Des perdrix facilement

 

 

 

Des perdrix facilement

 

un manuel pour sauver la perdrix grise 

 

 

 

Agriculteur céréalier proche de Chalons en Champagne, François Mercier est un chasseur passionné de petit gibier et de la perdrix grise en particulier. A partir d’un territoire de référence de 200 ha, il montre comment construire un environnement favorable à l’espèce : morcellement des parcelles, implantations des îlots buissonneux, création de bandes enherbées, de jachères fleuries, combinaison des assolements, techniques culturales, préservation des bordures et autres accotements. Mais François Mercier est aussi un chef d’entreprise qui sait compter, et saisir les opportunités que peuvent offrir la PAC et autres dispositions actuelles pour la préservation et l’amélioration des milieux… 72 pages de documentation pédagogique à ciel ouvert pour la conservation de la perdrix grise !

 

Cet ouvrage est disponible au prix de 10 € (+5 € de frais d’envoi) auprès de : François Mercier, Ferme de Belle Croix, 51520 Saint-Martin sur le Pré - Téléphone : 06 08 67 36 91, ou par courriel à : f.mercier51@yahoo.fr

Une population de mouflons à manchettes sur le Grand site Concors à Sainte-Victoire

Plus de cent mouflons à manchettes ont été dénombrés sur le Grand site Concors Sainte-Victoire, un territoire de quelque 35 000 hectares aux portes d'Aix en Provence, qui comprend la montagne Sainte-Victoire, la montagne du Cengle, les massifs de Concors, une partie de la montagne de Vautubière et leurs environs. Sur 14 communes, il s’étend de la vallée de l’Arc jusqu’à la Durance au nord, et des portes d’Aix-en-Provence au département du Var à l’est. Plus grand espace boisé des Bouches-du-Rhône, il abrite une surprenante population de « chèvres du sable », désormais bien établie. Originaire d’Afrique du Nord, ces mouflons à manchettes ont été introduits, dans les années 1980, dans une réserve de chasse privée située dans le massif du Concors. Quelques sujets s’en sont échappés, et ont suivi la continuité écologique forestière du Concors pour atteindre la montagne Sainte-Victoire où ils se sont reproduits. Depuis 2017, la Métropole Aix Marseille Provence s’est vu confier la mission de préserver et valoriser le patrimoine paysager, naturel et culturel du Grand Site du Concors Sainte-Victoire, et c’est dans ce cadre que, durant quatre jours et en collaboration avec des équipes de l’ONF, de la FDC13, de la réserve naturelle de la Sainte-Victoire, des sociétés de chasse, des jeunes en service civique et des gardes nature du Grand Site de France, que le dénombrement a été fait.

Le gibier le moins connu de l'hémisphère occidental : le daguet rouge (Mazama temama)

Il s’agit d’un petit cerf rouge, d’une discrétion extrême, de la sous-famille des Capreolinae, identifié pour la première fois par Robert Kerr, en 1792. Autrefois considéré comme une sous-espèce de daguet rouge (Mazama americana), ce cerf est aujourd'hui classé comme une espèce distincte (Mazama temama). Une description récente lui donne un caryotype variable avec 2n allant de 48 à 54, suggérant qu'il représente plusieurs espèces. Son habitat de prédilection se trouve dans les forêts tropicales primaires et secondaires, à des altitudes allant du niveau de la mer jusqu’à 2800 mètres. Les scientifiques le pensent menacé par la chasse et la déforestation, mais le manque de connaissances à son sujet fait qu’il reste classé dans la catégorie « Données insuffisantes » sur la Liste rouge de l'UICN. L’aire de répartition exacte de ce petit cerf est encore inconnue à ce jour, mais des indices de sa présence ont été relevés dans le sud du Mexique, au nord et au centre du Belize, au Guatemala, au Salvador, au Costa Rica, au Nicaragua, au Honduras, au Panama, et pourrait évoluer jusqu'à l'ouest de la Colombie. Il occupe la forêt pérenne, sub-vivace et sèche basse, mais peut cependant se trouver sur les sites transformés (forêts secondaires et terres cultivées). Sa préférence pour les sites intacts semble être une stratégie de protection, où il peut rester immobile et se cacher dans l'épaisse végétation lorsqu'un prédateur s'approche, ou courir à travers celle-ci sans être facilement capturé. La chasse non encadrée est une menace majeure dans certaines régions, en particulier dans et autour des zones protégées. Dans l'état actuel, les mesures de protection recommandées comprennent, entre autres, un complément d'information sur l'état de l'habitat, la distribution exacte de l'espèce et son abondance, augmenter les recherches sur l'écologie ainsi que la mise en œuvre de plans et de législations aux niveaux national et international.

