Le petit journal de deux indissociables : la chasse et l'environnement

Destiné à l`apprentissage progressif de la technique pour la trompe en ré, cet ouvrage s’adresse aux apprenants, débutants ou moyens, ainsi qu’aux enseignants. Forts de leurs expériences respectives, les deux auteurs proposent un condensé de leur approche de l'enseignement de la trompe, complété par trois recueils d’études, d`exercices et de fanfares traditionnelles déjà disponibles dans la même édition « Tempo Music Club ». La méthode est d'autant plus profitable qu`elle s’enrichira des conseils avisés et personnalisés d’un professeur. Les phases successives d`apprentissage sont présentées en quatre chapitres qui correspondent à la chronologie d`enseignement : 1) la gestion de l’air ; 2) la diction et l’ornementation ; 3) l’expression ; 4) les pupitres. Comme le précisent les auteurs : « La rédaction de cet ouvrage se veut simple et efficace. Nous avons choisi de ne pas illustrer nos propos par des planches techniques ou anatomiques savantes, préférant orienter le lecteur vers des vidéos intéressantes dont les liens sont fournis en fin de recueil. Ce vecteur moderne de connaissances, utilisant l’animation 3D, présente l`avantage d’être à la fois explicite et ludique. Des exercices annexes ont été sélectionnés dans le but de susciter un « ressenti » chez l'apprenant. Ils peuvent être complétés par d`autres exercices, selon les recommandations des professeurs. Évidemment, la méthode devra être adaptée par le lecteur ou le pédagogue de façon appropriée pour l'élève, selon sa morphologie, ses capacités physiques et son niveau d’avancement dans l`apprentissage de l'instrument ».

 

 

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Parcoursup : plus de 30 000 places à pourvoir dans l’enseignement agricole

L’enseignement agricole propose plus de 150 formations sur Parcoursup allant du baccalauréat au diplôme d’ingénieur agronome ou vétérinaire. Il couvre plus de 200 métiers, et offre aux diplômés une insertion rapide et durable sur le marché du travail. Ces voies d’excellence, accessibles à tous les élèves, offrent des réponses aux grands défis que sont le renouvellement des générations d’agriculteurs, les transitions et la souveraineté alimentaire. Avec 15 000 places en voie scolaire et plus de 15 000 en apprentissage, l’enseignement agricole est un acteur-clé de la réussite éducative en France. 75 % des diplômés des formations professionnelles trouvent un emploi dans les six mois. Un taux qui atteint 85 % pour les BTS agricoles. Ces cursus donnent accès à des secteurs dynamiques comme l’agriculture, l’agroéquipement, l’environnement, l’alimentation et l’aménagement paysager, qui affichent une forte demande et des opportunités d’emploi stables et attractives. Sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, l’enseignement agricole est le deuxième système éducatif en France. Administré par la Direction générale de l'Enseignement et de la Recherche (DGER), il propose des formations techniques et supérieures. Il compte 217 000 élèves, étudiants et apprentis, ainsi que plus de 800 établissements répertoriés sur Parcoursup, qui garantissent aux élèves de nombreuses de formations près de chez eux...

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Le lien unique entre le chasseur et son chien : une profonde complicité...

Les relations entre le chasseur et son, ou ses chiens, occupent une place centrale dans l’univers de la chasse. Ce lien, forgé au fil du temps, repose sur une complicité mutuelle, une confiance absolue et une compréhension instinctive qui dépasse les mots. Les chiens ne sont pas de simples outils ou assistants : ils sont des compagnons fidèles, des partenaires indispensables et, souvent, des membres à part entière de la famille du chasseur. Pourquoi ce lien est-il si fort ? Voyons plus en détail les aspects historiques, affectifs et fonctionnels. Depuis des millénaires, l’homme et le chien coopèrent dans le cadre de la chasse. Cette relation remonte à l’époque de la domestication pour en faire des compagnons, puis des alliés. À travers les siècles, le chien a été sélectionné et entraîné pour devenir un auxiliaire spécialisé, capable d’accomplir des tâches variées : pistage, poursuite, rapport, déterrage... Cette longue histoire commune a renforcé le lien entre l’homme et l’animal, en instaurant une dépendance mutuelle. Pour le chasseur, le chien représente bien plus qu’un animal de travail : il incarne cette tradition ancestrale et ce partenaire irremplaçable dans l’art de la chasse. En retour, le chien trouve dans cette relation une raison d’être, une satisfaction de ses instincts naturels, et un cadre où il peut exprimer ses talents...

