Le Petit Journal de deux indissociables : la chasse et l'environnement - "Je sonne de la trompe"

Destiné à l`apprentissage progressif de la technique pour la trompe en ré, cet ouvrage s’adresse aux apprenants, débutants ou moyens, ainsi qu’aux enseignants. Forts de leurs expériences respectives, les deux auteurs proposent un condensé de leur approche de l'enseignement de la trompe, complété par trois recueils d’études, d`exercices et de fanfares traditionnelles déjà disponibles dans la même édition « Tempo Music Club ». La méthode est d'autant plus profitable qu`elle s’enrichira des conseils avisés et personnalisés d’un professeur. Les phases successives d`apprentissage sont présentées en quatre chapitres qui correspondent à la chronologie d`enseignement : 1) la gestion de l’air ; 2) la diction et l’ornementation ; 3) l’expression ; 4) les pupitres. Comme le précisent les auteurs : « La rédaction de cet ouvrage se veut simple et efficace. Nous avons choisi de ne pas illustrer nos propos par des planches techniques ou anatomiques savantes, préférant orienter le lecteur vers des vidéos intéressantes dont les liens sont fournis en fin de recueil. Ce vecteur moderne de connaissances, utilisant l’animation 3D, présente l`avantage d’être à la fois explicite et ludique. Des exercices annexes ont été sélectionnés dans le but de susciter un « ressenti » chez l'apprenant. Ils peuvent être complétés par d`autres exercices, selon les recommandations des professeurs. Évidemment, la méthode devra être adaptée par le lecteur ou le pédagogue de façon appropriée pour l'élève, selon sa morphologie, ses capacités physiques et son niveau d’avancement dans l`apprentissage de l'instrument ».

 

 

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Avant dernière étape franchie pour le déclassement du loup

Hier, mercredi 16 avril, les représentants des États membres (Coreper) ont approuvé le mandat du Conseil, visant à réviser le statut de protection du loup au niveau de l'UE, conformément à la Convention de Berne mise à jour. La proposition comprend une modification ciblée de la directive « Habitats », faisant passer le statut du loup de « strictement protégé » à « protégé ». L’objectif est de donner aux États membres plus de flexibilité dans la gestion des populations de loups, de soutenir la coexistence et de faire face aux impacts socio-économiques. La position du Conseil étant conforme à la proposition initiale de la Commission, reste donc le Parlement européen qui devrait faire connaitre sa décision le mois prochain. En cas d'alignement, la directive sera formellement adoptée et les États membres disposeront de 18 mois pour transposer le statut de protection révisé, dans leur législation. Des mesures nationales plus strictes resteront possibles. Le nombre de loups a presque doublé au cours de la dernière décennie dans l’UE, passant de 11193 en 2012 à...  20300 en 2023. Cette croissance a accru les conflits avec les activités humaines et la capacité de gérer les loups est devenue de plus en plus complexe dans le cadre de l’annexe IV.


Myxomatose : la « loi de la virulence décroissante » mise à mal…

La myxomatose est une maladie virale qui provoque des nodules cutanés (myxomes), des œdèmes de la tête et des paupières, des lésions au niveau des oreilles et des troubles respiratoires. Au départ, le virus en cause était tellement virulent qu’il décimait, en deux semaines, 99% des lapins infectés. Néanmoins, au fil du temps, le virus s’est atténué, ne tuant plus que 60% des lapins infectés et sur une période plus longue. C’est à partir de ce constat que la « loi de la virulence décroissante » a été avancée, suggérant que les virus s’atténuent naturellement avec le temps. Les scientifiques, qui ont étudié leur évolution se sont penchés sur trois variants. L’un des trois a induit une réponse différente chez les lagomorphes : un gonflement plus important des tissus cutanés à la base des oreilles et autour des paupières, précisément là où les moustiques sont le plus susceptibles de piquer. L’immuno-suppression induite semble donc être une adaptation évolutive de ce dernier, et surtout révèle une forte corrélation avec une virulence et une transmissibilité augmentées. Alors, non, le virus de la myxomatose n’a pas faibli ces dernières décennies, il est juste entré dans une course d’adaptation évolutive avec les lignées de lapins sauvages. Il y a probablement là, une explication à la recrudescence de la mortalité observée chez les lapins depuis une vingtaine d’années...


