Le Petit Journal de deux indissociables : la chasse et l'environnement - Salon Chasse Pêche et Nature en Bourgogne --

Programme d’études « Colombidés » : bilan annuel

Communiqués par l’OFB, ces documents présentent le bilan du suivi des Colombidés mené depuis 2019 au niveau national dans le cadre du programme d'étude (baguage et recaptures d’oiseaux bagués, suivi de la reproduction) dédié à 4 espèces : - le pigeon ramier ; - le pigeon colombin ; - la tourterelle turque ; - la tourterelle des bois. Les résultats sont mis en perspective avec ceux des années précédentes. D'autres études plus spécifiques liées au programme sont aussi présentées, telles que le suivi des déplacements par voie satellitaire, les analyses isotopiques ou les études des tableaux de chasse. Ce programme vise à évaluer, chez ces 4 espèces de colombidés nicheurs, divers traits démographiques, comme les taux de survie, le succès reproducteur et la productivité, les mouvements de dispersion et de migration de ces espèces. La connaissance de ces paramètres démographiques permet de comprendre les processus à l’œuvre dans la dynamique de population et d’identifier les éventuels facteurs limitants. Par ailleurs, la compréhension de ces mécanismes est l’essence même de la gestion adaptative des populations. Le programme revêt actuellement une importance particulière pour la tourterelle des bois. Cette espèce cumule les exceptions : elle est le plus petit colombidé d'Europe, et le seul migrateur strict, c'est-à-dire sans aucune population sédentaire. C'est aussi le seul colombidé traversant le Sahara lors de sa migration. Dans le cadre du programme dédié aux colombidés piloté par l’OFB, une trentaine de tourterelles ont été équipées de balises Argos solaires, dans le but de suivre précisément leur trajet migratoire et d’identifier les facteurs qui pourraient contribuer au déclin de l'espèce.

 

Pour lire le rapport, c’est ICI


Sentinelle de la faune sauvage : le réseau Sagir

Le réseau Sagir, dispositif national de surveillance épidémiologique pour la faune sauvage en France, joue un rôle de premier plan dans la détection précoce des maladies, impactant la conservation des espèces, la santé animale, et même la santé publique et l'économie agricole. Fondé sur la détection des anomalies de mortalité et le diagnostic des causes, Sagir vise à identifier et caractériser divers agents pathogènes, toxiques et autres menaces pour les écosystèmes. Il s'articule autour de plusieurs objectifs clés : - repérer rapidement de nouvelles maladies, qu'elles soient infectieuses, parasitaires, toxiques ou immunitaires ; - étudier les processus morbides et épidémiologiques associés ; - répertorier les agents infectieux transmissibles entre la faune sauvage, les animaux domestiques et les humains. En caractérisant ces maladies dans le temps et l'espace, le réseau Sagir contribue à évaluer les risques, en alignement avec le concept de « une seule santé ». Chaque année, Sagir enquête sur environ 2500 événements de mortalité, hors crises sanitaires majeures, dont plus de 150 font l'objet d'analyses toxicologiques approfondies. Les composés toxiques les plus fréquemment recherchés incluent des insecticides (carbamates et néonicotinoïdes), ainsi que des rodenticides (anticoagulants AVK), et occasionnellement des métaux lourds (plomb, cadmium, mercure). Plus de 350 espèces ont été étudiées et suivies, avec une augmentation notable des espèces protégées, représentant plus de 30% des cas entre 2022 et 2024, souvent dans le cadre de plans d'action nationaux...

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Le Dr Nikolaus Kriz nommé directeur exécutif de l'EFSA

Le Conseil d'administration de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), a désigné le Dr Nikolaus Kriz, directeur exécutif, pour un mandat de cinq ans à partir de septembre 2025. Cette nomination, qui fait suite à l'annonce du départ du Dr Bernhard Url, directeur exécutif actuel, après onze années de leadership exemplaire, a été officiellement annoncée par Aivars Berzinš, président du conseil d'administration de l'EFSA, qui a salué l'expertise et le leadership du Dr Kriz dans les domaines réglementaires et scientifiques. Le Dr Kriz, actuellement responsable du département des services d'évaluation des risques (ENABLE) à l'EFSA, apporte son expérience dans l'évaluation des risques vétérinaires et de santé publique, acquise notamment à l'Agence européenne des médicaments (EMA). Sa nomination intervient après une période de service au sein de l'EFSA depuis 2017. « Je suis honoré et reconnaissant d'avoir été nommé à la tête de l'EFSA », a-t-il déclaré, en réaction à sa nomination. Il a exprimé sa volonté de collaborer avec l'équipe et les experts de l'EFSA pour renforcer davantage le rôle de l'organisation en tant que référence européenne en matière de sécurité alimentaire et d'évaluation des risques. La procédure de sélection du Dr Kriz inclura un passage devant la commission de l'environnement, du climat et de la sécurité alimentaire (ENVI) du Parlement européen, prévu pour le 14 juillet. Cette séance permettra au Dr Kriz de présenter une déclaration officielle et de répondre aux questions des membres du Parlement européen, marquant ainsi une étape clé avant son entrée en fonction. Par ailleurs, l’EFSA joue un rôle central dans le système de sécurité alimentaire de l’Union européenne...

