Couteaux Jacques Mongin

 

A la coutellerie Henry, à Nogent, on œuvre depuis cinq générations à la fabrication des plus belles pièces. Aujourd’hui, la petite entreprise est l’une des dernières a réaliser ses productions de manière artisanale dans le bassin nogentais. Sous l’impulsion de Sophie, fille de Gérard Henry, la coutellerie vient d’ajouter un nouveau volet à ses activités : la diffusion des couteaux qui sont parmi les plus beaux du monde, signés « Jacques Mongin »…

 

 

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La coutellerie de chasse : un patrimoine à préserver…

Historiquement, les couteaux de chasse étaient bien plus que de simples outils. Ils représentaient une extension du chasseur, combinant utilité, durabilité et souvent, une touche artistique. La coutellerie de chasse, un domaine où l’artisanat et la fonctionnalité se rejoignent, continue de fasciner les passionnés et les collectionneurs d’objets d’exception. Elle remonte à des siècles, lorsque les artisans forgeaient chaque lame à la main, en utilisant des matériaux locaux et des techniques transmises de génération en génération. Les manches étaient souvent ornés de bois précieux, de cornes ou même d’os gravés, tandis que les lames étaient conçues pour résister aux épreuves du terrain. Chaque pièce était donc unique, tant par sa fabrication que par l’histoire qu’elle racontait. Les forgerons collaboraient souvent avec les chasseurs pour personnaliser leurs couteaux, intégrant des symboles ou des motifs spécifiques à leurs traditions ou à leurs exploits. Un couteau de chasse n’est donc pas qu’un bel objet. Il est avant tout un outil polyvalent qui sert à tout, de la mise à mort du gibier à sa préparation en passant par la coupe de branches ou du cuir. Un bon couteau doit combiner une lame robuste, un manche ergonomique et un équilibre parfait pour être maniable dans toutes les situations. Cependant, l’industrialisation et l’arrivée des couteaux de production en série ont bouleversé le marché. Ces versions modernes, bien que fonctionnelles, manquent toutefois du caractère et de l'authenticité des pièces artisanales…

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Jumelles avec télémètre intégré Bernard Optic

Courant juin, les amateurs de chasses silencieuses reprendront le chemin des miradors, à l’affût de brocards ou de sangliers. En action de chasse, selon les conditions de visibilité, les estimations des distances sont très souvent aléatoires. Disposer d’un instrument qui associe vision et mesure facilite donc la prise de décision. Les jumelles avec télémètre intégré Bernard Optic rentrent dans cette catégorie, disponibles en 8x42 ou 10x42. Livrées dans un étui marron rigide, moulé intérieurement pour les maintenir fermement, ces jumelles sont prééquipées d’une batterie de 3 volts permettant leur utilisation immédiate. Une notice explicative fournie renseigne les utilisateurs sur le fonctionnement de la mesure de distance et les indications affichées sur l’écran interne. Une sangle permet éventuellement de porter l’ensemble étui-jumelles, et une courroie pour le port seul des jumelles. Le télémètre intégré permet des mesures « au mètre près », jusqu’à 1500 mètres.

 

Relevé dans la fiche technique :

- poids de l’ensemble jumelle-télémètre intégré, étui, sangle et courroie : 1279 grammes,

- unité de mesure de distance : mètre ou yard,

- étanchéité : assurée par un remplissage à l’azote,

- angle de vue en degré : 6°,

- champ de vision à 1000 m : 122 mètres,

- pupille de sortie : 5,2 mm,

- distance minimum de mise au point : 5 m,

- type de prismes : toit,

- qualité du verre : bak 4,

- grossissement : x8 ou x10

- diamètre de l’objectif : 42 mm

- garantie : 2 ans

- prix public : en 8x42 : 1290 € et en 10x42 : 1490 €

​​​​​​​Le matériel optique : poids = qualité !