Attention aux chenilles processionnaires du chêne et du pin

Pendant le printemps et le début de l'été, il est essentiel de se méfier des chenilles processionnaires du chêne et du pin. En milieu forestier, leurs poils urticants représentent un danger potentiel pour la santé humaine et animale, notamment pour les chiens. L'Office national des forêts (ONF) appelle à la vigilance sur l'ensemble du territoire français et rappelle que les chenilles processionnaires sont les stades larvaires de papillons de nuit Thaumetopoea processionea pour le chêne, et Thaumetopoea pityocampa pour le pin. Elles sont actives du printemps au début de l'été. La chenille processionnaire du chêne s'est répandue en Europe occidentale depuis la fin du 18ème siècle et est présente dans toute la France. Elle affectionne les chênes en forêt, dans les parcs, et même dans les zones urbaines chaudes. Les œufs, pondus à la fin de l'été, éclosent généralement en avril. Ces chenilles vivent en colonies et construisent des nids soyeux qui deviennent de plus en plus imposants avec l'âge et le nombre d'individus. Ces nids sont fixés sur le tronc ou sous les branches des chênes. Les chenilles sortent en procession le soir pour se nourrir des feuilles de chêne. Les chenilles processionnaires du pin tissent des nids en forme de fuseaux blancs. Elles descendent des arbres en procession dès le mois de mars après avoir hiverné dans leurs nids, pour s'enterrer dans le sol où elles se transformeront en papillon...

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Réouverture de l’Arboretum des Barres

A Nogent-sur-Vernisson (Loiret), dans la région naturelle du Gâtinais, l’Arboretum des Barres a été labellisé « jardin remarquable ». Il ouvrira ses portes les 19, 20 et 21 avril pour une saison prometteuse. Ce site d'exception est un écrin de biodiversité unique en Europe. Sur 35 hectares, dont 10 accessibles aux personnes à mobilité réduite, il accueille une collection impressionnante de 9 250 arbres et arbustes représentant 2 600 espèces et sous-espèces venues des cinq continents. Depuis son ouverture au public en 1985, l'Arboretum s'est imposé comme un acteur majeur de l'éducation à l'environnement. Chaque année, écoliers, étudiants et passionnés viennent y découvrir les richesses du monde végétal à travers des activités variées, encadrées par une équipe dédiée. Fidèle à l'héritage de la famille de Vilmorin, le site perpétue son engagement en faveur de la transmission des savoirs botaniques. Afin d'enrichir l'expérience des visiteurs, l'Arboretum propose une programmation culturelle diversifiée : spectacles, concerts, rencontres artistiques, balades thématiques et ateliers culinaires. Loin d'être un simple jardin, il est un espace de découverte sensorielle où chaque visiteur, seul ou accompagné, peut explorer librement la richesse de ce patrimoine naturel...

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Simuler la mort pour sauver sa vie…