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Biodiversité : analyse des déplacements des espèces

Depuis le Grenelle de l’environnement de 2007, les collectivités sont tenues de protéger les zones naturelles importantes pour la biodiversité. Pour ce faire, l'utilisation du nouveau logiciel « Graphab » (Graphes et Analyse de la Biodiversité), permet de modéliser les déplacements des espèces. Développé par le laboratoire « ThéMA » (Théoriser et Modéliser pour Aménager) de Besançon, ce logiciel cartographie les corridors écologiques essentiels pour la survie d'espèces variées, allant du cerf à la grenouille. Paul Savary, enseignant-chercheur en écologie à l’UMLP, dirige des recherches sur la dispersion des espèces et la connectivité écologique des habitats. En utilisant des modèles basés sur la structure des paysages et des données de terrain, comme des informations génétiques et des relevés de présence, le chercheur démontre l'impact de la connectivité sur la diversité biologique. Les résultats de ses études soulignent que la présence d'habitats vastes et connectés est indispensable à toutes les espèces, car ils favorisent l'accès à des ressources essentielles, comme les bandes en herbe le long des cultures. En milieu urbain, « Graphab » analyse l'impact de l'urbanisation sur la biodiversité, soulignant l'importance de comprendre les déplacements entre habitats urbains et péri-urbains pour optimiser la coexistence avec la nature. Dans son utilisation, le logiciel « Graphab » permet :

- d’identifier les corridors écologiques prioritaires à préserver ou à restaurer ;

- de tester différents scénarios d’aménagement pour limiter la fragmentation des milieux naturels ;

- d’évaluer l’effet de projets urbains, agricoles ou routiers sur les déplacements d’espèces ;

- de fournir des outils d’aide à la décision pour les collectivités et les gestionnaires d’espaces naturels.


Parcours et carrières de piqueux

Les vèneries d’Etat, puis impériales, étudiées pour le faste déployé, leur budget et les extravagances qu'elles engendraient, invitent à poser un regard dans les coulisses, ou plutôt les chenils et les écuries. Ces chasses à courre se déroulaient principalement dans les forêts de la Couronne, que sont Fontainebleau, Rambouillet et Compiègne. Leur apogée prit fin brutalement en 1870, avec la chute du Second Empire. Louis Reverdi, surnommé « La Trace », offre une perspective unique sur cette institution. Sa carrière témoigne des différents échelons de la hiérarchie : débutant comme valet de chiens, puis valet de limier à pied à l'âge de 20 ans, évoluant au rang de valet de chiens à cheval à 28 ans, jusqu'à devenir 4ème piqueux à 31 ans, 2ème piqueux à 43 ans, et enfin 1er piqueux piquant à 48 ans, avant d'être nommé « Commandant de la Vènerie » quatre ans plus tard. Cette progression illustre la rigueur et la dévotion requises pour gravir les échelons de cette institution. Pour Lage de Chaillou, le valet de limier représente la pièce maîtresse de toute chasse à courre, fondamental dans son rôle puisque les attaques se faisaient toujours à trait de limier, et jamais de meute à mort. Mais, la dissolution abrupte de la Vènerie Impériale en 1870 obligea ses membres, une vingtaine au total, à se réorienter vers d'autres équipages périphériques. Nombre d'entre eux transmirent leur expertise et leur attachement aux traditions, enrichissant ainsi les pratiques de chasse dans les régions où ils s'installèrent. Malgré sa disparition officielle, l'héritage de la Vènerie Impériale a persisté à travers ces hommes, qui ont façonné une tradition ancestrale et l'ont perpétuée au-delà des frontières de la Couronne. Leur adaptation et leur influence dans d'autres équipages témoignent de l'importance de leur savoir-faire, consolidant ainsi un pan essentiel de l'histoire de la chasse à courre en France...

Par Louis-Gaspard Siclon

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Thierry Coste, chef d’orchestre d’une France rurale en résistance ?

