Dans son communiqué, la FNC s’en prend vertement à la Commission européenne, qui, précise-t-elle, continue son travail de sape pour détruire, petit à petit, les traditions rurales et patrimoniales françaises. L’État français a reçu, la semaine dernière, un nouvel avis motivé venant de la Commission, avis dans lequel elle déroule clairement son idéologie verte totalement hors-sol. « Non, la baisse de la biodiversité n’est pas liée à la pratique de la chasse » martèle la FNC qui ajoute : « Les chasses traditionnelles sont dorénavant attaquées dans leur ensemble, en désignant clairement les palombières. Comme on peut le lire, la Commission estime qu’il vaut mieux tuer des oiseaux à l’aide d’une arme à feu, plutôt que d’utiliser des pratiques ancestrales de chasse transmises de génération en génération, qui ne concernent qu’un petit quota de prélèvement. La Commission prend également bien soin de tenir la porte solidement fermée à toute discussion, concernant la chasse des oies en février. Préférant continuer à autoriser l’abattage massif des oies en Europe hors période de chasse, du moment que les chasseurs français ne puissent pas en tuer quelques-unes en février, à destination de leurs assiettes. Et comme si cela ne suffisait pas, s’ajoute à cette logorrhée anti-chasse, une liste exhaustive d’espèces menacées qui est aujourd’hui posée sur la table du ministère de la Transition écologique. Non, messieurs les fonctionnaires européens adeptes de fake-news, la baisse de la biodiversité n’est pas liée à la pratique de la chasse ! La Commission européenne met sciemment en danger les traditions et les passions rurales de dizaines de millions de personnes, au nom d’un militantisme qui n’a pas lieu d’être en son sein… ».
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