"Ce nyala... et pas un autre ! "

C’est le récit du séjour de chasse qu’a vécu André B., en Afrique du Sud. Lors d’un premier déplacement à Dima Bush Camp, au cours de l’ultime sortie, celle qui précède le retour en France, il avait pu observer, quelques secondes seulement, un vieux nyala au trophée atypique. Mais le discret animal, surnommé là-bas « le fantôme du bush », avait mystérieusement disparu… Il s’était donc promis de revenir le provoquer sur son territoire… Dix mois plus tard, je l'accompagnais dans la recherche de ce nyala, et pas un autre. L'animal hanta nos nuits et mit à rude épreuve notre opiniâtreté… Comment l’histoire finit-elle ? Vous le découvrirez au fil des pages qui suivent…

 

Par Hubert Maës

                                                 

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La chasse du sanglier sur le territoire des Agriates en Haute-Corse…

Le territoire des Agriates, 55,63 km², est bordé par un massif montagneux de type granite hercynien, dont les sommets sont à presque 900 mètres et une façade maritime avec une cote déchiquetée entre des caps et des plages de sable fin. La façade maritime est sillonnée par le fameux sentier littoral des douaniers avec les trois tours génoises (en ruine) de Mortella et Fornali à l’est, puis celle d’Ostriconi à l’ouest. Le climat y est caractérisé par des étés chauds et secs avec de rares précipitations. Malgré tout, l’eau y est présente avec 32 sources, 27 fontaines et 12 cours d’eau. Le biotope est constitué d’arbousiers, de bruyères, de myrtes, de cistes, de lentisques, de chênes verts, de pins maritimes et d’oliviers. L’agriculture y a été longtemps très importante, avec des cultures et de l’élevage, les Agriates ayant été un haut lieu de la transhumance ovine et caprine. Les éleveurs y ont édifié, au cours des siècles, de nombreux pagliaghji (paillers) abris bâtis en pierre sèche, dont certains sont aujourd’hui rénovés. En Haute-Corse, dans le Niolincu, la commune de Santu Piétro di Tenda qui nous intéresse, est une des plus vaste de Corse (12566 ha), pour une population de… 345 habitants. Idéalement située au pied du Monte Brunica, qui culmine à 648 mètres, il y a, outre la magnifique plage de Saleccia, celle du Lotu partagée entre Saint-Florent et Santo Piétru di Tenda. A partir de cette plage, une grande zone marécageuse s’étend jusqu’à Saleccia avec, sur la partie occidentale de l’étang du Lotu, le ruisseau de Niolincu, et sur la partie orientale de Panecallelu, le ruisseau du même nom. Et pour vous mettre l’eau à la bouche, un territoire béni des Dieux pour… la chasse du sanglier !

Par Pierre Périé

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En Ecosse, la côte secrète d’Argyll

Petit coin sauvage, paradis des chasseurs et des photographes, l’Argyll’s Secret Coast, avec son loch Fyne et le renommé « Kyle of Bute » est connu pour sa belle densité de bécasses en hiver. Dans cette région, incroyablement sauvage et paisible, le seul moment de vacarme se perçoit le samedi, quand il y a un match de « shinty » à domicile, sport régional dont tous les habitants raffolent. Pour ce jeu, deux équipes de douze joueurs, munis de crosses comme au hockey, s’affronte sur gazon. Ce sport traditionnel, où l’on retrouve le maçon gardien de but, l’éleveur de bovins capitaine d’équipe, et l’épicier du village défenseur central, reflète ce bel esprit de communauté que l’on retrouve dans les villages de Kames & Tighnabruaich, où quelques sédentaires cohabitent. Ces derniers se mélangent aux Anglais ou citadins écossais, propriétaires de maisons de vacances et autres bungalows qui surplombent la vallée de cette région authentique. Les commerces de proximité, l’élevage et les rencontres au « pub » sont de coutume sur cette côte, où chacun est le maillon d’une chaine qui tourne sans accroc. Tout est produit sur place et on ne manque de rien dans ces villages encerclés par la nature. Des géants sommets forestiers, des collines de moors, la mer et les plages blanches ainsi que différents lacs entourent les charmants petits villages de la région. Vous croiserez, ici, peu de touristes, alors que cette terre reculée ne demande qu’à être explorée...