Thierry Coste, le lobbyiste bien connu pour ses liens étroits avec la FNC et son implication politique, lance le mouvement « Nos Campagnes », avec un objectif clair : défendre de manière positive les intérêts des zones rurales. Ce nouveau think tank, présenté lors d'une conférence de presse à Paris le 8 juillet, se veut un espace où les préoccupations politiques sont laissées de côté au profit d'une vision unifiée pour le développement rural. En s'appuyant sur son expérience en tant que conseiller de la Fédération nationale des chasseurs, et conseiller du Président de la République (?), Thierry Coste a déjà esquissé les contours de son nouveau bébé dans son livre : « Le plan secret de nos élites contre le monde rural », paru en octobre 2023. Dans ce mouvement, il y rassemble une large coalition, y compris des personnalités reconnues. Le conseil d'administration de « Nos Campagnes » comprend des figures notables, reflétant une alliance stratégique avec des organisations clés du monde rural. Ce groupe vise à promouvoir les intérêts des campagnes françaises, non seulement à travers la défense des activités traditionnelles, mais aussi en soutenant des initiatives de développement durable et en améliorant l'attractivité touristique des régions rurales. « Nos Campagnes » sous l’impulsion de Thierry Coste, cherche donc à transformer le dialogue autour des zones rurales en mettant en avant une vision constructive et inclusive. Loin des désaccords partisans ?...

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Anti-chasse, Louis de Redon nommé « conseiller chasse et forêt » du Premier ministre

Louis de Redon, avocat d'associations environnementales, renommé pour sa défense opiniâtre des droits des animaux, vient d’être nommé « conseiller agriculture, alimentation, pêche, chasse et forêt (chef de pôle) » au cabinet du Premier ministre. Cette nomination suscite bien des questions au sein du monde cynégétique. Perçu comme un provocateur par certains, et comme un défenseur inflexible des droits animaux par d'autres, Louis de Redon incarne une figure polarisante dans le débat sur la chasse et la protection de la faune sauvage en France. Louis de Redon, dans le monde politique, est le reflet d'une carrière multifacette. Avocat, ingénieur agronome, docteur en biologie et maître de conférences en droit de l’environnement, il combine une expertise académique solide avec un engagement passionné envers les causes environnementales. Sa défense vigoureuse de l'interdiction de la vénerie sous terre, engagée par la maire de Valaire en 2019, est un exemple flagrant de sa stratégie juridique bien élaborée, soutenue par un réseau dense d'associations animalistes. Cette affaire, qui avait attiré l'attention des médias locaux et nationaux, a assis sa réputation en tant que défenseur implacable des droits des animaux. Cependant, sa nomination comme conseiller au cabinet du Premier ministre a été perçue comme une provocation. « C’est mettre un loup dans la bergerie » a déclaré un président de FDC, rappelant la position antérieure de Louis de Redon, quand il était conseiller pour la planification écologique et les politiques environnementales, au ministère de l'Agriculture. Désormais avec un rôle directement lié à la chasse et à la gestion forestière, ceux qui reconnaissent ses talents, mais pas ses idées, craignent pour l’avenir de la chasse... A juste raison ?


Crédits nature : la Commission européenne lance une feuille de route

Le 7 juillet 2025, la Commission européenne a dévoilé une initiative ambitieuse visant à promouvoir les crédits nature, une nouvelle approche pour stimuler les investissements privés dans la protection de la biodiversité. Cette feuille de route marque une étape de plus dans les efforts de l'UE pour intégrer la valeur écologique dans les décisions économiques. L'objectif principal de cette initiative est de reconnaître, et de récompenser financièrement, les efforts déployés par les entreprises et les individus, en faveur de la préservation de la nature. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a souligné l'importance de cette démarche en déclarant : « Nous devons intégrer la nature dans notre bilan. C'est exactement ce que font les crédits nature ». Ces crédits nature fonctionnent sur le principe de valorisation des services écosystémiques fournis par la nature. En d'autres termes, ils encouragent les investissements qui contribuent à restaurer ou à maintenir des écosystèmes vitaux tels que les forêts, les zones humides et les récifs coralliens. Ces investissements peuvent inclure des actions de reboisement, la restauration des habitats naturels, ou encore des projets de conservation de la faune et de la flore locales. La feuille de route présentée par la Commission européenne propose plusieurs mesures clés pour faciliter leur adoption....

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Loi Duplomb-Menonville : c’est voté !