Le castor, un hydraulicien pas toujours bien vu…

Grâce à son statut d’espèce protégée, à la réhabilitation des zones humides, et à la faveur d'opérations de réintroduction, les populations de castors sont en expansion en France. Les derniers chiffres communiqués font état de 15000 individus. Toujours est-il que, protégé depuis 1909, le plus gros rongeur d'Europe a quand eu du mal à se maintenir, avant de se développer. Le castor d’Europe (Castor fiber) a donc progressivement recolonisé des cours d'eau à partir des années 1970, ce qui n’a pas toujours été bien accepté par ceux qui subissaient les hausses de niveau d’eau que créaient les barrages. Bien présent dans le bassin de la Loire, du Rhône, des Cévennes, de Lorraine, l’architecte des cours d’eau construit, toujours et encore…

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​​​​​​​Perdrix : n’attrapez pas le bourdon !

Dans les plaines céréalières, la perdrix a bien du mal à survivre et refaire des effectifs. Avril est le mois de la ponte et le début de la couvaison. Quelle que soit la densité naturelle, on constate souvent un excès de coqs au moment de la formation des couples. Ces « célibataires » nuisent à la tranquillité pendant la couvaison et l’élevage des jeunes. Jadis, les gardes particuliers pratiquaient la reprise des coqs surnuméraires à l’aide de cages et de  « chanterelles », ou même l’écoquetage par le tir sélectif. Aujourd’hui, ces pratiques n’ont plus lieu et pour multiplier les couples, le mieux est de lâcher une poule perdrix adulte en provenance d’élevage, dans le secteur où a été localisé un « bourdon ». Généralement, le couple se forme rapidement. La ponte se fait sur deux, voire trois jours, puis les œufs sont couvés pendant 23 jours. Les oisillons, nidifuges, pèsent environ 20 grammes au moment de l'éclosion de leur œuf, et quittent rapidement le nid. Pour l’observation, la matinée est donc la plus favorable, puisque dans la journée, les oiseaux sont immobiles, couchés dans la plaine ou cachées dans un couvert. Si la perdrix adulte est avant tout végétarienne, les jeunes se nourrissent exclusivement d'une nourriture animale, recherchant au cours des deux premières semaines des larves ou des insectes à carapace molle, très digestibles. A partir de la troisième semaine, la quantité d'insectes consommés diminuera, laissant plus de place aux végétaux riches en verdure de toute sorte. Puis, dès la 4ème semaine, l’alimentation devient presque exclusivement végétale (95% environ), le reste n’étant plus qu’une infime proportion de charançons, de sauterelles et d'araignées.

Petit gibier : y a-t-il encore de l’espoir ?

A voir les populations de petit gibier moribondes, dans des plaines altérées par l’agriculture intensive et les accidents climatiques, il y a effectivement de quoi douter. L’année 2022 a été l’une des plus mauvaises en termes de reproduction, que ce soit pour les perdrix, les faisans, les lièvres et même les chevreuils. Pour la perdrix grise, dans les territoires de référence suivis par les FDC et l’OFB, il a été constaté, là où l’eau était rare, que deux poules sur trois étaient sans progéniture. Quant aux faisandeaux, ils n’ont pas résisté à la chaleur et la sécheresse, comme les levrauts et les chevrillards, dont les survivants présentent des faiblesses corporelles rédhibitoires. Cependant, quelques indicateurs donnent encore quelques raisons d’espérer…

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​​​​​​​Introduire du faisan sur son territoire : est-ce une bonne idée ?

Il ne s’agit pas de lâcher quelques cocottes, mais d’implanter une population sauvage et viable, permettant ensuite la pratique de la chasse. A la question posée, la réponse est donc oui, sans aucune hésitation. Quand les écolos auront compris que cela fait partie de la chaine alimentaire, et que toute la faune en profite également, ils auront fait un grand pas en avant. La méthode suggérée consiste à lâcher des oiseaux, auparavant acclimatés en volières bien réparties sur le secteur concerné. Les lâchers s’effectueront en juillet/août, sur 3 à 4 années, selon les résultats obtenus…

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Le « chat-renard » est bien un félin spécifique à la Corse…