Par Liéven Kesteloot

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CIC, bilan de l'année 2024 : amplifier la voix des chasseurs et façonner la conservation mondiale

L'année écoulée a réaffirmé avec force l'importance cruciale de faire entendre la voix des chasseurs dans l'élaboration des politiques mondiales de conservation. Le Conseil international pour la conservation du gibier et de la faune sauvage (CIC) s'est distingué par son engagement inébranlable à représenter les intérêts des chasseurs dans des forums internationaux décisifs. Ces efforts ont été couronnés de succès à travers des victoires significatives, un plaidoyer continu et un engagement renforcé dans des plateformes historiquement influentes. En 2024, le CIC a joué un rôle déterminant lors de la Convention de Berne en Europe. Son implication active a permis de garantir que les décisions de gestion concernant le loup reposent sur des données scientifiques solides, conduisant ainsi à la reclassification de l'espèce, passant d'une protection stricte à une protection régulée. Cette initiative a été cruciale face aux défis uniques posés par les populations de loups pour les communautés rurales et les chasseurs, renforçant ainsi le rôle du CIC en tant que défenseur crédible de la gestion durable de la faune sauvage. Parallèlement, le CIC a intensifié ses efforts contre les interdictions d'importation de trophées, notamment au Royaume-Uni et en Belgique. En utilisant des données probantes et en dialoguant avec les décideurs politiques, le CIC a souligné l'importance économique de la chasse dans le financement de la conservation, tout en insistant sur la nécessité de décisions fondées sur la science. En France, le CIC a également marqué des points importants en mobilisant les défenseurs de la chasse durable et en amplifiant la voix des communautés locales, mettant en avant les avantages étendus d'une gestion équilibrée des ressources fauniques. Ces efforts ont illustré la valeur de la collaboration mondiale pour promouvoir des modèles de conservation efficaces qui bénéficient à la fois à la faune et aux populations locales.

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Les pièges photographiques incontournables pour la surveillance de la faune sauvage

Les pièges photographiques sont devenus incontournables pour la recherche et la surveillance de la faune, mais une compréhension approfondie de leur potentiel et de leurs limites est essentielle. Une analyse couvrant une décennie (2012-2022) de leur utilisation en Australie met en lumière les avancées et défis associés. L’étude intègre une revue de la littérature, un sondage auprès de 132 professionnels, un atelier réunissant 28 experts, et une cartographie des pratiques. L’utilisation de ces appareils a connu une augmentation exponentielle jusqu’à atteindre un plateau, avec un ralentissement des publications en raison d’un traitement manuel saturé et de contraintes analytiques. Les analyses avancées, comme la modélisation hiérarchique, restent sous-exploitées malgré leur potentiel pour corriger les biais de détection, et affiner les estimations d’occupation, d’abondance et de densité. Les études se sont concentrées sur les mammifères de taille moyenne à grande dans les forêts côtières du sud-est de l’Australie, souvent près des grandes villes. Les études multi-espèces, multi-sites et pluriannuelles sont rares, freinées par une collaboration limitée et l’absence de partage systématique des données et l’absence d’un référentiel d’images universel complique l’exploitation des données issues des caméras. L’Atlas of Living Australia (ALA), bien que dominant pour le partage de données d’occurrence, ne prend pas en charge les absences détectées, essentielles pour les modélisations complexes...

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Chasse illégale et braconnage...

« La chasse, l'exploitation forestière, la surpêche et l'intensification de l'agriculture menacent bien plus la biodiversité que le réchauffement climatique », affirment trois chercheurs de l’université du Queensland en Australie, après avoir analysé les menaces pesant sur 8 688 espèces menacées. Selon eux, la surexploitation des ressources naturelles et l’agriculture sont les principales causes du déclin de la biodiversité, avec la chasse comme troisième facteur. Dans leur chapitre intitulé « Les ravages des fusils, des filets et des bulldozers », Sean Maxwell, James Watson et Richard Fuller mettent en lumière le braconnage ciblant des espèces comme le rhinocéros de Sumatra, le gorille de l'Ouest ou le pangolin de Chine, pour leur viande ou des parties prisées pour la médecine traditionnelle ou les trophées. Toutefois, l’emploi flou des termes « chasse illégale » et « braconnage » mérite d’être clarifié. Si, sur le fond, la chasse illégale et le braconnage renvoient à des activités similaires, la destruction de la faune en violation des lois, leur utilisation médiatique est source de confusion. Pourtant, ces deux actes présentent des différences significatives, tant sur le plan juridique que sur le plan éthique et écologique...