Que ce soit en magasin ou sur l’immense marché de l’internet, il faut déjà déterminer le ou les critères de sélection. Il ne faut pas oublier non plus le nerf de la guerre : le prix ! Le premier conseil, avant d’investir, est donc d’observer. Non pas de loin, mais dans la vitrine et dans le détail, pour débusquer ce qui ne colle pas avec le prix affiché. A ce stade, point n’est besoin d’être un expert en optique, le bon sens suffit. Ainsi, vous jugerez de la qualité de la finition, et vous constaterez l’absence de bavures de matière, de défauts de surface et d’irrégularité de couleur. Côté verres, vous devrez constater une belle couleur des traitements de la surface externe des lentilles, en les regardant sous un angle d’environ 45°. Cette étape franchie, la suivante sera celle de la manipulation. Rares sont les appareils qui ne nécessitent pas d’ajustements au cours de leur utilisation. Mise au point, réglage du grossissement, et écartement des corps optiques dans le cas de jumelles. Ne laissez rien passer, car c’est là que vous appréhenderez le critère fondamental : la qualité mécanique de construction. Ensuite, il faudra tester, grandeur nature. L’essai est donc indispensable. Dans tous les cas, qu’il s’agisse de lunette de visée, de jumelles, de longue-vue, il faut adapter l’appareil à sa vue en utilisant la correction dioptrique. Dans le cas d’une lunette de visée, c’est voir le réticule très net. Dans le cas de jumelles, c’est pire, car nos deux yeux ne sont jamais parfaitement identiques. Le dernier point concerne la masse. Le verre optique est très lourd. Donc si vous avez en main un appareil trop léger, il est forcément fabriqué avec des matières de synthèse transparente, en substitut du verre… Enfin, le reste est du domaine du subjectif, car l’instrument doit être confortable durant l’observation, c’est fondamental…

Couteaux de chasse : comment faire le bon choix ?

Si certains préfèrent en avoir un pour la chasse et un autre pour la table, d’autres pensent qu’un seul couteau bien conçu, permet de tout faire. De la tranche de saucisson, à l’éviscération d’un animal, le couteau polyvalent existe, il faut donc le dénicher. Tentons de faire la liste des services d’un couteau complet. Cette énumération n’étant pas exhaustive, vous aurez, selon vos habitudes et conditions de chasse, probablement d’autres besoins. A vous donc de compléter cette liste… Un bon couteau polyvalent sera alternativement, au cours d’une journée de chasse :

- A l’extérieur : apte à « servir » un gibier blessé, à émasculer, à éviscérer, à dépecer, à scier…

- A l’intérieur : couteau de table, tire-bouchon, décapsuleur, tournevis…

Cette liste étant établie, vous aurez ensuite le choix entre deux formes de couteaux : fixes ou pliants. Si le couteau à lame fixe semble plus solide, il sera aussi plus encombrant par sa taille. En revanche, un couteau pliant devra être muni, pour la sécurité de vos doigts, d’un système de blocage de lame. Dans l’étape suivante, vous prendrez en compte, pour avancer dans votre choix, des éléments suivants : la forme, le manche, les dimensions, la robustesse, les accessoires, mais surtout de la qualité de la lame. Ne cédez en rien sur :

- la dureté du métal : qualité du tranchant de la lame et sa résistance à l’usure,

- la résilience : résistance à la casse,

- l’inoxabilité : indispensable pour les couteaux de plein air.

Les éléments importants :

- le taux de carbone : un taux élevé apporte la dureté de la lame et la qualité de coupe,

- le taux de chrome : à partir de 13% de chrome, un acier est inoxydable,

- la dureté « Rockwell HRC : procédé qui consiste à enfoncer une bille d’acier pour mesurer la dureté du métal. A 58-60 HRC, la lame est d’excellente qualité.

Souvent employé en coutellerie, un acier « 440 C » est garant d’une grande qualité (dureté HRC 59, teneur en carbone 1% et teneur en chrome 13%).