Connu de longue date des bergers corses, ce petit mammifère intrigue les scientifiques depuis des années. Mais la recherche avance et les dernières analyses génétiques ont confirmé la lignée génétique spécifique de cet animal. L'analyse « permet clairement de séparer les prélèvements de chats sauvages corses des prélèvements de chats forestiers continentaux, de chats domestiques (de Corse et du continent) et de chats de Sardaigne… » indique l'OFB dans un communiqué. Le félin, connu sous le nom corse de « ghjattu volpe » (chat-renard) en raison de la longueur de son corps et de sa queue, fait de longue date partie de la mythologie des bergers locaux. « Ils racontaient que ces chats forestiers s'attaquaient aux mamelles de leurs brebis et chèvres. C'est à partir de ces récits, transmis de génération en génération, qu'on a commencé nos recherches » expliquait en 2019 Carlu-Antone Cecchini, chargé de mission chat forestier à l'ONCFS, devenu depuis OFB. Pour les scientifiques, l'histoire a commencé plus récemment, après la capture accidentelle d'un chat de type sauvage dans un poulailler à Olcani, dans le Cap Corse, en 2008. La publication par l’OFB et le laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive (CNRS-Université Claude Bernard Lyon 1) des résultats d’une étude génétique comparant les profils de chats vivant à l’état sauvage en Corse, en France métropolitaine et de chats domestiques, apporte donc un éclairage nouveau, et plusieurs partenaires institutionnels sont engagés dans ce programme en soutien (financier, technique, humain) à l’OFB, qui le coordonne : Collectivité de Corse, Office de l’Environnement de la Corse, Office National des Forêts, DREAL de Corse. Les travaux scientifiques vont se poursuivre, d’une part pour identifier différentes zones de Corse où ce type de chat sauvage est présent, et d’autre part, acquérir de nouvelles connaissances sur l’écologie de ce chat. (Photo OFB)

Est-ce la renaissance du lapin de garenne ?

Ils sont, affirment les témoins, des milliers à envahir, dès le crépuscule, les terres agricoles situées à l’est de Montpellier. Douze communes sont impactées par ce phénomène tout récent, mais impossible encore à endiguer. « Je n’ai jamais vu ça de ma vie », a déclaré Laurent Jaoul, maire de Saint-Brès, qui ajoute : « Ils causent des dégâts considérables et les agriculteurs, maraîchers et viticulteurs sont désemparés ». La préfecture de l’Hérault a confirmé cette invasion inédite et pour l’heure inexpliquée. Classé « ESOD » par arrêté préfectoral sur les communes de Baillargues, Candillargues, Lansargues, Le Crès, Marsillargues, Mauguio, Montpellier, Mudaison, Saint-Aunès, Saint-Brès, Saint-Just et Saint-Nazaire-de-Pézan, le lagomorphe a déjà détruit, depuis le début de cette année, plus de 1400 ha de grande culture et de vignes. La période de tir a donc été prolongée jusqu’au 31 mars 2023 et le piégeage est autorisé jusqu'au 30 juin 2023 (uniquement par des piégeurs agréés, et avec l'accord des propriétaires des terrains). Les lapins repris par furetage seront expatriés vers la garrigue à Saint-Gély-du-Fesc, « là où les chasseurs n'ont pas de lapin et où il n'y a pas de culture »...

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Sanglier : quand l’agrainage fait débat…

Glands, châtaignes, maïs, pois fourragers… Pour le sanglier, tout est bon, mais pas en permanence. Il a, comme tous les omnivores, des nécessités et… des préférences. Tous les spécialistes de la bête noire sont d’accord sur ce point : lors des années de fortes glandées, le rut du sanglier est plus précoce. Cette avance sur la nature, déclenchée par les qualités nutritives très particulières des glands de chênes, aura une forte incidence sur l’état des populations au cours de l’année suivante. Ce petit fruit forestier est incontestablement le met préféré des sangliers, à un point tel que notre bête noire est capable de délaisser tous les autres apports, y compris le maïs, quand le sol des forêts regorge de cette manne. Cependant, il faut être parcimonieux si, au printemps suivant, on apporte ce maïs en complément, car on pourrait donner aux marcassins un élan de croissance qu’ils n’auraient jamais eu dans un biotope naturel. Cette valeur nutritionnelle ajoutée favorise le développement corporel des jeunes animaux dont les effets « bénéfiques » auront une forte incidence sur la reproduction...

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Le mouflon de Corse

Y-a-t-il encore un territoire, en France, où il prospère ? Hélas non, et après des dizaines d’années d’efforts soutenus, de réimplantation, de protection, de gestion, ce petit bovidé, du genre Ovis, ancêtre de nos moutons domestiques, est impitoyablement croqué par les loups. En 2009, le tableau national augmentait encore, et atteignait même la plus forte croissance enregistrée en dix-huit ans (+ 15,4%). En 2018, l’espèce était chassée dans trente départements, contre 29 en 2017, et il se prélevait un peu plus de trois mille animaux chaque année. Mais, en 2019, le déclin a commencé. L’arc alpin est le plus touché, avec un impact majeur dans la réserve de Grange (Haute-Savoie), où le nombre de mouflons est passé de 166 à 37, en seulement deux ans. Puis suivent de près les départements de l’arc méditerranéen, et principalement l’Aude, les Pyrénées-Orientales et le massif du Caroux-Espinouse, dans l’Hérault...