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Une première en Belgique : la « journée de chasse coordonnée »

Dans l’Unité de gestion cynégétique du massif de Saint-Hubert (UGCSH), les plans de tir imposés sur la base des données recueillies par le Département Nature Forêt, ont été l’an dernier particulièrement augmentés, notamment sur le secteur 1, situé dans la région de Nassogne. Ce secteur, qui est l’un des cinq qui composent l’Unité de Gestion du massif, couvre une superficie de 14 524 ha. Pour la saison 2022, le minimum de prélèvements à réaliser s’élevait à 120 cerfs coiffés et 306 non coiffés, dont au moins la moitié en biches et bichettes. « Ce plan m’apparaissait quelque peu exagéré par rapport à la population existante » souligne le président de l’UGCSH, Paul-Emmanuel De Becker-Rémy, précisant : « Ainsi, la réalisation du tableau de chasse en fin de saison laissait apparaître un déficit de quelques 23 coiffés et 65 autres, confirmant la difficulté d’atteindre l’objectif imposé. Cela dit, en tant que responsable de l’exécution des plans de tir, l’Unité de Gestion devait faire quelque chose. D’ailleurs, la législation en vigueur permet de chasser jusqu’au 31 janvier, en cas de non-réalisation des minima, et pour réduire les densités de sangliers, là où elles sont encore trop importantes… »

Par Jean-Marc Thiernesse

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En Belgique : traque-affût en province de Namur

Mode de chasse qui a le vent en poupe, la traque-affût fait école. Considérée, à juste titre, comme étant plus sécurisante que la battue traditionnelle, de plus en plus de responsables de chasse la mette en pratique. Chez nos voisins belges, à l’ouest de la base aérienne de Florennes, le bois de la Sapinière est un territoire privé familial mutualisé avec un territoire communal, le tout pour une superficie d’environ 300 ha. Les lisières s’ouvrent sur les plaines cultivées et les pâturages du Condroz, et en cœur de forêt favorable aux feuillus, le chêne domine. Seuls 5% de la superficie du domaine est couverte de résineux. Dans ces lieux, Jean-Louis Menne affiche ses priorités quant à la gestion de la Sapinière : régénérer les peuplements de feuillus sans engrillagement, et parvenir à obtenir, puis à entretenir une population de chevreuil en harmonie avec les capacités nourricières du milieu…

Par Jean-Marc Thiernesse

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En Andalousie dans la finca « Las Palomas »

Dédiée principalement aux traditionnelles monterias, l’Andalousie abrite aussi un magnifique territoire qui déroge à la règle, au cœur du parc national Hornachuelos, située dans le sud de la Sierra Morena… En Espagne, l’Andalousie constitue l’une des dix-sept communautés autonomes du pays. La Junta de Andalucía est l’institution sur laquelle repose son autogouvernement, car le préambule du statut d’autonomie du pays reconnaît l’Andalousie comme une « réalité nationale ». Nous sommes au cœur de l’Espagne, comme en témoigne la devise de la région : « Andalucía por sí, para España y la humanidad » (L’Andalousie par elle, pour l’Espagne et pour l’humanité », mais ici, l’identité régionale est forte et marquée par son drapeau blanc et vert. L’Andalousie est bordée au nord par l’Estrémadure et la communauté de Castille-La Manche, et au sud par la Méditerranée, Gibraltar et l’Atlantique. Mais que fait donc ici Pascal Nordlinger, le propriétaire français de la finca « Las Palomas », dans cette contrée sauvagement authentique ?

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Traque-affût d’automne dans le massif de Saverne

Après la traditionnelle soirée d’affût collectif, qui suit l’ouverture générale de la chasse du 23 août, nous sommes de retour en Alsace, sur les hauteurs de Saverne, alors que les hêtres commencent à prendre leurs couleurs automnales. Il a beaucoup plu la veille de cette journée de traque-affût… Alors que j’attends mon hôte et ami, Michel Gascard, sur le parking de la salle des fêtes de Dimbstahl, je reste admiratif devant le versant alsacien des Vosges, enveloppé dans la brume matinale, d’où s’étirent de minces écheveaux de brouillards… La prairie, en premier plan, est parsemée de quelques points blancs. Ce sont des agarics champêtres, que les mystères de la nuit ont posé dans l’herbe tendre…

 

Par Jean-Marc Thiernesse

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16 ans : première saison et… premier voyage de chasse !

 

Je suis Simon, un tout jeune chasseur qui, après avoir passé la saison dernière en chasse accompagnée, viens enfin de rejoindre la cour des grands, seul avec mon fusil…

Je dois vous avouer que j’ai la chance d’être né dans une famille de chasseurs passionnés. Mon grand-père est chasseur, mon père organise des chasses en Tunisie et ailleurs depuis 20 ans et cela aide beaucoup, je dois bien l’admettre. L’année dernière, j’ai commencé mon apprentissage.

 

Par Simon R.

                                Lire le reportage de Simon

 

Internet : www.chasse-sanglier-tunisie.com                

En Angleterre

 

Le Devon, terre de chasse

Par Matthias GRESSOT

Guide de Chasse

+3 36 97 79 79

matthiasgress.guide@outlook.fr 

 

 

Kamchatka

Chasse à l’ours

 

par Christian BUSSEUIL
avec l’aimable participation de OVINI Expéditions

 

 

Affût collectif dans le massif de Saverne

Au sud du massif de Saverne (Bas-Rhin), le lot de forêt domaniale que préside Roland Schoeffler, s’étend sur près de 1500 ha. Il borde le massif de Saverne, en licence dirigée de l’ONF, dont il est séparé par la route forestière reliant Saverne au hameau du Haberacker.

 

Par Jean-Marc Thiernesse