cette période de l'année », omettant de prendre en compte que la prolifération des animaux ne se produit qu’après les naissances, et que celles-ci ne peuvent avoir lieu que s’il y a eu accouplement en période de rut. Cinq recours restent encore à juger (Calvados, Corrèze, Creuse, Lot-et-Garonne, Haute-Vienne), trois ont été perdus (Haut-Rhin, Haute-Savoie, Territoire de Belfort) et 1 abandonné (Mayenne). Et ne vous demandez pas à quoi ça sert, trois ans après les faits. Sans doute encore une histoire d'argent...

Le CIC rejoint l’alliance de partenariat « Wild Harvest Initiative® »

La « Wild Harvest Initiative® » vise à évaluer les avantages combinés, économiques, de conservation, et sociaux, des récoltes d'animaux sauvages par la chasse, dans la société nord-américaine moderne. Sur le point de s'étendre en Europe, cette approche scientifique permet de jeter un regard novateur, riche d’enseignements sur la faune, sa gestion à long terme, et sa conservation durable et équilibrée, non seulement pour les chasseurs, mais aussi pour tous les membres de la communauté, y compris ceux qui s'opposent à la chasse. « Si la chasse et la pêche devaient cesser demain, quelles seraient les conséquences ? ». Ce partenariat transatlantique, qui fait entrer l’Europe dans cette même réflexion, constitue une opportunité unique de partage de connaissances et de création de ponts entre les deux continents, créant des synergies qui bénéficieront aux pratiques de gestion de la faune dans le monde entier. Le vaste réseau du CIC, qui couvre plus de 80 pays, contribuera en particulier aux efforts visant à exporter le succès éprouvé du modèle nord-américain de conservation de la faune, dans un contexte européen. Parallèlement à cet élargissement, le CIC étoffera sa présence à Bruxelles, pour travailler sur les questions mondiales liées à la politique de l'Union européenne. Ce développement sera mené en étroite coopération, et en accord, avec la FACE. Le but est de jouer un rôle concret dans l’élaboration des politiques européennes et mondiales en matière d’utilisation durable, compte tenu des menaces croissantes qui pèsent sur la biodiversité. L'Organisation européenne des propriétaires fonciers (ELO) accueillera Alexandra Kalandarishvili, membre du personnel du bureau administratif du CIC, qui s’installera prochainement dans un bureau permanent à Bruxelles, dans le cadre de ce développement.

La fourmi de feu est arrivée en Europe…

Les spécialistes sont catégoriques, cette arrivée est une catastrophe pour l’environnement. La fourmi de feu est l’une des espèces les plus invasives au monde. Jusqu’à présent, l’Europe avait été épargnée, mais son installation sur le vieux continent interpelle. Originaires d’Amérique du Sud, les fourmis de feu se sont répandues en Australie, en Chine, dans les Caraïbes et aux États-Unis. Celles qui viennent d’être trouvées en Sicile arrivent des USA, mais aussi de Chine et de Taïwan, d’après les tests ADN effectués. Le transport maritime est suspecté d’avoir débarqué ces petites bêtes, livrant désormais les Européens à ses piqûres très douloureuses. « Elles sont réputées pour posséder l’un des venins les plus irritants au monde, et peut provoquer des chocs anaphylactiques. Mais c’est surtout du côté de nos écosystèmes et de l’agriculture qu’il faut s’inquiéter. La fourmi de feu est un véritable prédateur, et là où elle s’installe, elle provoque une diminution de la diversité des invertébrés et des petits vertébrés » a expliqué Mattia Menchetti, coauteur de l’étude qui ajoute : « Grâce au venin contenu dans leur dard et aux colonies pouvant atteindre des centaines de milliers d’individus, ces fourmis peuvent impacter les animaux jeunes, faibles ou malades. Aux États-Unis, les dommages qu’elles causent dans le secteur de l’agriculture et les efforts déployés pour les contrôler coûtent 6 milliards de dollars par an… ». Les auteurs de l’étude ont identifié 88 nids de fourmis de feu dans la province de Syracuse, en Sicile…

Le retour des algues vertes ?