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​​​​​​​On reparle du chacal doré

En mars 2022, un canidé de forme curieuse a été saisi par un piège photographique dans le sud du Finistère, et cet animal n'a été officiellement identifié qu'en début d'année. Il s'agit d'un chacal doré, espèce de canidé entre le renard et loup. D’après Ouest-France, ce sont des photographies prises en mars dernier dans une ferme pédagogique à Plonéour-Lanvern qui ont permis de dire que l'animal était bien un chacal doré, formellement identifié par un écologue de l’INRAE (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement). Dans les Deux-Sèvres, la préfecture et l'OFB ont confirmé une autre observation de chacal doré dans le département. Il a été vu à deux reprises le 15 et le 22 janvier sur la commune de Saint-Coutant. Le discret animal est passé devant un piège à photo, ce qui a permis son identification. C'est la deuxième fois que cette espèce est aperçue dans le département, et sa première observation a eu lieu en 2021 sur la commune voisine de Sainte-Soline. L’espèce vit principalement en Asie et dans les Balkans, et ce n’est qu’en 1941 que les premières traces de sa présence sont relevées en Croatie. Puis les pics de dispersion se sont multipliés jusqu’à sa première apparition en France, dans les Alpes en 2017. L’année suivante il était observé en Haute-Savoie, puis de nouveau dans les Alpes Maritimes, les Bouches du Rhône et les Deux-Sèvres. La commission européenne a considéré, en 2016, que le Chacal doré ne pouvait être considéré comme une espèce exotique envahissante et l’a, à ce titre, classé en Annexe V de la Directive Habitats 92/43/CEE qui impose aux états membres de mettre en œuvre tout ce qu’il faut pour que le statut de l’espèce reste favorable.

En France, il y a bien plus de lynx qu’annoncé...

Alors que les estimations des « spécialistes » du lynx font état de 150 à 180 animaux sur l’ensemble de l’Hexagone, les derniers chiffres publiés remettent les pendules à l’heure. Il y aurait actuellement sur le territoire métropolitain entre 400 et 500 lynx. Les animaux se portent donc très bien dans les Alpes, les Vosges, le massif du Jura (avec une centaine de lynx dans l’Ain), les Pyrénées et les forêts du Massif central. « Leur répartition géographique varie en fonction des années et de leur capacité à se reproduire et à se déplacer » écrivent aussi ceux qui les suivent, ce qui est une affirmation complètement déconnectée de la réalité. Seuls des déplacements « de survie » quand la nourriture se fait rare ont été constatés, mais en aucun cas des déplacements massifs qui auraient une incidence sur la répartition des animaux. Bref, comme pour les loups, les écolos veulent nous faire croire que tout va mal, alors que c’est quasiment l’inverse. « Les populations de lynx sont surveillées et gérées par les autorités nationales et régionales de la chasse et de la faune sauvage, qui s’efforcent de maintenir un équilibre entre la conservation de cette espèce menacée et les intérêts des communautés locales… ». Allons bon, et comment font-ils ces spécialistes pour maintenir l’équilibre ? Mais précisent-ils un peu plus loin : « Les lynx sont des animaux solitaires et territoriaux… ». Ouf nous voilà rassurés, quoique… On apprend aussi de ces éminents spécialistes que les lynx « se nourrissent principalement de cervidés tels que les cerfs, les daims et les chevreuils, mais ils peuvent également manger des lièvres, des lapins et même des petits rongeurs… Ils se reproduisent tous les ans, avec une saison de reproduction qui dépend de la région… ». Pour ce qui est de la rigueur scientifique, on attendra donc la prochaine mouture…

Le chevreuil ne séduit plus…

Détrôné par le sanglier, le chevreuil intéresse moins les chasseurs qui ont tendance à le ravaler au rang de petit gibier. Pourtant, et bien que ses effectifs progressent encore, le plus petit de nos grands animaux a un petit problème, la baisse de son poids. Le constat est général : le chevreuil a perdu, dans presque toutes les régions, de la corpulence et de la masse. Les poids moyens des adultes et des chevrillards ont chuté d’une manière significative, -10 à -15% pour les adultes, et jusqu’à -25% pour les jeunes, pesés à âge égal, entre six et sept mois. Est-ce dû à la surpopulation ? C’est l’une des causes, disent les spécialistes du petit cervidé, dont les plans de chasse approchent désormais les 700 000 animaux, pour des prélèvements réalisés à près de 90%. Et pour la première fois, au terme de la précédente saison, la barre des 600 000 têtes prélevées a été franchie. Deux départements caracolent en tête : la Moselle (16842) et la Dordogne (15065). Viennent ensuite le Bas-Rhin (14623), le Cher (13849), les Landes (13697), la Haute-Marne (13314), le Loir-et-Cher (12858), la Gironde (12539), la Côte-d’Or (11955), le Haut-Rhin (10634), l’Indre (10392) et la Sarthe (10150)…

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