Voyons maintenant les termes usités dans la coutellerie, on saura au moins de quoi on parle…

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Trucs et astuces pour le transport du gibier mort

Transporter un gibier mort, sanglier ou chevreuil, n’est pas toujours chose facile, surtout quand on est seul, mais quelques petits trucs et astuces vous faciliteront la tâche. Le premier accessoire dont il faut disposer est une lame scie, soit montée sur un couteau, soit sous forme d’outil indépendant. Elle vous permettra de vider entièrement votre animal en sciant bassin et sternum, et de couper un branchage de traction ou de support, ou pour dégager la vue. Selon son poids, pour déplacer un animal mort, vous aurez deux possibilités : soit le porter, soit le tracter. Dans le premier cas, et selon le terrain et la distance à parcourir, une charge d’une trentaine de kilos est envisageable si vous avez un sac à dos muni, soit d’un support métallique, soit d’une poche à gibier. Une solide cordelette nylon maintiendra les membres et la tête, toujours enclins à créer un balancement. Dans le second cas, si le poids est trop élevé, vous n’aurez d’autre possibilité que de tracter votre gibier. Un harnais vous y aidera mais prévoyez un lien de cou, de préférence une sangle assez large (2 à 3 cm) que vous passerez derrière les oreilles de l’animal, ou autour du boutoir et derrière les défenses pour un sanglier armé. Avec la cordelette, vous immobiliserez ses membres antérieurs le long du corps de façon à ce que le profil de traction soit toujours le plus fin possible. Une autre possibilité, si le terrain est peu pentu, est de fabriquer une luge de fortune. Il vous faudra couper (si le propriétaire du bois l’autorise), trois ou quatre branches basses, de préférence de résineux, incurvées à la base, de 1 à 1,5 mètre de longueur. Assemblées par leur pied, les branches de ce traineau formeront un véritable tapis, très résistant et d’une qualité de glisse exceptionnelle, sur lequel vous placerez votre gibier. Si le trajet est long, prévoyez quelques branches supplémentaires que vous remplacerez en cours de chemin… si nécessaire. Souvenez-vous et cette liste n'est pas exhaustive  : couteau avec lame-scie ou scie, sac à dos à armature métal ou à sac à gibier de 50 litres minimum, un harnais de traction, une sangle, 10 mètres de cordelette et deux ou trois mousquetons.

Sac de poitrine Kenetreck camo

Kenetreck vient de présenter son nouveau sac de poitrine, version camo. Ce sac garde vos jumelles en sécurité et à portée de main, sans les enfouir dans un sac à dos ni les suspendre à votre cou, provoquant un engourdissement. En plus de les garder protégées et sécurisées, ces packs disposent également de poches idéales pour transporter les « indispensables » des chasseurs à l’approche ou à l’affût. Tout y trouvera sa place : permis de chasser, bracelets de marquage du gibier, GPS, appareil photo, munitions supplémentaires, lampe frontale et piles, couteau, outil multifonctions, kit boisson et coupe-faim. Considéré (par son fabricant) comme le meilleur pack actuellement sur le marché, le « Large Bino Chest Pack camo » est conçu pour les systèmes optiques jusqu'à 10x50, et dispose, pour les jumelles, du « Bino Tether System » (système d’attache) pour plus de sécurité. Le compartiment principal mesure (en pouce) 6,75 de haut, 6,5 de large et 3,5 de profondeur. Les mesures du compartiment avant sont d'environ 4,5 de haut, 6 de large et 1,5 de profondeur. Quant aux compartiments latéraux, ils font 2,5 de large et 1 de profondeur. Le « Large Bino Chest Pack camo » est fabriqué aux Etats-Unis. Prix approximatif, selon diffuseur : 126 $

 

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Equipement : de la fraicheur pour les chasseurs…