C’est l’inquiétude qui revient dans les Côtes d’Armor, après la découverte, dimanche dernier, d’un cadavre de sanglier sur la plage de la Granville, à Hillion. L’animal mort a été signalé par un promeneur qui a alerté les autorités, et pour cause… Cette plage de la Granville est située à l’embouchure du fleuve côtier Le Gouessant, tout au fond de la baie de Saint-Brieuc, une zone régulièrement impactée par des dépôts massifs d’algues vertes et dans laquelle une hécatombe animale avait été constatée à l’été 2011. Trente-six sangliers avaient été trouvés morts, asphyxiés par l’hydrogène sulfuré dégagé par des algues vertes en décomposition, en l’espace de quelques semaines, dans la vasière s’étendant de part et d’autre de l’estuaire, vasière, qui débute à une centaine de mètres de la découverte de dimanche. Un technicien en identification criminelle s'est rendu sur place pour effectuer de multiples constatations et relevés. Le cadavre du sanglier a été enlevé par l’OFB, et placé sous scellé. Une enquête de gendarmerie a été ouverte et une autopsie devait être réalisée lundi afin de déterminer les causes exactes de la mort de cet animal.

Cuisine des Etoiles : Olivier Nasti lance la première édition du festival « Le Chambard fête la chasse »

Partager la vision d’une chasse réfléchie, animée par la passion et le respect de l’animal : tel est l’objectif du chef doublement étoilé Olivier Nasti, avec le festival « Le Chambard fête la chasse », dont la première édition se poursuivra jusqu’au 7 novembre. Pour l’occasion, le chef a imaginé des menus exclusifs, faisant la part belle au gibier de la région et aux produits du terroir local. Deux menus « Chasseur » sont ainsi proposés, l’un à « La Table d’Olivier Nasti » et le second à la « Winstub du Chambard ». A découvrir, notamment au restaurant du chef, la Grouse au whisky tourbé et champignons oxydés, le Pâté chaud de chamois du Lac Blanc et ses fruits noirs d’été, la Côte de cerf maturée 60 jours, légèrement fumée à la baie de genévrier. Côté Winstub, place de choix est faite au Carpaccio de chevreuil d’été, ou encore au Faisan en pithiviers, jus à la truffe noire Tuber Melanosporum. Au programme également : des menus autour du Lièvre à la Royale du 16 au 22 octobre, et autour du gibier à plumes du 23 au 29 octobre, mais aussi des ateliers à la découverte des couteaux d’Estanque, le 25 octobre. Le festival s’achèvera le 7 novembre en beauté, puisque Olivier Nasti sera rejoint par David Bizet (l’Oiseau Blanc** au Peninsula Paris) et Thomas Boullault (l’Arôme* à Paris), eux aussi passionnés de chasse, pour un dîner de gala à 6 mains.

Samsung reconduit le programme « Wildlife Watch »

Samsung a annoncé l’extension de son projet de surveillance de la faune sauvage, en partenariat avec Africam et l’unité anti-braconnage des Black Mambas, afin de lutter contre le braconnage des animaux dans la brousse sud-africaine. Lancé en 2021, ce programme exploite la technologie Samsung comme système de surveillance en direct, pour permettre d’observer la faune de la réserve naturelle de Balule en Afrique du Sud. Cette expérimentation avait connu un véritable succès et contribué à protéger l’un des animaux les plus menacés, le rhinocéros. « Depuis le lancement du projet, aucune tentative de braconnage n’a été observée dans la réserve » a déclaré Leitah Mkhabela, ranger et membre de l’unité des Black Mambas. Dotés de la dernière technologie de Samsung en termes de photo et de vidéo, les appareils filment la savane en direct de jour comme de nuit. Ils aident également les gardes forestiers en améliorant la qualité des preuves qu’ils collectent dans le cadre d’enquêtes sur des faits de braconnage. Les internautes deviennent ainsi des gardes forestiers virtuels et participent à la surveillance des animaux depuis le site « wildlife-watch.com ». Ils peuvent également alerter les gardes forestiers s’ils voient des animaux en danger, ou des signes de braconnage, via un bouton disponible en bas de la page. Le site permet par ailleurs de partager ce qu’ils voient par le biais d’instantanés sur les réseaux sociaux afin d’encourager d’autres personnes à participer.