- Alpes-Maritimes : mardi dernier, double peine pour ce randonneur en montagne, à Saint-Martin-Vésubie. Victime du vol de son sac, dérobé par un renard, trop curieux ou trop gourmand, notre homme s’est lancé à sa poursuite pour tenter de récupérer son bien. Malheureusement, dans la course, il a fait une chute au cours de laquelle il s’est sérieusement entaillé le crâne et fait une entorse de la cheville. Si le renard a eu peur et a lâché le sac, ce sont les CRS Alpes qui ont évacué le randonneur, incapable de marcher.
- Ardennes : entre la presse nationale et la presse régionale la perception de l’information n’est pas du tout la même. C’est ce qu’a souligné le Figaro, au lendemain de la cérémonie d’ouverture des JO, qui s’étonnait que le journal local, l’Ardennais, ait fait sa Une sur la ridicule affaire de « Toto », ce marcassin qui n’aurait jamais dû se retrouver là où il est aujourd’hui, cloitré dans un parc animalier. Petite victoire donc pour les 90 000 signataires d’une pétition qui s’opposait à l’euthanasie de l’animal, et longue vie à Toto derrière ses barreaux.
- Ariège : en juillet 2014 étaient lâchés les premiers bouquetins destinés à recoloniser la montagne pyrénéenne. Pour le dixième anniversaire, un nouveau lâcher avait été programmé, mais a été annulé après la découverte de petits problèmes sanitaires signalés par les opérateurs espagnols en charge de la capture des bouquetins. « Nous appliquons une nouvelle fois notre principe de garantie absolue qui vise à ne prendre aucun risque sanitaire » a précisé le PNR, qui rappelle les efforts collectifs menés pour contrôler l’état de santé des populations déjà installées dans le Haut-Couserans. Pas d’inquiétude donc, et ce n’est que partie remise, ont assuré les responsables qui précisent que : « d’autres bouquetins seront lâchés dans un avenir proche, ne serait-ce que pour renforcer la diversité génétique des populations présentes sur le versant français ».
- Aveyron : la préfecture a communiqué, mercredi dernier, sur la mort probable d'un loup à Saint-Beauzély, visé dans le cadre d'un tir de défense, délivré par le préfet, et effectué par l’éleveur lui-même, victime de plusieurs attaques du canidé sauvage. Malgré les recherches entreprises dès le lendemain, les recherches menées sur place par le service départemental de l'OFB, le cadavre de l’animal n’est toujours pas retrouvé.
- Gironde : le vendredi 26 juillet au soir, les membres de l'ADCGG 33 ont participé à une séance de comptage du grand gibier, organisée par l'ONF d'Hourtin-plage. Le but était de comparer l'évolution des populations au fur et à mesure des années, en respectant un protocole d'observation identique. La manœuvre portait principalement sur le sanglier et force est de constater que beaucoup d'observateurs ont vu de jeunes laies d’une quarantaine de kilos, déjà suitées de marcassins. Le bilan complet est en cours d’analyse et sera communiqué ultérieurement...
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