Une nouvelle gamme de vêtements et accessoires rafraîchissants vient d’être lancée par G-Heat. Déjà à la pointe du progrès avec ses vêtements chauffants pour l’hiver, la marque propose cette fois une gamme été, destinée à ceux qui participent aux battues estivales, ou qui pratique l’approche ou l’affût. Gilets, casquettes et même serviette complèteront un équipement confortable et sain, pendant, et au retour de chasse. Grâce à trois technologies innovantes « Phasecool », « Jadecool » et « Polycool », les vêtements et accessoires rafraîchissants G-Heat permettent de réguler la température corporelle, réduire le stress thermique en régulant la température corporelle, par absorption de la transpiration. Fabriqués sans aucun chimique, ce qui met à l’abri des allergies, ces vêtements s’adaptent à toutes les morphologies. Sur le plan technique, le système « Jadecool » est basé sur l’incrustation de microcristaux de jade. Ils ont la caractéristique d'accélérer le processus naturel de l'évaporation en dissipant plus rapidement la chaleur. La baisse de température est de l’ordre de -10 à -15°, ce qui, sous un soleil de plomb apporte un confort apprécié. Quant au système « Polycool », il concerne l’intégration d’une fibre polymère, hautement absorbante, qui retient l'eau dans la doublure du vêtement et prolonge le processus naturel d’évaporation.

 

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Commercialisation de la venaison : déclaration des chambres froides

Toute chambre froide destinée à recevoir du gibier répond à la définition d'un centre de collecte. Elle doit donc être déclarée, selon les modalités prévues dans le formulaire Cerfa 13984. L'exploitant d'un centre de collecte doit respecter les dispositions de l'annexe I du règlement (CE) N° 852/2004 et les dispositions générales du code rural et de la pêche maritime, en particulier :

- le bon entretien général et la propreté des locaux ;

- la disponibilité d'eau potable en quantité suffisante;

- le respect de la chaîne du froid, les modalités de surveillance des températures, et les actions correctives mises en œuvre en cas d'anomalie ;

- l'identification correcte de la venaison entreposée (individuellement pour le grand gibier et par lot pour le petit);

- l'absence d'opérations effectuées sur les venaisons, à l'exception de l'éviscération du grand gibier.

La congélation du gibier en peau est interdite et la température de stockage doit être de 7°C pour le grand gibier et de 4°C pour le petit gibier. Pour les associations de chasse ne disposant pas de N° de SIRET, la déclaration peut se faire en adressant le Cerfa 13984 directement à la DD(ec)PP du département. Et pour celles disposant d’un N° de SIRET, la déclaration d'activité peut se faire en complétant le formulaire accessible via le site « Mes démarches » du ministère de l'agriculture : C’est ICI

Jumelles Bushnell « Engage EDX 8x42 »

Dans quelques semaines s’ouvrira la chasse à l’approche. Repérer et observer est la priorité pour aboutir à un prélèvement réfléchi et de plus en plus souvent nécessaire quand il s’agit de limiter les dégâts de grand gibier. Dans la gamme de jumelles Bushnell, le « Engage EDX » est sans aucun doute le produit le plus abouti de la marque avec ses fonctionnalités de pointe. La lentille bénéficie du revêtement exclusif « EXO Barrier ». Lié moléculairement aux verres, ce traitement repousse l'eau, l'huile, la poussière, les débris, le brouillard et empêche les rayures. Les optiques, logées dans un châssis en magnésium léger et robuste, sont entièrement traitées multicouches. Elles offrent ainsi une excellente luminosité et une clarté maximale. Le verre « ED Prime » et une dioptrie oculaire verrouillable, garantissent des images d'une netteté remarquable, au contraste soutenu, même dans des conditions de faible luminosité. Le revêtement de prisme di-électrique appliqué sur les prismes assure une reproduction des couleurs vives et permet une transmission de la lumière à 92%. Le champ de vision, à 1000 mètres de distance, est de 142 mètres, largeur confortable pour observer l’environnement de la cible. Pour un poids maitrisé de 666 grammes, et un prix constaté de 599 €, ces jumelles Bushnell « Engage EDX 8x42 » ont tout ce qu’il faut pour satisfaire les plus exigeants. Détails techniques : - grossissement 8 ; couleur : noire ; type d'oeilletons : twist-up ; diamètre objectif 42 mm ; type de prisme : en toit ; mise au point : centrale ; diamètre de la pupille de sortie (mm) : 5,3 ; dégagement oculaire (mm) : 19.