C’est une ruse bien connue dans le monde animal. On a tous en tête la fuite de la perdrix, aile ballante, faisant croire à l’animal blessé, proche de la capture. Pourtant, la rusée est en parfaite santé et ne cherche qu’à éloigner le danger de ses rejetons, figés dans une immobilité, indétectables. Mais quand le danger est encore plus près, la tromperie prend des proportions bien plus curieuses. Feindre sa mort est sûrement l’astuce la plus roublarde, la plus risquée aussi, que les animaux ont développé pour échapper à leurs prédateurs. Ce comportement, que l’on appelle « thanatose » ou simulacre de mort, est présent chez tous les animaux, des oiseaux aux mammifères, en passant par les poissons. Des chercheurs se penchent sur ces comportements, qui ont cependant d’autres buts que d’échapper à la mort. Si, en cas de danger, l’opossum de Virginie ouvre sa bouche, sort sa langue, vide ses intestins et expulse des fluides malodorants, il n’a d’autre but que de convaincre son prédateur qu’il n’est pas très bon à consommer. En revanche, chez l’araignée Pisaurina mira, les femelles s’attaquent souvent aux mâles. Ainsi, pour s’accoupler, le mâle s’attache à un petit paquet de nourriture et simule sa mort. La femelle emmène le repas, et lorsqu’elle commence à le manger, monsieur se réveille et… passe à l’action. Une expérience a permis aux scientifiques d’observer comment les renards se comportent avec leurs proies. Dès qu’ils étaient saisis, la plupart des oiseaux attrapés se faisaient passer pour morts. Les jeunes renards les apportaient alors jusque dans leur tanière pour les manger plus tard… laissant des proies s’échapper. C’est ainsi qu’avec l’expérience, les renards adultes ont appris qu’il fallait les tuer ou les blesser, s’ils voulaient faire bombance. C’est ce qui a donné le nom de « la dernière chance » à ce comportement. Si la proie bouge, elle est condamnée. Si elle simule la mort, elle a une petite chance de s’en tirer…


L'Affaire du siècle : un nouveau chapitre dans la lutte pour l'adaptation au changement climatique

Depuis la condamnation de l’État français il y a quatre ans pour son inaction face aux défis climatiques, le dossier connu sous le nom de « L’Affaire du Siècle » fait de nouveau parler de lui. Cette fois-ci, les associations « Notre affaire à tous », « Oxfam France » et « Greenpeace France » ont uni leurs forces avec onze sinistrés climatiques, dans une démarche juridique. Leur objectif : contraindre l'État à s'adapter de manière significative au changement climatique, une responsabilité qu'ils estiment négligée. Le mardi 8 avril, ces quatorze plaignants ont donc déposé un recours mettant en lumière « le manque d'adaptation au changement climatique » de la France. Une correspondance a été adressée au Premier ministre ainsi qu'à huit ministres clés, dans laquelle les plaignants exhortent les autorités à prendre « toutes les mesures utiles » pour garantir une lutte efficace. À défaut d'une réponse satisfaisante dans les deux prochains mois, les requérants se réservent le droit d'intenter un recours pour excès de pouvoir devant le Conseil d'État. Leur objectif : obtenir l'annulation de la décision du Premier ministre de refuser la révision du plan national d'adaptation, et de pas adopter les mesures complémentaires que les demandeurs jugent nécessaires. Parmi les requérants, figurent des victimes d'inondations dévastatrices dans le Pas-de-Calais, des résidents de la Sarthe et de Seine-Saint-Denis, aux prises avec des fissures dans leurs habitations à cause de la sécheresse croissante, ainsi que des Mahorais confrontés à une pénurie d'eau critique.


​​​​​​​INPG : 200 nouvelles inscriptions de sites géologiques

L'Inventaire National du Patrimoine Géologique (INPG) est un programme français visant à recenser et à valoriser les sites géologiques d'intérêt à travers le pays. Lancé en 2007 par le ministère de l'Environnement, ce projet s'inscrit dans le cadre de la loi sur la démocratie de proximité de 2002, qui reconnaît la nécessité de préserver et de promouvoir divers aspects du patrimoine naturel, y compris géologique, minéralogique et paléontologique. Actuellement, l'INPG répertorie plus de 3 950 sites à travers la France, allant des sites d'intérêt international à ceux d'intérêt local. Ce chiffre devrait dépasser les 5 000 à terme, marquant ainsi une première phase ambitieuse de collecte d'informations. L'objectif principal de cet inventaire est d'identifier, de documenter et de hiérarchiser ces sites, tout en évaluant leur vulnérabilité et en déterminant les besoins de protection. L'inventaire est également conçu pour servir de référence nationale intégrée dans le Système d'information de l'inventaire du patrimoine naturel (SINP), facilitant ainsi l'accès du public aux informations sur les richesses géologiques de leur région. Les gestionnaires du territoire peuvent utiliser ces données comme outil d'information et de prise de décision, contribuant ainsi à la préservation des biotopes et géotopes sensible...

