Que ne feraient pas les fabricants pour rendre les chiens « accros » à leurs croquettes. Le marché est florissant, la concurrence rude et dans ce milieu aussi, il faut innover. La difficulté majeure à surmonter dans ce domaine, c’est qu’il faut penser chien, raisonner chien et oublier ce qui titille nos palais humains. Ce qui nous semble appétissant ne l’est pas pour eux, et ce qui pue les attire. Les odeurs de chair en putréfaction, de culottes pas lavées depuis des lustres, de vieilles chaussettes, ils adorent, à un point tel que les industriels dépensent des fortunes en recherche pour les reproduire, tout en faisant en sorte de ne pas dégoûter ceux qui leur distribuent cette nourriture qui reproduit les parfums de putrescine et de cadavérine. Une récente étude a identifié neuf autres composés volatils, utilisés dans la fabrication de ces produits, dont l’heptanal, le nonanal et l’octanal, particulièrement odorants et appréciés des chiens.
Côté chiens: races, élevage, éducation, soins