La proposition de loi agricole portée par les sénateurs Duplomb et Menonville a été adoptée hier, à l’Assemblée nationale. Présentée comme une réponse à la crise agricole de l’hiver 2024, elle était contestée par une partie de la gauche, des ONG écologistes et les apiculteurs. En cause : le retour d’un pesticide néonicotinoïde controversé, l’acétamipride. Mais le texte, amendée par une commission mixte, a recueilli, en 2ème lecture à l’Assemblée nationale la majorité des voix (316 pour, 223 contre), un vote salué par la FNSEA, et les Jeunes agriculteurs. Pourtant, en retrait, la Confédération paysanne, 3e syndicat agricole, dénonce une « loi mortifère au service du libre-échange ». Quant à la ministre de l'Agriculture, Annie Genevard,, elle loue une loi « équilibrée et cruciale » alors que sa collègue de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, regrette d'avoir « perdu » sur la mesure la plus commentée : la réintroduction à titre dérogatoire et sous conditions de ce néonicotinoïde, interdit en France, mais autorisé ailleurs en Europe jusqu'en 2033. Le texte prévoit donc sa réintroduction, sans instaurer de délai, avec cependant une clause de réexamen par le conseil de surveillance trois ans après, puis annuelle, pour vérifier que les critères d'autorisation sont toujours remplis. La loi prévoit également des mesures pour faciliter le stockage de l'eau pour l'irrigation, dans un contexte de raréfaction liée au dérèglement climatique, ainsi que faciliter l'agrandissement, ou la création, de bâtiments d'élevage intensif.


Optimiser ses tirs

Pour optimiser ses tirs, à la chasse, il est essentiel de comprendre les exigences spécifiques à chaque situation. Qu’il s’agisse de tir de battue, d’approche ou d’affût, les techniques ne sont pas les mêmes. Chaque méthode nécessite une adaptation précise des instruments de visée, que ce soit une lunette ou un point rouge. Cependant, la clé ultime réside dans l'entraînement constant et la maîtrise émotionnelle du chasseur, des aspects souvent négligés mais déterminants pour la réussite. La précision du tir, en chasse, est une compétence qui va bien au-delà du simple alignement d'une cible à travers une lunette ou un viseur. En explorant comment optimiser chaque mode de chasse, on constate que la précision au tir est une combinaison de connaissance et de technique, façonnée par une pratique constante.  

- Le tir d’approche : il est l'aboutissement d'une recherche méticuleuse, donc d’un acte discret, qui bloque pendant toute sa durée, le besoin de s’extérioriser du chasseur. Il concentre alors une charge nerveuse et musculaire, qu’il ne peut encore lâcher avant le tir. D’où, l’extrême tension qui règne au moment de serrer la queue de détente. En fonction du terrain et de la distance, il nécessite, dans la plupart des cas, une visée posée et stable, souvent appuyée sur un support prévu à cet effet (canne de pirsch ou sac à dos) ou improvisé sur place (tronc, branche, rocher...). Le chasseur, qui doit alors contrôler ses émotions pour déclencher un tir précis aura intérêt à faire une pause de quelques secondes, afin de faire le vide dans sa tête et se concentrer uniquement sur la cible et son environnement proche, pour les raisons qu’impose la sécurité. Libéré alors d’une grande partie de son stress et ayant surmonté la précipitation toujours nocive dans ce moment-là, il pourra suivre attentivement la réaction de l'animal au coup de feu...

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Projet d’arrêté suspendant la chasse du courlis cendré et de la barge à queue noire jusqu’au 1er juillet 2026

Soumis à la consultation du public jusqu’au vendredi 25 juillet, le projet d’arrêté a pour objet de suspendre la chasse du courlis cendré et de la barge à queue noire en France métropolitaine jusqu’au 1er juillet 2026. On y trouve les considérants suivants :

- S’agissant du Coulis cendré : il fait l’objet d’un plan d’action international adopté par les parties signataires de l’Accord sur la conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique-Eurasie (AEWA). La France est légalement engagée dans ce plan, adopté en 2015. Il conditionne notamment la réouverture de la chasse en France à la mise en place d’un plan international de gestion adaptative des prélèvements. Un arrêté du 31 juillet 2019 relatif à la chasse du Courlis cendré en France métropolitaine pendant la saison 2019-2020, lequel autorisait un prélèvement de 6 000 individus, a été annulé par décision du Conseil d’Etat du 31 juillet 2019. Prenant acte de cette décision, la chasse du courlis cendré en France métropolitaine est depuis suspendue (saisons cynégétiques 2020-2021, 2021-2022, 2022-2023, 2023-2024 et 2024-2025). Considérant l’état d’avancement du plan international de gestion adaptative de l’espèce, ainsi que l’état de ses populations, il est proposé de suspendre la chasse de cette espèce sur l’ensemble du territoire métropolitain pour un an. L’article 1er précise que la chasse du courlis cendré (Numenius arquata) est suspendue sur l’ensemble du territoire métropolitain jusqu’au 1er juillet 2026.

- S’agissant de la barge à queue noire : la Barge à queue noire (Limosa limosa) est actuellement classée « quasi-menacée » sur la liste rouge mondiale de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Elle fait l’objet d’un plan international dans le cadre de l’Accord sur la conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique- Eurasie (AEWA). Ce plan a été renouvelé en décembre 2018 pour une période de 10 ans et prohibe la chasse dans l’ensemble des pays signataires...

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