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L'avenir, encore incertain, de Verney-Carron

Le dernier fabricant français d'armes légères, établi à Saint-Étienne, reste au cœur des préoccupations économiques et sociales. Propriété du groupe Cybergun depuis 2022, l'entreprise se débat actuellement dans un processus de redressement judiciaire débuté en février. Initialement prévue pour le 9 avril, l'audience devant le Tribunal de Commerce a été repoussée au 23 avril, laissant dans l'expectative les salariés, déjà confrontés à des mois d'activité partielle depuis décembre 2024. Un plan de redressement par continuation est envisagé, avec Cybergun en première ligne, pour assurer la pérennité de l'entreprise. Cependant, si ce plan échoue, une alternative pourrait être mise en œuvre : la cession totale ou partielle des actifs de Verney-Carron. Déjà, le groupe belge FN Browning s'est positionné pour la reprise, malgré quelques inquiétudes exprimées sur les potentielles conséquences sociales d'un tel rachat. L'intervention de l'État français, sollicité pour un prêt de 4,5 millions d’€ reste suspendu à la décision de Bercy, alors que de son côté, la ville de Saint-Etienne s’est engagée en proposant de racheter les locaux de l'entreprise pour 2 millions d'€, une mesure locale visant à préserver l'ancrage de Verney-Carron dans la région. À l'approche de la nouvelle audience, après un report lié à des contingences judiciaires, il devient indispensable de dépasser la seule logique financière pour envisager l’avenir de Verney-Carron. La disparition de cette entreprise ne représenterait pas seulement une perte économique pour la région stéphanoise, et un drame humain pour ses 67 salariés, elle marquerait aussi un recul stratégique majeur pour la souveraineté industrielle et militaire de la France. À l’heure où les tensions géopolitiques n’ont jamais été aussi vives, maintenir sur le sol national un savoir-faire centenaire en matière d’armement léger relève non seulement du bon sens, mais de l’intérêt supérieur de l’État. Face à ces enjeux conjoints, emplois, sécurité, indépendance, l’hypothèse d’un abandon pur et simple ne saurait être envisagé. C’est pourquoi l’intervention de l’État, en soutien à une solution de reprise durable et enracinée localement, apparaît aujourd’hui comme une impérieuse nécessité.


Le potentiel des tourbières à capturer du carbone revu à la hausse

Selon une modélisation prédictive développée par un chercheur du CNRS et ses collègues européens, les microalgues des tourbières pourraient absorber jusqu’à 14 % des émissions futures de CO² grâce à la photosynthèse. Pour parvenir à ce résultat, il s’est appuyé sur une étude de terrain et les scénarios établis par le GIEC. Ce modèle est le premier à quantifier l’impact des tourbières sur la compensation du CO² à l’échelle mondiale. Cette avancée éclaire un aspect encore méconnu du cycle terrestre du carbone et de ses perturbations liées au changement climatique anthropique. Publiée dans Nature Climate Change, l’étude met en lumière le rôle des tourbières, qui, bien qu’elles ne couvrent que 3 % des terres émergées, renferment plus de 30 % du carbone des sols sous forme de matière organique fossilisée. Ce stock est estimé entre 500 et 1000 gigatonnes de carbone, soit 56 à 112 % du carbone atmosphérique. Si certains micro-organismes libèrent du CO² par respiration, les microalgues en fixent via la photosynthèse. Or, la hausse des températures stimule cette activité, renforçant ainsi la capacité des tourbières à le capturer. les mécanismes, longtemps négligés, n’étaient pas pris en compte dans les projections climatiques par manque de données. Pourtant, cette fixation du carbone pourrait jouer un rôle clé dans l’atténuation du réchauffement climatique. D’autres processus d’absorption du carbone par les micro-organismes des tourbières restent encore à explorer. Des recherches supplémentaires sont donc nécessaires pour mieux quantifier leur potentiel en tant que puits de carbone et affiner les modèles climatiques. Cependant, la protection des tourbières et la réduction des émissions de CO² restent les leviers les plus efficaces pour limiter l’intensification du changement climatique.