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Restauration des cours d'eau : état des lieux et enjeux

Le ministère de la Transition écologique confirme que la restauration de la continuité écologique des cours d'eau reste une priorité. Cette politique vise à équilibrer la préservation de la biodiversité, la promotion de la petite hydroélectricité, la valorisation du patrimoine et les activités en eaux vives. À ce jour, 11 % du linéaire total des cours d’eau nécessitent une restauration écologique, avec des interventions planifiées sur environ 5 000 ouvrages d’ici 2027. Plutôt que leur suppression, les solutions techniques privilégient l’aménagement, comme la mise en place de passes à poissons, de rivières de contournement ou l’abaissement de seuils. Les études scientifiques montrent que l’effacement de petits ouvrages améliore la migration des poissons, la biodiversité et la qualité des eaux. Ces bénéfices, validés par le conseil scientifique de l’OFB, sont également corroborés par les collectivités locales exerçant la compétence GEMAPI. Les retenues d’eau créées par des seuils exacerbent l’évaporation, le réchauffement, et favorisent des problèmes tels que l’eutrophisation et la prolifération de cyanobactéries. Par conséquent, la restauration écologique contribue à renforcer la résilience aux sécheresses, améliore la qualité de l’eau et limite les inondations. Dans certains cas, les seuils aggravent les inondations locales ou causent des sur-inondations en aval lors de ruptures. Toutefois, depuis la loi « Climat et résilience » de 2021, l’effacement des seuils de moulins ne peut plus être prescrit pour satisfaire les obligations écologiques, sauf exceptions liées à la sécurité ou à la fin d’usage. Les effacements restent envisageables pour d’autres ouvrages inutilisés. De nombreuses ressources, accessibles sur le site de l’OFB, détaillent ces retours d’expérience et actions en cours.


Les chasseresses invitées à présenter leurs trophées

« Women Go Hunting » est une initiative du SCI qui met en lumière l'implication des femmes dans la chasse, quelle que soit la manière dont elles choisissent d’y participer. L'objectif principal de ce programme est de promouvoir le rôle essentiel des chasseresses dans l’avenir de cette activité traditionnelle, en soulignant leur influence sur les générations futures. En effet, selon le slogan de l'initiative :  « Quand maman chasse, toute la famille chasse », les femmes jouent un rôle clé dans la transmission de cette passion et de ce mode de vie aux membres de leur entourage. Parmi elles, Vanessa Lindner a soumis un potamochère, également connu sous le nom de sanglier rouge qu'elle a mis à son palmarès lors d’une expédition au Cameroun, au concours 2025, organisé par « Women Go Hunting » (WGH). Ce défi annuel vise à inciter un plus grand nombre de femmes à partager et documenter leurs exploits de chasse dans le cadre du programme « World Hunting Awards » du Safari Club International (SCI). Le concours est ouvert à toutes les chasseresses, quelle que soit leur expérience. Les participantes doivent télécharger un formulaire d'inscription disponible en ligne, puis le soumettre, accompagné d'une photo d'elles-mêmes en compagnie de l'animal qu'elles souhaitent inscrire. Les mesures et les scores des prises ne sont pas exigés, ce qui rend ce concours accessible et inclusif pour toutes celles qui souhaitent partager leurs expériences de chasse, qu'elles soient débutantes ou expérimentées. Pour s'inscrire, les participantes peuvent envoyer leurs formulaires et leurs photos directement à Barbara Crown, à l’adresse électronique suivante : bcrown@scifirstforhunters.org. Ce concours annuel représente une opportunité unique pour les femmes de faire partie d'une communauté internationale dynamique, et de contribuer activement à la promotion de la chasse auprès d’un public plus large.


Réduction budgétaire pour l'écologie dans le budget 2025

Le Sénat a approuvé une réduction de près d’un milliard d’€ du budget dédié à l’écologie et au développement durable pour 2025, conséquence de deux amendements déposés par le gouvernement. Ces coupes touchent principalement la transition énergétique et le soutien aux énergies renouvelables. Le premier amendement, déposé fin novembre, prévoit une baisse de 668,8 millions d’€, alignant le budget sur une trajectoire antérieure à la crise énergétique. Le second amendement ajoute une réduction de 326 millions d’euros, motivée par les retards causés par la censure du gouvernement précédent. Ces coupes portent le total à près d’un milliard d’€. La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a justifié ces mesures par la nécessité d’adapter les financements, notamment en recentrant les efforts sur les flottes d’entreprises. Les sénateurs de gauche ont vivement critiqué ces diminutions. Ronan Dantec a dénoncé l’impact sur l’acquisition de véhicules propres, tandis qu’Olivier Jacquin a mis en garde contre les conséquences pour l’industrie automobile. Christine Lavarde, rapporteure LR, a souligné que certaines dépenses seraient reportées à 2026, en raison de l’absence d’appels d’offres en 2025. Malgré ces réductions, des hausses budgétaires ont été adoptées pour deux fonds spécifiques. Le fonds Barnier, destiné à la prévention des risques naturels, voit ses moyens augmenter de 225 millions d’euros, atteignant 300 millions, à la suite des inondations de 2024. Cependant, le fonds vert, dédié à la transition écologique des territoires, ne bénéficie que d’un ajout de 150 millions d’€, insuffisant pour compenser la baisse d’un milliard par rapport à 2024. Ces choix budgétaires suscitent de vives critiques sur leur impact potentiel sur la transition écologique et l’acceptation de celle-ci par les citoyens, notamment dans un contexte de crise climatique et énergétique.