Bravez les grands froids avec le gilet chauffant G-Heat

G-Heat est une marque française qui propose, depuis 2017, des vêtements et accessoires technologiques chauffants, adaptés à la pratique de la chasse. Associant performance, bien-être et utilité, gants, vestes, chaussettes, semelles et autres accessoires aident le corps à se maintenir au chaud grâce à des systèmes autonomes et ingénieux. Les batteries rechargeables ont une autonomie pouvant aller jusqu’à 7 heures d’utilisation. Ainsi, le chasseur pourra braver les journées d’hiver les plus froides tout en restant protégé, et sans avoir à multiplier les couches de vêtements, toujours handicapantes quand arrive le moment de tirer l’animal convoité. Sur le terrain de chasse, l’activation de la diffusion de la chaleur se fait par une simple pression sur un bouton. Trois réglages de la puissance de chauffe sont possibles, selon les besoins. Le fabricant recommande de ne pas multiplier les couches de vêtements sous le gilet, pour bénéficier au mieux de la chaleur qui sera émise ainsi au plus près du corps. Sous le gilet, un seul vêtement suffit. Côté conception, la doublure intérieure du gilet, de couleur marron est en « polaire » au toucher velours. Elle apporte douceur et confort, et participe activement à la diffusion de la chaleur. Le gilet est conçu pour s’adapter à toutes les tailles avec son système réglable de fermetures sur les côtés. A partir de 119,90 €, voilà un investissement conseillé à l’approche des froids plus vifs (et des fêtes de fin d’année), au confort assuré et renouvelable avec son mini coût pour une recharge de l’ordre de… 1 centime d’€…

Une excellente idée cadeau pour Noël… C’est ICI

L’initiative du mois...

Elle nous vient des Ardennes et c’est assurément un concept nouveau qu’a inauguré Eva Gaspard. Basée à Omicourt, un petit village des Ardennes, situé à une dizaine de kilomètres au sud de Sedan, la jeune femme va vers les chasseurs, sillonnant, avec son fourgon, les routes du département pour agrémenter de ses produits les pauses et les après-chasse des sociétés. Accessoires bien ciblés et de bonne facture, vêtements de marques connues que l’on peut bien sûr toucher, essayer, et ce en pleine nature, des prix étudiés, le tout dans l’ambiance qui convient, cette méthode de vente de proximité immédiate est incontestablement plaisante… Rencontrée au hasard d’une invitation au Bois d’Autrecourt, Eva ne se contente pas de la vente au camion « à domicile de chasse », autrefois très répandue dans nos campagne, elle a développé également un site internet à partir duquel on peut se procurer le produit désiré. Nous lui souhaitons toute la réussite qu’elle attend de son expérience.

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J-M.T.

Maryline Lecourtier expose à Saint-Maximin la Sainte-Baume (Var)

Dans le cadre de son exposition qui sera présentée jusqu’au 30 décembre, dans la cave viticole Saint-Jean le Vieux, le vernissage aura lieu mercredi prochain, 9 novembre à 18 heures. Comme elle le dit elle-même : ce qui définit un artisan c’est d’abord la passion. Il manqua un jour à cette cavalière une sacoche adaptée à sa selle. Ce fut sa première création. Que de chemin parcouru depuis et que de talent découvert. L’atelier s’étoffa rapidement d’aiguilles nouvelles, d’alènes, de matoirs, de peinture aussi, car Maryline n’est pas seulement couturière, elle sculpte et peint pour donner au cuir des visages animaux. Passée maître dans la technique du carving, elle grave les nuances, fait surgir les ombres, crée les couleurs, cisèle les traits… Les chasseurs, amateurs du beau et du sur-mesure trouvent, chez Maryline Lecourtier, ce qui n’existe pas ailleurs. Pour ses originales fabrications, Maryline Lecourtier a reçu le très renommé prix « Autour du Couteau » en 2008, puis 2010, lors du Salon International de Paris, consécration de 15 années d’expérience au service de la coutellerie d’art.

 

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