Bpifrance, en partenariat avec l’OFB lance le « Diag Biodiversité »

Bpifrance, détenu à 50 % par l'État via l'EPIC BPI-Groupe et à 50 % par la Caisse des Dépôts, contribue au développement de l'esprit d'entreprise par le biais de ses dispositifs d'accompagnement financiers et non financiers. Dans ce contexte, l’organisme suit et évalue les résultats et les impacts de ses dispositifs de soutien, notamment en termes de croissance. Le  lancement du « Diag Biodiversité » vise à accompagner près de 300 PME, sur une période de trois ans, dans l’intégration des enjeux de biodiversité au cœur de leur stratégie. Face à la crise écologique mondiale et à la sixième extinction de masse en cours, cette initiative s’inscrit comme une réponse concrète pour sensibiliser et engager les entreprises à leur rôle essentiel dans la préservation des écosystèmes. Le « Diag Biodiversité » a été conçu avec le concours de plusieurs partenaires spécialisés : BL Evolution, ICare Environnement et CDC Biodiversité. L’objectif est de fournir aux entreprises des outils d’analyse et de pilotage, leur permettant de mieux comprendre à la fois leur dépendance vis-à-vis des services écosystémiques, tels que la pollinisation, la qualité de l’eau, la régulation climatique, et leurs impacts, qu’ils soient directs ou indirects, sur la biodiversité. En d’autres termes, il s’agit d’identifier les interactions entre les activités économiques et les milieux naturels, afin de mettre en place des stratégies durables et résilientes...

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FACCC : le week-end prochain, 19 et 20 avril : Finale nationale chien de pied

L'Afaccc 48 (Lozère) accueillera, pour une première dans le sud de la France, la finale nationale chien de pied sur voie artificielle. Chef-lieu d'un département de tous les contrastes, Mende sera l'épicentre d’une finale d'exception. Avec un territoire de plus de 20 000 hectares et une dynamique que les Lozériens n’ont plus à démontrer, les organisateurs de cette manifestation phare sont prêts pour accueillir les 42 candidats de toutes les régions, sélectionnés lors des épreuves départementales et régionales. Ce sont donc les meilleurs chiens qui se mesureront sur le terrain. Dans toutes les régions où l’on fait « le pied », posséder un chien expérimenté augmente considérablement les chances de succès d’une battue. Le travail de l’équipe chien/conducteur, au petit matin et dans une discrétion absolue, consiste à faire le tour d’une partie du secteur de chasse afin de déterminer dans quelles coupes les animaux se sont remisés. Cela permet ensuite aux traqueurs d’attaquer à la brisée et de découpler les rapprocheurs ou directement la meute. Manu Rousson, président de l’AFACCC 48 est confiant : « Je tiens d’ores et déjà à remercier, tant sur le plan logistique que financier, la mairie de Mende, la Fédération des Chasseurs de Lozère, les collectivités locales, départementale et régionale, ainsi que tous nos partenaires pour l’aide apportée à l’organisation de cette épreuve nationale. Un remerciement également à tous les bénévoles qui se sont investis dans ce projet. En espérant vous voir nombreux et... que la fête soit belle » a-t-il écrit. Infos pratiques : - Accès : à deux heures de la côte méditerranéenne, Mende, ancienne capitale du Gévaudan, est située en plein cœur de la Lozère, dans la vallée du Lot, avec au nord-est la Margeride granitique, au sud-est les Cévennes schisteuses, au sud-ouest les Causses calcaires et les Gorges du Tarn et au nord-ouest l’Aubrac basaltique. Par la route, deux axes principaux mènent à Mende : la RN l06 du nord au sud, et la RN 88 d’est en ouest. La connexion avec l’autoroute A 75 se fait à la sortie 39.