La Niña est là : va-t-elle modifier notre météo ?

Longtemps incertaine, l’arrivée de La Niña s’est finalement confirmée en janvier 2025, après avoir été initialement prévue pour l’été dernier. Ce phénomène climatique, caractérisé par un refroidissement des eaux du Pacifique équatorial, suscite des questions quant à ses répercussions globales, notamment en France. Selon la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), cet épisode de La Niña devrait être court et modéré. Les prévisions indiquent une fin probable entre février et avril 2025, suivie d’une phase neutre attendue entre mars et mai. Malgré sa durée limitée, La Niña pourrait néanmoins influencer significativement la météo dans certaines régions du globe. En Amérique du Nord et du Sud, où l’influence de La Niña est bien documentée, les conséquences météorologiques ont déjà été observées. Aux États-Unis, par exemple, les pluies et températures des derniers mois reflètent les schémas typiques de ce phénomène. Une aggravation de la sécheresse dans le sud de la Californie, associée à un risque accru d’incendies, fait également partie des impacts attendus. En Europe, et particulièrement en France, les effets de La Niña sont plus modestes. Les chercheurs s’accordent pour dire que l’impact du cycle ENSO (El Niño-Southern Oscillation) y est limité. En cas d’épisode marqué, La Niña peut entraîner une hausse des situations anticycloniques sur l’Atlantique, avec des conditions plus sèches en Europe de l’Ouest. Toutefois, pour cet épisode 2025, trop faible et court, Météo France estime que ses répercussions seront quasi imperceptibles. Bien que La Niña 2025 n’ait qu’un impact limité en Europe, ce phénomène rappelle l’importance d’étudier les interactions climatiques globales et leurs implications locales.


Pourquoi les oiseaux ne tombent pas en dormant ?

Les oiseaux possèdent un équilibre fascinant qui leur permet de dormir debout, même sur des branches instables ou sous des vents puissants. Une équipe de scientifiques du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et du CNRS a récemment percé ce mystère en étudiant leur anatomie et leur posture. Ces recherches ouvrent également des perspectives intrigantes pour la robotique. La stabilité des oiseaux repose sur un mécanisme appelé tenségrité, un équilibre entre des forces de tension et de compression. Ce concept peut être illustré par une construction où des bâtons rigides (les os) sont maintenus ensemble par des câbles tendus (les tendons). Lorsqu’on combine ces éléments de manière harmonieuse, la structure reste stable même si elle est soumise à des mouvements ou des contraintes. Chez les oiseaux, ce système est naturellement intégré dans leurs pattes, permettant une position debout sans effort, même en plein sommeil. Pour comprendre ce mécanisme, les chercheurs ont développé un modèle numérique basé sur l'anatomie d’un petit oiseau. Ils ont simplifié les os, les muscles et les tendons pour en extraire l’essentiel : les tendons calcifiés et rigides des pattes jouent un rôle clé. Ces derniers agissent comme les câbles d’une structure de tenségrité, maintenant les os en place grâce à une tension constante. Ce système ingénieux assure la stabilité, même lorsque l’oiseau est soumis à des perturbations extérieures, comme le vent ou le mouvement d’une branche...

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OFB : les politiques s’emparent du sujet...

Depuis un an, la tempête impliquant l'Office Français de la Biodiversité (OFB) et le monde agricole créé des vagues qui auront du mal à s’estomper, et les critiques virulentes d'un syndicaliste de l'OFB, dénonçant des pratiques d'inspection jugées excessives et oppressantes à l'égard des agriculteurs ont acté la fracture. Malgré les tentatives du directeur de l'OFB, Olivier Thibaut, pour calmer le jeu, les tensions ont perduré, alimentées par des incidents tels que des manifestations, des dégradations de biens et même des incendies criminels visant les locaux de l'OFB à travers le pays. La crise a atteint un nouveau sommet lorsque le Premier ministre François Bayrou a critiqué publiquement les méthodes d'inspection, déplorant le recours à des visites armées qui ont exacerbé les tensions déjà vives dans le monde agricole en proie à des difficultés économiques et sociales. Cette intervention a provoqué une réaction immédiate des syndicats agricoles, exacerbant ainsi les divisions. En réponse à cette escalade, l'intersyndicale de l'OFB a émis une directive radicale : les agents sont appelés à cesser toute mission de contrôle sur le terrain et à ne plus se rendre dans les exploitations agricoles jusqu'à ce que des excuses officielles soient présentées par le gouvernement. Cette décision, qualifiée « d’historique » en interne, affecte directement les opérations essentielles de l'OFB, y compris la gestion des attaques de loups contre les troupeaux et d'autres missions cruciales pour la biodiversité et la sécurité environnementale...

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